erell29 a écrit le 02/01/2012 à 14h31: |
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Non moi je fais pas de sous-entendu !
Et je ne suis pas dans le jeu de savoir qui est plus populaire dans le lot... Bref, à quoi ça sert de me dire en permanence: tu es fermée ? franchement... lol à part me convaincre encore et encore que tu t'en fiches du cheval et que tout ce que tu as envie de montrer ce que tu as raison et non de chercher la meilleure adéquation pour ton cheval. Car personnellement, je t'ai pas vu parler une seule fois de cheval, mais bien de ta petite personne qui s'est sentie blessée par mes propos.
Finalement, ça t'arrange bien de te cacher derrière "c'est toi qui est fermé, c'est toi qui a un problème et du coup ça donne aucune légitimité à tes propos". Bref, belle stratégie pour éviter le dialogue... dans ce cas, la solution la plus simple c'est de ne me réponds plus à moins que tu ais encore envie de te répéter... mais ça n'a pas d'effets |
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J'ai déjà expliqué ma position :
Pour moi, dès lors qu'on pratique l'équitation, on "utilise" le cheval et donc on sacrifie une bonne part de sa liberté. Donc, pour faire vite, si on veut etre 100% cheval, on arrete l'équitation. Pour ma part, j'ai commencé par aimer les chevaux, puis j'ai aimé l'équitation. J'essaye de concilier les deux.
Mais je crois que tu n'es pas cavalière ?
A partir de là, oui, certains choix sont faits en fonction de l'homme et de la pratique de son "sport". De toute façon, à un moment ou un autre, le cheval s'adapte à notre demande (façon de vivre, manipulation, obéissance, efforts, communication, apprentissage, travail, etc.). Alors voilà, le bonheur n'est jamais parfait et il y a des points, dans ce qu'on vit avec le cheval, qui ne sont pas idéaux voire parfois carrément pas terribles (qu'on en soit conscient ou pas). Mais on peut compenser avec les points forts et finalement trouver un équilibre.
Mais le plus drole dans tout ça, c'est que je pense que le pré est bien mieux pour les chevaux.
Ce qui ne m'empeche pas de faire part de mon expérience, qui n'est pas celle du pré, et pourtant qui n'a pas été négative. Mon cheval aurait surement été encore plus heureux au pré. Mais ce qui est pris est pris, et je crois que je lui aurais quand meme apporté quelque chose dans sa vie de cheval.
Et aujourd'hui, à 37 ans, je retrouve les chevaux, après de longues années loin d'eux.
Je voudrais revivre avec un cheval à mes cotés.
Je suis pas encore trop rouillée, mais j'ai pas tout le temps non plus... c'est quand meme moins facile qu'il y a 10 ans, et encore moins qu'il y 20 ans !
J'ai une famille, un travail, un conjoint qui a un travail, des enfants qui ont des études à suivre.
Je ne peux donc pas déménager loin.
Alors je dis que si j'ai le bonheur d'avoir de nouveau un cheval, il ne sera probablement pas dans un pré.
Devrais je donc, selon toi, renoncer à mon unique passion, encore, et de manière définitive (puisqu'il n'y pas de prés en vue) ?
Voilà, je partage ici mon expérience et la réalité de ma vie.
Je n'affirme rien.
C'est là que réside toute la différence dans notre manière d'aborder les choses.