Pour les cavaliers et proprios qui ne connaissent pas la galère de ne pas avoir d'espace pour lâcher j'aimerai avoir un peu de compassion, que vous vous mettiez deux secondes dans le point de vue d'une cavalière qui ne connaît que des clubs SANS paddock
Pas besoin de compassion, on ne te blâme pas...
Désolée d'avoir donné l'impression de te sermonner, ça n'était pas le but. J'étais un peu effarée par certaines phrases que j'ai lu et ai peut-être réagi à chaud, mais ça n'est pas contre toi, c'est pour te faire comprendre les choses.
J'ai monté 4ans dans un club parisien, bien pire que le tien car box minuscules, une liberté dans le rond de longe de temps en temps, que du manège et un peu de carrière. 1,5mois de pré l'été.
Il y avait une chute par cours au minimum, pendant une période ils avaient un abonnement chez les pompiers.
Ça ne faisait pas rire grand monde, surtout pas les profs qui n'avaient pas de pouvoir décisionnel.
Les choses ont évolué et les chevaux pètent moins en l'air, mais j'ai fini par réaliser que ces conditions de vie qui n'étaient pas idéales, n'étaient finalement pas possible à cautionner.
Ça m'a fait mal au cœur de quitter des chevaux que j'ai énormément adoré, mais au bout d'un moment, c'était un souci de conscience.
Donc la compassion, pas besoin, j'ai connu pire que toi et au préféré lâcher ça. Je ne consomme plus l'équitation coûte que coûte à présent, et ça me fait du bien.