Moi y'a juste un truc que je ne comprend pas du tout, mais alors, pas du tout, dans ce poste : 
Marechalf, tu peux m'expliquer ce qu'on a voir là dedans l'Europe et les femmes ?  Et puisque le sujet tourne autour de la compréhension de l'autre (qu'elle soit féminine ou équine, apparement), la seule chose que j'ai envie de dire c'est : encore faudrait-il avoir envie, ou ne serait-ce qu'essayer, de comprendre l'autre, et dans les deux cas, en s'affranchissant des clichés et autres préceptes soit-disant irréfutable ....
Bref.
Pour en revenir au sujet : 
Tout d'abord je suis assez d'accord sur la question de la terminologie.... Ok, l'éthologie est une science. Mais bon il faut vivre avec son temps deux seconde: les polysémie, ça existe et ça n'a jamais déranger personne... Quand on nommée le truc que vous tenez dans la main, devant votre ordi, une "souris", il n'y a, me semble-t-il, pas eu de révolution murine. BON, alors. 
 
  
 Donc on peut bien appeler ce qui est finalement du "travail à pied", 'éthologie' tant qu'on sait de quoi on parle.
Ensuite, je trouve que l'éthologie (donc les méthodes de travail à pied) ont eu comme seul bénéfice de remettre en question l'équation classique. Certains hommes/femmes de cheval n'ont pas eu besoin de ça pour remettre en question leur méthode, et donc, comprendre, analyser et trouver des solutions aux divers problèmes. Néanmoins, le fait est que depuis que cette "mode" est arrivé, de plus en plus de gens s'intéresse au travail a pied et à la compréhension du cheval, ce qui passe par l'éthologie (au sens d'observation du comportement, cette fois-ci). 
Comme pour TOUT, il a des dérives, des abus et du business derrières tout ça. 
Je ne suis pas du tout pro-éthologie; il faut savoir faire le tri. Je pense qu'il faut savoir prendre ce qui est bon, et laisser de côté la partie "extrémiste" de ce mouvement. Comme tout extrême (que ce soit en classique ou en éthologique), il est forcément néfaste car ne se remet pas en question et prône UNE idée unique...
Bref, comme toujours, il suffit de faire preuve de mesure, tout simplement.
Je trouve l'article en lui-même très intéressant, car pour une fois, on s'appuie sur des données scientifiques pour réfuté certaines méthode éthologique qui sont clairement néfaste et finalement contraignante pour le cheval. Ça change des articles où c'est finalement discours contre discours, sans fondement, où on cherche juste à réfuter la thèse inverse en avançant ses propres opinions...