toska78 Si l'animal est blessé, il faut l'achever. Non seulement, c'est mieux que de le laisser agoniser mais en plus, c'est une obligation.
Citation :
Il n’y a pas fait de chasse sur le terrain d’autrui et donc pas d’infraction quand le chasseur va achever l’animal qu’il a déjà mortellement blessé ou sur ses fins, ou ramasser un gibier tué dans des conditions licites. Le droit de suite du gibier mortellement blessé est donc permis sur le terrain d’autrui (2). Par contre, le fait de poursuivre sur le terrain d’autrui et d’y achever un gibier simplement blessé constitue un acte de chasse et une contravention, faute d’autorisation de la part du propriétaire (3). C’est pourquoi, le cas échéant, il appartiendra au chasseur de rapporter, la preuve qu’il a bien mortellement blessé ou épuisé le gibier avant qu’il tombe sur le terrain d’autrui (4). Il n’y a capture effective du gibier que lorsque ce dernier ne peut plus échapper à l’appréhension sûre et certaine du tireur. De sorte que l’animal res nullius blessé mortellement devient la propriété du chasseur puisqu’il ne peut s’échapper et survivre à sa capture définitive par le tireur.
Les termes "sur ses fins", "épuisé" se valent pour la chasse par les chiens et sans fusil (à courre).
De plus un animal blessé ou fatigué à l'extrême, tel un sanglier ou un cerf, devient dangereux. Il se retourne alors sur les chiens (1éres victimes), sur les hommes (olé) puis sur tout ce qui bouge (en l’occurrence madame qui promprom le chien, toi qui passe à cheval, le gamin sur le vtt...).
Ayant déjà croisé des sangliers à cheval (maman et ses petits), je voudrais éviter la version papa avec une blessure. C'est ronchon ces bestiaux

!
vivi57 si tu ne te sens pas bien, pars. En plus, se faire traiter de "connasse":

J'aurai bien répondu, chasseur ou pas.