petitrot
Vous m'en voulez

j'ai toujours eu du mal à organiser ma pensée à l'écrit...
Pour moi l'assiette accompagne, oriente, limite, mais surtout ne pousse pas, elle doit suivre donc 's'ouvrir ' pour laisser passer le mouvement en avant.
La jambe peut venir s'y associer (je dis peux car pour avoir eu des cavaliers 'sans jambes', handicap ou petites jambes et donc on peut s'en passer).
Tiens ça me fait penser à la variation du contact, petite aparté, la nuance c'est comme demander arrêt /pas ou arrêt /trot. On nuance la pression sans pour autant 'forcer' dans les jambes. Idem avec la main, on joue sur une 'élévation' de la main (j'aime l'image de recueillir de l'eau dans les mains).
En réel je fais le test au cavalier qui fait un point fixe avec sa main et je lui montre la différence de tention ressentie entre le coude qui recule et l'élévation de la main. (j'anticipe, par élévation je ne parle pas lever les mains au dessus de la poitrine

)
Dans la transition descendante on dit de bloquer l'assiette et résister dans la main. Dans la main impulsive on augmente légèrement la tention avant de la relâcher (là encore on ne le lâche pas tout hein, c'est toujours une question de dosage et de tact). Ce n'est donc pas la résistance qui déclenche l'arrêt mais bien le relâchement (comme quand on souffle pour s'arrêter).
Voilà mon cerveau part dans tous les sens et j'aurais encore un millier de trucs à dire