Gérer jument extraverti/exubérante au travail

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Maev-ghost

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Gérer jument extraverti/exubérante au travail
Posté le 31/10/2017 à 19h19

Hello CA,

je fais ce sujet histoire d'avoir des pistes de certains qui ont été dans mon cas.

Bien que je commence à avoir un bon bagage équestre, tout échange d'idées de témoignages peuvent aider à avancer.

Je plante le décor histoire que tout le monde comprenne bien mon petit soucis et répondent au mieux.

Je suis cavalière jeunes chevaux et maison de profession donc clairement je monte de tout.
Je me suis fait plaisir et en Mai 2017, je me suis achetée une superbe jument avec potentiel Am 1/Elite pour pouvoir évoluer et avancer dans mon équitation.
La jument en question a 7 ans, pas fait grand chose, mise réellement au boulot en février 2017 mais a toujours grandi au même endroit, monté par la même personne qui est bonne cavalière.

Donc en gros malgré ses 7 ans, elle est comme une 5 ans à travailler surtout niveau mental.
Le côté jeune cheval ne me dérange pas quand elle fait ses "bêtises " de bébé: sauts de trop plein de jus au boulot, peur de certaines choses, vite déconcentrée.

Non, la chose un peu déroutante est son côté très extravertie et tout dans l'extrême.

C'est une jument ayant beaucoup de caractère mais étant vraiment gentille et généreuse; C'est plaisant comme déplaisant. Elle est exubérante dans tout ce qu'elle fait: m'accueille tel un chien qui fait la fête quand j'arrive le matin en tapant/hurlant dans tous les sens, fait de même avec ses compagnons équins; s'exprime beaucoup vocalement notamment quand elle est stressée au boulot où elle hurle et hennit.
Elle fait aussi pas mal de bêtises: elle met les pieds antérieurs partout: dans les portes, mangeoires, râteliers, coffre, brouette...
Elle vient de sortir de 3 semaines de convalescence pour blessure du à ça. Bref, ma Ali on ne peut pas la rater à l'écurie car elle se fait voir.

Mais du coup, elle a ce côté excessif au boulot: quand elle se donne et est de bonne consistance, elle est splendide: magnifique développement au trot, saute fort car très démonstrative;
Mais quand c'est un jour sans ou qu'elle s'inquiète au boulot, elle est également trop dans l'extrême: paniquée, peut se braquer vite en se fâchant bien que j'arrive toujours à désamorcer avant que ça pète.

En concours, c'est pareil. Des tours nickels où elle est vraiment facile, regarde rien, saute top et facile à manier. Et des jours hyper inquiète, en boule en entrant en piste, regarde tout et prend peur de la moindre ombre. Bon ça, on va y arriver car il faut qu'elle se routine en sortant le maximum sur des tours de travail comme un jeune cheval. Je ne me fais pas de soucis là dessus car elle est brave et doit juste comprendre qu'il faut se concentrer sur les barres et pas sur les environs.

Mais, c'est à la maison aussi que c'est parfois compliqué et c'est là, que je fais appel à vous. J'aimerais vraiment devenir "référente" de ma jument dans ses moments de pétage de plomb où elle devient excessive et perd l'image et le son.
Et ces moments viennent souvent en un quart de seconde sans prévenir.

Pour donner un exemple précis: dimanche séance de longe. Jument que je longe souvent, qui me connait et répond bien aux demandes; Un régal à bosser à pied. Bref, je détend 15 min environ en changeant plusieurs fois de main, donc en m'approchant d'elle pour changer la longe de sens (en Colbert). Jument zen, posée. Je l'arrête une fois pour bouger quelque chose dans la carrière et au moment de vouloir renvoyer sur le cercle: yeux révulsés, tire au renard sur la longe, demi tour donc cul face à moi. Elle fuit tellement fort que je la lâche. Grand galop dans toute la carrière en henissant (stress du coup) et elle en sort en se fauchant sur le bitume. (rien de grave mais bon elle aurait pu se péter).
Je la récupère dans lécurie en la coinçant dans un box et après on reprend la séance comme ci de rien n'était. Jument redescendue en pression comme ci l'incident n'avait pas eu lieu

Des exemples comme ça, j'en ai pleins: en balade où tout va bien et d'un coup braqué presque à me jeter dans les arbres car peur de je ne sais quoi. En carrière aussi parfois: une peur d'un coup qui la fait péter en l'air et du coup derrière difficile à la faire redescendre.

Alors il y'a beaucoup de mieux: hennit plus du tout au travail comme au début, répond mieux dans le travail à pied car commence à me faire confiance/
Mais du coup, j'aimerais encore trouver quelques solutions pour éviter ses coups de stress qu'elle peut avoir en main, monté à la maison, en balade ou en concours. Et que dans ces situations de stress, qu'elle reste concentrée à moi et me fasse confiance.
Mon attitude dans ces cas là, c'est de la remettre en avant, en cadrant mais sans mettre de pression: juste plus cadrer dans mes aides pour pas qu'elle déborde et se sente encadrée donc sache où elle va. Je reste neutre et rassure dés que je peux. Généralement, je remet sur un exercice simple qu'elle sait faire pour remettre dans le calme.
Mais parfois, je suis obligée de me fâcher aussi parce qu'elle me met en danger et doit comprendre que les lançades sur place quand on a peur, c'est pas possible.

J'avais aussi l'idée de toujours la mettre un peu dans le même moule en commençant mes séances pour la rassurer et sache ce qu'elle doit faire. Mais varier beaucoup d'une séance à l'autre sur le corps de séance pour qu'elle se concentre et ne s'ennuie pas et ne cherche pas la bêtise.

Après, elle n'est pas comme ça tous les jours: mais là, avec l'hiver qui commence à venir, elle est de plus en plus dans ces jours là que des jours calmes/

Donc , les personnes propriétaires de chevaux excessifs, que faites vous? Qu'avez vous mis en place comme rituel, boulot pour les contenir et rassurer?

Kuryeuse

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Gérer jument extraverti/exubérante au travail
Posté le 01/11/2017 à 21h29

kokowete24
Il serait peut être temps d'arrêter de pourrir ce post avec toutes tes "vérités absolues" non ?

Celia33

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Posté le 02/11/2017 à 07h17

Bon je vais pas t'aider sur la technique mais bon ^^

As tu envisager de l'aider avec des fleurs de bach ?
Ce n'est pas du tout la même chose, mais mon pur qui a eu des soucis au pré entrainement a perdu toute sa confiance en lui, un "traitement" de 2mois et ce n'est plus du tout le même cheval

Ça peut l'aider a gérer son hyper sensibilité et ses peurs explosives tout en ne lui ôtant pas tout son caractère qui fait d'elle ce qu'elle est

Et comme l'ont dit certains, voir du côté des ovaires..

Pour le fait qu'elle met les pieds partout..Ma jument m'a fait ça quand elle était jeune de ses 2 à 5ans, elle en a 7 maintenant et elle s'est bien calmé toute seule

Kokowete24

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Posté le 02/11/2017 à 09h18

kuryeuse Punaise sa fait je sais pas combien de fois que je l'entend.... Si on suis pas ces convictions on fait comment? Tu fait comment toi? Toutes tes techniques acquise sont fausse? Je pense que vous confondez vérité absolu et ce remettre en question a chaque cheval et apprendre toute ça vie, mais si les grand n'avait pas suivie leurs convictions il serait encore a se demander comment faire avancer un cheval... Alors oui moi je fait pas partie d'eux évidemment mais sa veux pas dire que je mérite a chaque fois de me tromper parce que je suis convaincue de mes dire (parce-que ce que j'ai vu, lu et entendu m'on convaincue....) donc peu être que je me trompe peu être quelle se trompe mais qu'on arrête avec ça...

Kokowete24

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Posté le 02/11/2017 à 09h20

maev-ghost Désolée pour ton post....

Degham

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Posté le 02/11/2017 à 11h26

Sur un plan plus technique...

Il existe un circuit neuronal court qui relie directement la perception d'une menace dans l'environnement à une réponse locomotrice, sans passer par les facultés cognitives. Un cheval qui fait brusquement un gros écart, un demi-tour sur place, qui accélère à fond en une seconde, montre une activation de ce circuit. Mais après quelques secondes, un circuit neuronal long qui intègre les facultés cognitives prend le relais. Parfois, il n'y a même pas fuite, le cheval prend peur, revient sur lui, plie ses articulations postérieurs pour démarrer, puis se "ravise", et continue son mouvement.

Pendant l'activation du circuit court, il n'y a strictement rien à faire, il faut juste rester en selle. Les aides, en raison de leur nature, peuvent même être perçues comme des agressions et aggraver la réaction. C'est la cause des défenses, comme le cabré et la ruade. Le cheval est en panique, il fuit. Si le cavalier ne fait rien, ne touche pas aux rênes, le cheval se calme en quelques secondes. Si le cavalier touche aux rênes, le cheval se sent agressé, et se défend en se cabrant ou en ruant.

Lorsque le circuit neuronal long prend le relais, il est possible d'intervenir, mais généralement c'est inutile, car le cheval est capable d'analyser la situation. On comprend qu'il est alors complètement inutile de sanctionner le cheval, de se fâcher, de l'envoyer fort en avant, etc.

Le problème du circuit court est qu'il stimule et favorise la mémoire, et c'est là que les problèmes sérieux commencent pour le cavalier. Si le cavalier tire sur les rênes, et que le cheval se cabre, il va apprendre, en une seule fois, que lorsqu'il a peur, le cabré peut être une solution. Cet apprentissage étant lié à la peur, va favoriser à l'avenir l'activation du circuit court, qui va donner lieu à de nouvelles réactions du cavalier, de nouvelles défenses du cheval, etc.

Inversement, il semblerait que l'attention active sur une tâche à réaliser diminuerait la possibilité d'activation du circuit court.

L'activation du circuit court, qui peut être pathologique chez certains individus, résultent de nombreux facteurs, innés et acquis, physiques et mentaux. Il est possible d'agir à plus ou moins long terme sur ces facteurs, mais certains sont irréversibles.

J'espère que cela peut aider les cavaliers à gérer ce genre de problème.

Yachinii

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Posté le 02/11/2017 à 11h57

degham Très intéressant à lire !!

Couagga

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Posté le 02/11/2017 à 12h01

degham

Amen !

Lockeia

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Posté le 02/11/2017 à 12h26

Ma jument est un peu comme ça, très extraverti, et c'est très agréable de la voir s'exprimer comme ça mais parfois difficile à gérer car cela la rend assez délicate au travail.
Je l'ai beaucoup bossé à pied, longe, longues rênes et autre dont des désensibilisations à pas mal de chose qui font peur (bâche, flaques d'eau et plein de chose qui font peur).
Le truc qui marche vraiment bien avec elle c'est la voix, j'ai beaucoup d'impact sur elle rien qu'en lui parlant et j'en use beaucoup. Que ce soit pour la gronder, pour l'encourager ou juste la calmer quand elle part dans ces délires.
Essais peut être plus la voix tout simplement ?

Altaiir

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Posté le 02/11/2017 à 12h33

Ah et j'y pense à l'instant, pour compléter ce que j'ai dit avant.

J'avais fait un mélange d'huile essentiel à renifler pour Alaska avant le travail. Effet placebo ou pas, je les lui faisais respirer durant plusieurs minutes avant de la travailler et je la trouvais plus calme !
ça m'a couté moins de 20.-, et utilisable très longtemps car à faire respirer, donc ça peut peut-être aider un peu !

Degham

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Posté le 02/11/2017 à 12h39

L'exemple souvent utilisé pour illustrer l'activation du circuit court chez l'homme est celui du serpent. Un promeneur rencontre un bâton tordu sur le chemin, et a une réaction instantanée de recul en le prenant pour un serpent.

Il m'est arrivé exactement la même chose, mais je n'ai eu aucune réaction, car j'ai pris ce qui était réellement un serpent pour un bâton à moitié calciné. Lorsqu'il s'est réveillé à quelques dizaines de centimètres de moi, j'ai eu une réaction assez forte, et je m'en souviens toujours, ce qui illustre la stimulation de la mémoire.

Agentmulder

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Posté le 02/11/2017 à 13h10


degham a écrit le 02/11/2017 à 11h26:
Sur un plan plus technique...

Il existe un circuit neuronal court qui relie directement la perception d'une menace dans l'environnement à une réponse locomotrice, sans passer par les facultés cognitives. Un cheval qui fait brusquement un gros écart, un demi-tour sur place, qui accélère à fond en une seconde, montre une activation de ce circuit. Mais après quelques secondes, un circuit neuronal long qui intègre les facultés cognitives prend le relais. Parfois, il n'y a même pas fuite, le cheval prend peur, revient sur lui, plie ses articulations postérieurs pour démarrer, puis se "ravise", et continue son mouvement.

Pendant l'activation du circuit court, il n'y a strictement rien à faire, il faut juste rester en selle. Les aides, en raison de leur nature, peuvent même être perçues comme des agressions et aggraver la réaction. C'est la cause des défenses, comme le cabré et la ruade. Le cheval est en panique, il fuit. Si le cavalier ne fait rien, ne touche pas aux rênes, le cheval se calme en quelques secondes. Si le cavalier touche aux rênes, le cheval se sent agressé, et se défend en se cabrant ou en ruant.

Lorsque le circuit neuronal long prend le relais, il est possible d'intervenir, mais généralement c'est inutile, car le cheval est capable d'analyser la situation. On comprend qu'il est alors complètement inutile de sanctionner le cheval, de se fâcher, de l'envoyer fort en avant, etc.

Le problème du circuit court est qu'il stimule et favorise la mémoire, et c'est là que les problèmes sérieux commencent pour le cavalier. Si le cavalier tire sur les rênes, et que le cheval se cabre, il va apprendre, en une seule fois, que lorsqu'il a peur, le cabré peut être une solution. Cet apprentissage étant lié à la peur, va favoriser à l'avenir l'activation du circuit court, qui va donner lieu à de nouvelles réactions du cavalier, de nouvelles défenses du cheval, etc.

Inversement, il semblerait que l'attention active sur une tâche à réaliser diminuerait la possibilité d'activation du circuit court.

L'activation du circuit court, qui peut être pathologique chez certains individus, résultent de nombreux facteurs, innés et acquis, physiques et mentaux. Il est possible d'agir à plus ou moins long terme sur ces facteurs, mais certains sont irréversibles.

J'espère que cela peut aider les cavaliers à gérer ce genre de problème.


Tu as une référence bilbiographique en étho cognitive là-dessus? C'est très interessant.

Magiconnemara

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Posté le 02/11/2017 à 13h26


kokowete24 a écrit le 01/11/2017 à 20h38:
@bloops29 Oui je suis d'accord c'est pas le sujet, ça n'a rien a faire ici et dans le monde du cheval ce genre de pratique aussi on voit bien ce qu'a donner la ligature des tendons pour les harper... Quand un cheval n'est pas montable il n'est pas montable et pour moi ta jument serait au prés dans le calme comme poulinière... Je suis peu être un peu catégorique désolée...


Je me permets de rebondir la dessus.

Je suis de l'avis général de bloops29 et pour souffrir moi même de gros problèmes au niveau des ovaires et liés à la production hormonales, je n'imagine même pas ce que doivent traverser les juments ovariennes, qui n'ont aucun moyen "calme" d'exprimer leur douleur, qui est présente même en dehors de tout travail pour en avoir vu les effets sur des juments qui justement étaient en retraite prématurée au pré.
Un dérèglement hormonal peu, en outre, tout a fait déclencher des cycles (et donc, des douleurs) n'importe quand dans l'année chez la jument.
La description faite de la jument me fait aussi penser à ça.



Mais alors lire qu'il faut mettre les chevaux non montables a la reproduction
C'est tout a fait le contraire à moins qu'on ne cherche qu'a faire naître des tondeuses (libre a chacun de le vouloir).
STOP, on ne fait PAS reproduire des chevaux qui ont de vrais problèmes physiques ou psychologiques.

Degham

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Posté le 02/11/2017 à 13h31

agentmulder

La référence première pour les deux circuits de la peur est Joseph LeDoux.

Plus spécifiquement pour équitation, un spécialiste en neurosciences le Dr Stephen Peters collabore avec Martin Black, un maître de l'équitation éthologique, dans une démarche d’équitation fondée sur les faits (evidence based horsemanship) comme elle existe en médecine.

Elicendi

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Gérer jument extraverti/exubérante au travail
Posté le 02/11/2017 à 13h33

Si tu as la possibilité de prendre des cours avec un instructeur Parelli je pense que ça pourrait t'aider. Ils ont mis en place des sortes de stratégie éducatives en fonction de la personnalité des chevaux (les horsenalities) et je pense que ce genre de méthodes pourraient justement t'apporter les réponses que tu cherches.

Degham

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Posté le 02/11/2017 à 13h47

Oui l'approche du système Parelli est intéressante, car elle combine une dimension psychologique, apportée par Linda, qui était une professionnelle du développement personnel, et les connaissances pratiques de Pat, un peu comme le Dr Peters et Martin Black.

La classification des horsenalities (personnalités équines) en deux dimensions est basée sur les travaux du psychologue Hans Eysenck qui avait proposé une classification des personnalités (humaines) selon deux dimensions, l'extraversion et l'instabilité émotionnelle ( ce que Parelli appelle cerveau droit ou gauche).

Édité par degham le 02-11-2017 à 13h51



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