Saluer son cheval

lesvoixdulyss Après je doute que les animaux comprennent notre langage, donc c'est plus l’intonation qui joue que vraiment les paroles.
Dans le sens où je pourrais dire à mon cheval "Salut gros idiot, tu es nul." en le disant sur le même ton que "Salut mon beau comment vas-tu" pour mon cheval se sera très certainement la même chose.

La preuve en est que les dresseurs de chiens de berger donne des codes. Par exemple un berger amateur de musique, donnait des signaux en disant "sol, fa, ré ..." pour aller à droite, ramener les moutons, aller à gauche ... donc c'est juste jouer avec l'intonation plus que les paroles.

Lorsque je suis stressée en balade mon cheval le ressent et s'énerver, alors je chante ("l'histoire de la vie" du roi lion oui oui chacun ses goût ), cela le détend car je me détend. Mais dans le fond il s'en fou des paroles

Je viens de rentrer, je vais répondre à tout le monde ça risque s'être un peu long^^

leif Je suis d'accord, il ne faut pas trop d'information pour ne pas brouiller le cheval. L'approche que j'utilise me permet de différencier les voix. J'utilise une voix d'interpellation pour prévenir le cheval, une voix d'encouragement pour le féliciter et lui faire prendre conscience de ses réussites en période d'apprentissage et une voix d'accompagnement pour garder un contact verbal sans donner d'information.
Je suis certifié par Catherine SENN si vous voulez vous renseigner sur la méthode elle explique sûrement mieux que moi !

Je fonctionne aussi avec les gestes et la position et une demande verbale suffit par contre j'en utilise beaucoup. Ulyss a pas mal de vocabulaire ! Va, viens, droite, gauche, lève, les hanches, demi tour, pirouette, volte, trotte, fais galop, au pas, pas bouger, souris, bisou, passe la tête et d'autres !

tidesigual Merci pour ta réponse ! Je m'applique aussi à ce que le cheval comprenne la demande.
En apprentissage, je fais faire l'exercice exacte au cheval en lui faisant prendre conscience de ce qu'il fait et en fin d'exercice j'insiste sur les félicitations et les récompenses.

Pour le nombre et la fréquence des sollicitations, certains chevaux ont besoin de plus, d'autre de moins... J'adapte au cheval et au travail !

La voix me permet de concentrer le cheval sur l'exercice, de lui faire comprendre que sa réponse est exacte et surtout que le cheval ait une bonne image de l'exercice et de nos interactions en général.
Avec cette approche, le cheval comprend rapidement, retiens et apprécie ce qu'on fait.

oubeule Déjà je suis entièrement d'accord avec ta remarque !
Quand je parle de modification du schéma mental c'est par exemple un cheval qui bloque devant le pont du camion à cause d'un traumatisme, l'éducation à la voix permet au cheval de changer l'image du camion pour qu'il n'ai plus d'appréhension et qu'il monte de lui même.
Ou un cheval qui bouge au pansage parce qu'il n'a pas intégré pansage = immobilité, l'éducation à la voix permet de lui faire comprendre d'une façon ludique.

Je te mets le lien de mon site, il y a 2 vidéos de chevaux que j'ai aidé avec cette méthode
https://www.lesvoixdulyss.com/chevaux-aidés-par-l-éducation-à-la-voix/

couagga Merci je ne connaissais pas ! Ca fera une idée de cadeau de noel^^

nimue Merci pour ta réponse !
C'est vrai qu'on peut obtenir de très bon résultat et surtout avec un cheval heureux et demandeur d'échange !

vieuxtruc C'est vrai que les chevaux sont très observateurs et le langage corporel permet de transmettre beaucoup de choses.

Tu dis que la voix peux être répressive, je suis entièrement d'accord là dessus, d'ailleurs en équility (la discipline qui découle de l'éducation à la voix) le règlement précise de toute violence verbale est interdite.

lasbel75 Entièrement d'accord avec toi, j'aimerai que ça soit enseigné en club dès les petits niveaux pour toucher un maximum de monde !

atom Oui on peut associer n'importe quel mot à une demande, l'important c'est de l'expliquer clairement et d'être constant dans ses demandes.

Par contre vu mes talents de chanteur si je me mets à chanter pour Ulyss il risque de s'enfuir au galop^^


Merci à tou.te.s pour vos réponses !


Et je ne sais plus qui parlait d'immobilité au pansage, perso je ne demande pas d'immobilité totale mais que je cheval reste avec moi. Je profite du pansage pour rendre le cheval réceptif à son nom et à mes mouvements de mains.
Avec un cheval travaillé à la voix, j'intègre des demandes simples au pansage (touche la main, lève la jambe...)

lesvoixdulyss ma fille fait du babyponey depuis septembre et effectivement on ne lui a pas appris ça, mais bon elle me voit le faire à la maison et je ne manque pas de le lui rappeler.

Pour moi c'est une évidence de saluer mon cheval en premier contact.

Certaines personnes réagissent ici comme ci c'étaient une évidence pour tout le monde alors que ce n'est pas parce que vous vous le faites que c'est une généralité.

Après, peu importe qu'on utilise la voix le corps, ce qui importe c'est l'intention. Pour certaines personnes c'est plus facile de mettre l'intention "juste" en utilisant la voix parce que la maîtrise des signaux corporels où même mentaux ne sont pas bien maîtrisés.

La méthode ne se juge pas, ce qu'il est important de noter ici c'est juste cette notion de respect que nous devons à nos chevaux, de les saluer en premier lieu. Un salut ce n'est pas un appel, ni une excuse pour dire j'ai été polie alors maintenant tu obtempères.

Je pense que c'est important de discuter avec nos chevaux, leur parler. Parce que même si effectivement ils ne maîtrisent pas notre language, si nos propos sont "justes" ils sont emprunts d'intention et d'images mentales et ça, les animaux le comprennent parfaitement bien.

Je pense que notre langage hors modulation ou mise en place de code ne signifie rien pour le cheval. Par contre leur langage corporel et le notre ne peuvent mentir c'est une chose que nous ne pouvons entièrement maitriser au point de leurrer le cheval et lorsque la chose sonne faux pour lui il ne se sentira pas protégé et interprètera comme il lui semblera bon pour sa sécurité. J'ai constaté que sans un mot on est beaucoup plus proche du cheval et on est forcé d'apprendre plus encore que de façon classique à lire ce qu'il nous communique. Mais aussi plus encore que partout ailleurs l'anthropomorphisme est nuisible.

@lasbel75 Oui, tu as raison je trouve que c'est un message important à faire passer !

@nilsanna C'est vrai que prendre le temps de saluer son cheval fait partie du respect comme le pansage en fin de séance par exemple...
On peut utiliser la voix ou un autre type de communication, après personnellement je travaille principalement à la voix alors je profite de ce moment pour installer mes voix, sensibiliser le cheval, créer le lien et installer le climat de travail !

vieuxtruc Oui les chevaux sont attentif à notre gestuelle et à tout ce qu'on peut dégager. Ils nous décodent très bien !
Un exemple, j'ai été donner un coup de main au vidage de box aujourd'hui. Au moment de sortir les chevaux j'ai vu un écart de comportement de folie entre les chevaux sortis par des personnes calmes et les chevaux sortis par des gens qui appréhendaient leur réaction au moment de passer à côté des engins !

Pour que la voix ait un sens pour le cheval, il faut d'abord la moduler pour susciter son intérêt. Après les codes s'apprennent simplement et la voix va me permettre d'agir sur un chaval qui sera à côté de moi ou à distance et de lui demander plusieurs actions.
Je pourrai aussi donner des indications en étant derrière le cheval ou pas forcément visible (exercice du rideau par exemple).

Pour moi, c'est une évidence!

Je dois préciser que nos chevaux sont en stabulation libre avec un grand pré. Lorsque je veux m'occuper d'un cheval précis, je le fixe du regard et l'invite à me rejoindre. Lorsque je veux un deuxième par exemple pour les atteler j'invite le second à sortir du groupe comme le premier et je les salue comme il se doit. Je le fais sans un mot puis je les invite à me suivre au pansage. En grande partie j'ai appris cette technique auprès des Frères Pignon et c'est Jean François qui m'a mis sur la voie du sans paroles. J'ai mis très longtemps à pouvoir le faire même sans claquements de langue. J'ai constaté très souvent que cela marche très bien avec des chevaux que je ne connais pas du tout et qui sont en troupeau. Le seul inconvénient dans ce cas précis est que le leader du groupe vient avec le cheval que j'ai invité en protection auquel cas je dois lui demander après salutations à se retirer. Cette façon de faire m'oblige en permanence de faire encore plus attention à ce que je fais.

Un cheval peut être très sensible et attentif aux gestes et à la voix, il faut prendre son temps et aller très progressivement dans les demandes.
Bien sûr mais pour cela faut qu'on lui apprenne..
J'avais une copine "g**larde" sans cesse en train de brailler, pas de vraie relation avec sa jument (elle l' "adorait" mais à part s'occuper de ses besoin primaires et la monter... rien...) la jument était complètement blasée de l'homme (justement comme certains chevaux de club)...

C'est vrai que des gens peuvent avoir des gestes ou une façon de parler brutale, en plus d'être contre productif, c'est mauvais pour la relation.
mais à ce stade si la proprio est content comme ça... tu ne peux rien y changer ...

quand on a une vraie relation personnalisée les chevaux sont sensibles au "bonjour" mais même si j'ai toujours respecté les chevaux de club, que je leur ai toujours apporté de l'attention, de la considération, le cheval ne s'attache pas à un cavalier occasionnel et pour le cavalier il vaut mieux non plus ne pas trop s'attacher car le destin de ces chevaux, on ne peut pas l'assumer et souvent on a de dures déconvenues si on est trop impliqué affectivement.

Ca n'empêche pas d'être poli et prévenant, hein.

quel que soit l'animal d'ailleurs, je ne me vois pas sauter au cou d'un chien ou prendre un chat dans les bras, sans s'être "présenté", l'avoir laissé renifler, et avoir regardé s'il a envie de contact avec moi...

Quand je fais le pansage ok je parle beaucoup, je lui raconte des trucs, je vois ses oreilles qui bougent mais je suis bien consciente qu'il ne comprend pas le sens de ce que je dis. Il n'en comprend que l'intention.
je reviens sur ça et parler ça fait un bruit de fond de ronron dans les bons moments, où on est heureux d'être ensemble, le cheval est relaxé, ça peut être une aide quand il devient stressé, pas juste pour lui dire "holà !" et qu'il ne pète pas un câble, mais pour recréer une atmosphère familière de "tout va bien, tout est normal" avec mon Gros anxieux, ça aide (et aussi, sûrement mais de façon moins visible, pour les autres chevaux)
souvent mon homme rigole et me dit "tu crois qu'il comprend ce que tu racontes ?" Evidemment, non, mais il comprend que je veux lui expliquer, le faire participer, que je vais pas juste lui donner des ordres et lui être exécutant, mais qu'on va faire une activité ensemble dans la bonne humeur...

Sur le chemin prairie => pension, si il repère un truc ou écoute un bruit, je dis toujours ce que c'est, c'est con, je sais, mais je l'ai toujours fait avec tous les chevaux que j'ai cotoyé.
moi pareil. Un truc leur fait peur, je dis "c'est un marteau-piqueur, ne t'inquiète pas", bon c'est plus le côté "tout est normal" qui le rassure que de comprendre que c'est un engin de chantier bruyant qui fait le raffût :D

Après je doute que les animaux comprennent notre langage, donc c'est plus l’intonation qui joue que vraiment les paroles.
ils comprennent quand on leur demande quelque chose de précis et qu'on les dresse à comprendre un mot et à y répondre.
l'exemple du chien de berger c'est exactement ça : quand il dit "sol" ça veut dire va à droite, "fa" va à gauche, c'est pas l'intonation qui fait que le chien prend telle ou telle direction mais le mot.Sinon il n'aurait qu'à g**ler "SOL!" pour aller à droite, dire tout bas "sol" pour aller à gauche, chanter "sooolll" pour s'arrêter...

les chevaux de débardage sont dressés à la voix, le mec ne touche pas le cordeau mais le cheval sait faire "un pas en avant, stop, deux pas à droite, attends, avance, stop, recule de trois pas" quand le meneur est à 10 mètres... et pas la peine de crier, d'y mettre une intonation, le mot correct suffit. Evidemment pratiquer 8h par jour, 5 jours par semaine ça aide, par rapport à nos chevaux de loisirs.
Le livre de D Gossin a déjà été cité, je le recommande aussi, il est très intéressant !

Quand j'ai commencé à travailler mon Ardennais, qui a l'habitude d'être attelé en paire, il ne comprenait pas "trotte !" mais démarrait dès que je disais "trottez !" :) j'ai dû lui apprendre "mes " mots (au pas, trotte) maintenant c'est acquis :)

Chez moi, contrairement à Vieuxtruc, j'ai un mérens passif qui attend toujours bienveillamment que je vienne le chercher... Sinon des fois il avance de 3 pas, broute, avance de 2 pas, broute, mais à ce rythme-là il lui faut la journée pour traverser les 10 ha. Ca va plus vite si je vais le chercher.
Quant à mon âne, il accourt du plus loin qu'il me voit, colle, suit, essaie de se faufiler si c'est pas prévu qu'on le sorte... Ca dépend aussi de leur caractère :)

Lorsque j'invite les chevaux certains viennent au petit trot d'autres viennent dans un train de sénateur. J'en ai peu qui viennent au galop, mais çà arrive. Il faut dire que dès le premier jour je ne leur mets ni licol ni longe. Ceci ne peut être fait dans un centre équestre ou les gens circulent avec des chevaux nerveux. De toute façon après seulement quelques jours nos chevaux lorsqu'ils s'effraient se serre contre moi au lieu de fuir. C'est un énorme avantage. Ils restent sans que rien ne les contraigne et c'est probablement que sachant qu'ils peuvent fuir s'il le faut absolument ils n'ont pas le stress du poids mort. A l'attelage par exemple si je pose les guides ils s'arrêtent. Cette technique je l'ai apprise en Hongrie. De plus comme je ne mets pas d'œillères ils me voient parce que je mets le siège meneur au centre lorsque j'attèle à 2 ou 4 et sur le côté droit pour l'attelage à 1. C'est pourquoi je suis certain qu'une personne muette est parfaitement capable en équitation de participer à toutes les techniques. Durant plus de 30 ans j'ai parlé et tout se passait bien mais ne pas parler a été l'expérience qui m'a le plus apporté et c'est pourquoi je l'ai gardé. Le plus important est de respecter le cheval qui devient un collègue de travail afin que la complicité se développe de plus en plus.(Même si ça n'est que du loisir).

vieuxtruc Ta technique pour faire venir un cheval à toi par le regard a l'air intéressante !
L'avantage que je trouve à la voix est que je trouve à la voix est que je peux guider le cheval sur un parcours et dans des situations où il ne peut pas capter mon regard.

ardennesacheval Dans le cas de gens comme ta copine, je travaille à les rendre sensibles aux ressentis du cheval. C'est un vrai travail, souvent compliqué, mais une fois la personne réceptive la situation se débloque et on constate de gros progrès !



En général, quand un propriétaire m'appelle, il est conscient que certaines choses seront à changer et d'autres à renforcer dans son approche du cheval mais si je devais présenter mon travail à un propriétaire qui est « content comme ça » j'aimerai avoir assez d'impact pour l'intéressé et amorcer un début de changement...
Mais j'idéalise peut être un peu^^

Je suis d'accord avec toi quand tu dis qu'un cheval ne s'attache pas à un cavalier occasionnel mais l'utilisation de la voix me permet d'avoir un impact direct sur le cheval avec lequel je vais interagir.

Je ne connaissais pas l'éducation des bergers allemands.
Tous les élevages fonctionnent avec les mêmes codes ? C'est spécifique à la race ?

j'ai de la chance, mes chevaux me disent toujours Bonjour et je leur réponds bien entendu!

lesvoixdulyss Pas d'accord !

Quand je vais dans la manège, ce n'est pas parce que je ne regarde pas mon cheval qui est derrière moi que je l'ignore.
Je reste connectée à lui quand même. Je sais ce qu'il fait et dans quelle attitude il est.

Pour répondre au sujet du post, je salue toujours mon cheval. Mais pas parce que j'y pense, juste parce que ça me vient naturellement ^^

Et j'aime entendre sa réponse d'ailleurs ! Ça m'indique son humeur du jour.
Un petit ronflement "Tient coucou"
Un gros et long hennissement "Enfiiiiin te voilaaa !!! J'ai faiiiimmmm !!!"

Je lui parle en fonction de ses répliques corporelles.
Si je vois qu'il s'agite, je répond "oui oui bah 5min, tu vas sortir, sois pas toujours aussi pressé !"

Je dois souvent le souler d'ailleurs à force de blablater.

Il aime bien me sentir aussi.
De part son passé, il n'apprécie pas qu'on envahit son espace de front. Si j'avance trop vite de face, il va ronfler un peu et reculer. Si je tend la main pour le laisser sentir, il va poser son nez dans ma paume et s'apaiser aussitôt.
Parce que je le connais, je peux l'aborder n'importe où, n'importe quand, qu'importe sa position.

En revanche, quand j'aborde un cheval inconnu, je tend le poing. C'est peut être con mais j'ai lu ça un jour étant gamine et j'aime cette idée.
C'était indiqué que quand on se présente à un cheval inconnu, on doit le laisser nous sentir, on tend le bras et on ferme le poing. Le poing fermé ressemble quelques peu au nez d'un cheval et quand 2 chevaux se rencontrent ils se frôlent le bout du nez.

Ma foi, le poing où la main ouverte, le principe étant que je n'envahis pas son espace ^^

ardennesacheval Je suis globalement d'accord.

Pour les chiens de berger ( lesvoixdulyss il ne s'agit pas de berger Allemand mais de Border collie, la formule un du chien de berger) ) certes nous utilisons des codes extrêmement précis puisqu'on travaille parfois à 500m du chien ... d'ailleurs les bergers les plus habiles utilisent le sifflet ( un coup pour droite, 2 coup pour gauche, un sifflement long pour le STOP à terre etc etc). Le chien n'a pas besoin de mots, c'est juste plus facile pour nous car c'est notre langage.... parfois même avec certains chiens dont un des miens je n'ai besoin d'aucun mot et j'insiste... j'ai juste besoin de le regarder, ma gestuelle, mon attitude corporelle fait le reste... l'instinct aussi.

Les chevaux c'est pareil, certains auront comme tu le dis très bien besoin d'être rassurés par un bruit de fond et je préfère cela que le " HO LA" comme tu le fais bien remarquer. D'autres, sont tellement fins et si j'ose dire proche de leur humain qu'une attitude très sobre suffira ... ils lisent en toi.
Mais je pense que chaque animal a ses propres capacités pour comprendre avec finesse ou pas ... pour certains les mots peuvent etre véritablement une aide, pour d'autres ils sont inutiles.

@choubichougirl Je ne disais pas forcément ça pour toi mais les cavaliers qui vont dans le manège sans remarquer que derrière je cheval suit passif et démotivé avec les rênes tendues c'est quelque chose qu'on voit beaucoup !

C'est super que le salut te vienne naturellement !
Ce n'ai pas toujours le cas de mes stagiaires alors j'essaie de leur apprendre pour qu'ils en prennent l'habitude et que ça devienne naturel chez eux aussi !

Moi aussi j'aime entendre la réponse au bonjour !
Notre parc d'été est très grand avec beaucoup de coins d'arbres, on ne voit pas forcément les chevaux tout de suite alors je cherche Ulyss en l'appelant
Ulyss ?
Hiiiii !
Et je cherche d'où vient sa voix^^

Après je suis d'accord avec toi sur l'importance de l'olfaction, je fais pareil avec les chats, quand je rentre chez moi je laisse Misty me sentir et je fais pareil quand je vais chez mes parents avec leurs chats qui me connaissent mais me voient moins !

tidesigual C'est vrai qu'un sifflement ou une attitude peut suffire à faire passer une information mais l'utilisation de la voix me permet d'avoir un impact direct sur n'importe quel cheval, d'installer une ambiance, un climat de travail et d'amener le cheval au niveau d'énergie voulue !