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Gogue et compétition dressage.
Posté le 02/01/2017 à 13h20
blindh
Posté le 02/01/2017 à 13h20
Tout à fait d'accord, cependant on peut avoir un cheval instable en concours simplement parce qu'il est encore crispé en extérieur et ça c'est pas en restant chez soi que ça s'améliore.
Super flagrant lors de notre dernier concours (qui est notre 4eme sortie). Je sors en club 3, à la maison mon cheval est globalement rond, il peut encore s'ouvrir dans les transitions (tres sensible aux erreurs de main donc j'en passe un max à l'assiette). Je commence à peine à lui demander une attitude plus haute. Mais quand il est rond c'est parce que la bouche est souple, qu'il a cédé dans la nuque, et qu'il engage et s'équilibre. Maintenant ok il est pas toujours parfaitement léger, parfois je le tiens rond donc manque de décontraction, mais je sais le reconnaître et régler ce problème. Parfois je mets la main (souvent même) dans un départ au galop donc il avance le bout du nez (jamais à la renverse). Mais de plus en plus on sent la mobilité de la mâchoire, la nuque de base raide qui s'assouplit, le dos qui se décontracte et monte, bref ça me paraît pas etre un niveau trop mauvais pour sortir sur une club 3.
Sauf que en concours il se durcit, et moi aussi. Donc les transitions sont beaucoup plus heurtées, la bouche plus dure, et mes actions de main aussi. Résultat j'ai pas encore vu la vidéo de ma dernière reprise mais clairement y'avait des moments où il s'ouvrait. On a eu 6 ou 7 dans attitude et soumission je crois, et un des jury m'a mis " un gogue aurait pu aider ".
Juste apres reprise préliminaire, détente déjà plus souple, donc attitude mieux.
Ça, c'est certes à la maison que je vais en partie le peaufiner, en essayant de l'avoir stable dans les transitions, de l'avoir vraiment posé (par exemple il s'ouvre systématiquement quand on tente des allongements au trot).
Mais si je veux l'avoir moins crispé et plus souple en concours il n'y a pas 36 solutions c'est en sortant en extérieur.
Pour donner un exemple je m'arrête normalement à l'assiette, là de simples arrêts du pas faisait un effet bulldozer à la détente.