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. J'y suis retournée 2 mois plus tard & ai commencé à m'intéresser à son copain de pré
), un criollo x PH de 12 ans tout peureux mais demandeur d'affection. Les débuts étaient compliqués, c'était surtout du TAP & une remise en confiance, tout ça pendant 1 an & demi environ avec beaucoup de hauts & beaucoup de bas
La propriétaire était sympa, tout se passait bien. Changement d'écurie après ça, j'ai commencé à le monter en balade & à exercer diverses choses en carrière (assez mouventé d'ailleurs
), la propriétaire a décidé de le vendre & j'ai sauté sur l'occasion
.
Je ne pouvais aller le voir que 2 fois par mois car bcp de contraintes personnelles.
etc), c'était le monde des bisounours, bonbons à gogo & mauvaises habitudes qui revenaient au galop ! Avec ça je passais ensuite pour la méchante propriétaire qui passait une fois tous les 6 mois, qui donnait des conseils à la va vite & qui repartait direct.


---> J'ai eu une TP pendant 2 ou 3 ans quand j'étais au collège. Une propriétaire qui avait dû quitter la région et pour qui c'était un crève-coeur de mettre sa ponette au club et qu'elle perde son niveau (elle avait passé son galop 7 avec). Son seul intérêt étant de maintenir le niveau de la ponette, elle ne demandait aucune participation financière et me laissait faire tout ce que je voulais. J'étais très soucieuse du bien-être de la ponette et de la qualité du travail, c'était une occasion en or pour moi de travailler davantage de points entre 2 cours et surtout, d'avoir une première expérience de travail autonome d'un cheval avec des objectifs, axes de progression etc, d'autant que la ponette s'ennuyait vite au travail et je devais donc toujours utiliser mes méninges pour trouver une méthode autant efficace que agréable pour la ponette, etc. En parallèle je partais en balade à volonté (seule ou accompagnée), pouvais sauter etc. J'avais même participé à un petit concours de dressage, c'était top.
---> Une DP quand j'étais étudiante, assez courte du fait de mon départ en stage quelques mois après. Jument très différente entre les 2 essais réalisés et la suite. C'est là que j'ai vraiment réalisé que pour s'investir pleinement dans une DP, il faut avoir une attirance pour le cheval, ou un minimum de feeling. Je finissais par y aller à contre-coeur et, même s'il était hors de question que le jument subisse quoique ce soit de la situation et que j'ai tout fait pour, je reste persuadée que c'était agréable ni pour elle, ni pour moi. On n'est quand même pas pareil quand le cheval nous énerve que quand on l'apprécie. Car en plus, on ne peut s'empêcher au bout d'un moment d'arriver à une réflexion coût/bénéfice : sur l'argent dépensé pour la DP et/ou pour le trajet, le temps utilisé pour ça, le repas manqué avec les amis pour y aller, etc, qui ne "valait pas le coup par rapport à la séance pas top que je viens de passer".
---> Une DP l'année dernière qui a duré... 2 semaines
Ca vendait du rêve sur le papier : proprio qui est en études en alternance et donc me laisse m'occuper du cheval en totale autonomie sur les semaines où elle est absente (parfois 3 à la suite), et de manière illimitée sur ces semaines. Cheval qui me plaisait bien, tout près de chez moi et, cerise sur le gateau, dans une pension de propriétaire qu'il m'intéressait de tester pour mon futur cheval. Malheureusement, le cheval s'est cabré tout droit comme un I en jetant nettement ses antérieurs sur la mono qui le tenait à pied au bout de la 2e semaine. J'ai appris ensuite qu'il avait un passif important à ce sujet, j'ai stoppé net.
---> Enfin, une TP sur un chouette cheval hyper bien mis dans une écurie avec top installations. Cheval assez changeant d'une séance à l'autre qui faisait se poser pas mal de questions, de recherches de solutions, etc. très instructif. Propriétaire de rêve qui considérait qu'il "était à moi" sur mes jours de TP et donc que je pouvais faire ce que je voulais, à la seule et unique condition de prévenir quand je sautais pour que le cheval ne saute pas 15x dans une même semaine. Je ne voyais presque jamais la proprio mais lui envoyait systématiquement un sms après chaque séance, ne serait-ce que pour qu'elle sache les éventuels problèmes rencontrés dans le travail du cheval et qu'il y ait un suivi à ce niveau puisque c'est elle qui le montait les autres jours. Je l'appelais aussi dès qu'un truc m'inquiétait, par exemple une fois à l'attache où il ne voulait pas donner un pied, savoir si c'était habituel ou si ça pouvait être une raison de s'inquiéter.


sur un vertical pas très haut, juste pour voir (je n'avais pas ressauté depuis l'essai). Et poney au top qui emmène vers ses barres, bref c'était bien sympathique comme expérience
On a vraiment fait de tout, j'ai beaucoup apprécié pouvoir sortir en balade en autonomie avec, il ne bougeait vraiment pas une oreille, un amour. On a fait du plat et sauté également, un vrai régal ! Comme pour ma DP précédente, sa propriétaire ne me demandait pas de compte-rendu de chaque séance mais j'aimais bien la tenir informée, surtout si je sautais (jamais très haut, mais tout de même) pour ne pas que loulou fasse trop de séances de saut dans la même semaine. De même, si sa proprio sautait avec, elle me le disait et j'adaptais la séance (souvent du plat pour le détendre avec une séance light, ou bien une sortie en extérieur). J'ai adoré cette expérience et ce cheval
Malheureusement pour des raisons pratiques, la DP a dû se terminer plus tôt que prévu
Mais j'en garde d'excellents souvenirs !
