Reflexions les plus "pourries" du monde du cheval

Ah, j'avais oublié la bonne blague de vendredi :
En balade avec une amie, chacune avec notre cheval.
On croise une dame et ses deux enfants à vélo. Ils nous laissent passer, le gamin dit "Oh, on dirait les hensons", et la maman qui sort d'un air très assuré "Oui oui, ce sont les hensons".
J'ai rien dit.
Mais j'ai ri très fort intérieurement

Encore si l'un de nos chevaux avait été bai, isabelle, ou robe similaire, j'aurais pu comprendre. Mais là, avec nos deux alezans (dont mon alezan crins lavés avec de belles balzanes...) , je ne vois pas à quel moment on peut les confondre avec du henson
La seule explication, c'est qu'ils ont dû faire une ou deux balades à cheval dans la ville avec le centre Henson, et ils n'ont pas encore compris que le nom du centre correspond au nom de la race des chevaux qu'ils utilisent, et que leur robe est très spécifique... Mais l'assurance de la mère était donc un peu déplacée dans ces conditions.

On croise une connaissance de Pascal qui habite près d'une de nos parcelles :
"il sont où les chevaux ?"
on répond "près de la douane"
le mr réplique "ha, c'est votre pré, là le terrain pas entretenu ? à côté des barbecue avec la pelouse bien tondue ?"
bah oui pour le commun des mortels , grandes herbes = pas entretenu alors que pour le cheval grandes herbes = gestion optimale des pâtures

Je partage ça là, parce que la blague m'a bien fait rire une fois que j'ai réussi à la comprendre (vu que c'était complètement hors contexte (bouquin "Le blanc incandescent" de Brent Weeks)) :




Je ne verrai plus jamais la confusion mors/mort de la même manière maintenant