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Etre une femme et ne pas avoir d'enfants
Posté le 29/08/2014 à 20h02
Je vais décevoir mon fan-club, mais je ne suis pas médecin de famille. Je bosse à St-Denis dans un bureau climatisé au 1er étage du building qui abrite le siège de ma boîte (l'Etablissement Français du Sang) d'où l'on surveille tout le système transfusionnel français.
Pour en revenir au sujet du post, il est d'autant plus capital d'être en phase avec soi même que le sujet est important : Ne pas faire d'enfant alors qu'au fond de soi, on en désirait est aussi destructeur qu'en faire alors qu'on ne le désirait pas vraiment. Les premières s'interdisent d'y penser ou se sont laissées convaincre de ne pas en faire, les secondes ont cédé à la pression sociale, familiale ou conjugale. Dans les 2 cas, c'est un désastre assuré à moyen ou long terme.
Dans la vie, il faut savoir ce qu'on veut ou ce que l'on ne veut pas. Je suis intimement persuadé que les "changements d'attitude ou de jugement" (dans un sens ou dans l'autre) qui stupéfient tant les intéressées que leur entourage, ne sont en fait que la libération brutale de ce que ces femmes avaient vraiment dans les tripes.