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Cavaliereseule

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Posté le 05/07/2018 à 21h03

Bonjour CA ! J'ai toujours aimé enseigner et le métier de professeur m'attire beaucoup depuis quelques années ! Je parle plus précisément du métier d'institutrice en école primaire. Mais j'ai quelques questions qui me font douter, alors je l'adresse à de qui connaissent le domaine :

-quand on a le CAPES, j'ai entendu dire qu'on ne pouvait pas choisir entre primaire et maternelle, qu'on allait là où on était affectée (pareille pour college/lycée) comme c'est le même diplôme, est ce vrai ?
-quel est le système de cotisation pour les vacances d'été ? Y en a t il un (car je ne suis pas sûr) ? Comment est on payé Juillet/Août ?
-Arrivez vous avec le salaire de prof à entretenir un loulou ?(j'ai conscience qu'on ne choisit pas le métier de prof pour le salaire et les vacances mais pas vocation et c'est mon cas je crois)

Et enfin...la question ultime....

Comment fonctionnent les affectations !?!?

Surtout la première. Choisi t on sa région d'affectation ? Me concernant, je suis actuellement en région Parisienne (depuis 3 ans) et ma priorité est de la quitter ! Je déteste cette région ! Et comme j'ai compris que l'affection marchait en fonction de l'académie dans laquelle on a étudié, j'ai pour envie d'aller faire mes études post bac dans le Gard à la campagne <3 (je ne demande pas être affectée à la campagne je suis réaliste) région à laquelle je suis extrêmement attachée. Mais y a t il un risque (la première affectation et année de stage y compris) d'être affectée hors de son académie ? Car clairement, après m'être échappée de du nord, je ne compte pas y retourner !

Merci d'avance !

Édité par cavaliereseule le 05-07-2018 à 21h37

Xponylove

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Posté le 06/07/2018 à 11h41

cavaliereseule oui :)

Cavaliereseule

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Posté le 06/07/2018 à 11h51

xponylove super !

Plume88

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Posté le 06/07/2018 à 12h53

tam89 Oui, des profs ne se prennent pas la tête, mais je peux affirmer que la petite section n'est pas pépère, surtout en début d'année avec les pleurs, les cris, quand il faut les porter etc.

Niveau évaluation, certes, il n'y en a pas à corriger, mais il faut évaluer les élèves un par un, chaque trimestre, afin de coller des étiquettes correspondant à ce que sait faire l'enfant.


Pour ce qui est de l'activité de l'enseignant pendant la sieste, tout dépend le lieu d'exertion, car il y a le décloisonnement qui peut se dérouler sur ce temps. Mais tout dépend également si l'enseignant est dans le public ou le privé, et de son investissement dans son travail. Certains font faire juste ce qui est demandé, d'autres vont aller creuser un peu plus loin, afin de présenter des activités et travaux divers à leurs élèves, ce qui fait que l'état de fatigue diffère.

Tam89

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Posté le 06/07/2018 à 13h47

plume88

tout ça je le sais je l'ai vécu pendant les années ou j'ai bossé comme AVS.

Il n'empeche que ça reste un travail tranquille.
Tu as déjà bossé à l'usine ?

Moi oui, je me suis tapé à gratter des pneu tout juste sorti des four et en faisant les 3x8 et bien si tu veux on échange ton annnée d'instit contre une année à l'usine, et je peux te garantir que tu trouveras ton boulot d'instit tranquille ...

Parce que même si t'as eu une semaine épuisante à cause des gamins, bah ton week-end va bien te reposer.
Par contre quand tu finis ta semaine à l'usine le samedi matin à 4h, et que tu reprends le lundi à 4h bah ton week-il est pas franchement assez long pour pouvoir te reposer, et t'enlever le mal de dos ou de bras.
Et même si le 1er mois est dur en maternelle, bah vous avez 2 semaines de vacances toutes les 6 semaines + les 2 mois d'été, quand t'es à l'usine t'as 5 semaines de vacances dans l'années ...

Donc je continue de dire que en maternelle c'est tranquille.
Et bizarrement tous les instits que je connais qui ont fait autre chose avant le disent aussi ...

Sur ce, ce n'était pas le sujet du post, désolée de l'avoir pollué.

Plume88

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Posté le 06/07/2018 à 14h26

tam89 On ne peut pas comparer le travail en usine avec l'enseignement, ce ne sont pas les mêmes études, ni la même durée


Pour la tranquillité du WK tout dépend de si oui ou non, il y a des enfants à la maison, surtout si ils sont petits, de plus une semaine comporte 5 jours, un Week-end, 2.


Et pendant ces jours ci, il y a la préparation du lendemain, de la semaine prochaine, de l'année suivante…
Peu de personnes voient le travail fournit par les enseignants chez eux, sans oublier les réunions etc.

Or dans un autre métier, avec moins de vacances, quand les salariés sont en vacances, ils n'ont plus à penser à leur travail, ils en profitent à 100%

C'est un travail qui est super du fait de partager son savoir, mais assez éprouvant physiquement, du moins, en maternelle.

Et comme dit précédemment, certains suivent le programme, et chaque année font la même chose, d'autres, s'impliquent réellement, et essayaient de diversifier au maximum. Chacun son objectif et sa vision des choses. Certains se contentent d'avoir 12 à leur inspection, d'autres cherchent le 18.
Comme des enseignants qui dès qu'ils sont en vacances, en font le minimum, d'autres travailleront jusqu'à 23h (c'est du vécu)

Mais dans les 2 figures, il y aura toujours un travail personnel à accomplir. Je pense que les enseignants peuvent se sentir satisfaits de leur année, quand en fin d'année les parents viennent leur dire "Mon enfant vous adore, il voudrait vous avoir l'année prochaine" ou que (en maternelle) les enfants viennent te faire des câlins à tout va.

Après, chacun pense ce qu'il souhaite, mais dénigrer le travail d'enseignant, j'ai un peu de mal
Après, même les ATSEM et autre vous dirons que c'est un travail tranquille, car ils ne voient pas les réunions et le travail effectué à la maison.

Et quand on pose la question à un enseignant de savoir si il aime son travail, et si c'était pas trop fatiguant, il vous répondra souvent que oui, ça a été, car ils ont décidés de devenir enseignant et ils aiment leur travail.

Ceux qui côtoient les enseignants de près, comprennent assez rapidement que c'est un énorme travail de préparation.

Plume88

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Posté le 06/07/2018 à 14h27

Par contre, je n'ai pas dit que les autres métiers ne pouvaient pas être tout autant physiques.

Tam89

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Posté le 06/07/2018 à 14h43

A quel moment j'ai dénigré le travail des enseignants ?
Dire que c'est tranquille c'est pas dénigrer ...

Bref...

Édité par tam89 le 06-07-2018 à 14h47



Neonetmath

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Posté le 06/07/2018 à 15h20

J'en rajoute une petite couche désolée.
Alors je ne suis pas prof ni instit', par contre mon père est instit' (classe de CLIS depuis une bonne dizaine d'années maintenant je crois) (et mon arrière grand-mère était instit', mon grand père était et ma tante est prof d'anglais). Bref, j'ai quelques profs dans ma famille ^^

Pour l'exemple de mon père pour qui j'ai une grande admiration et qui fait vraiment, je le crois (et je ne suis pas la seule à le penser) du très bon travail et qui est très investi et impliqué pour ses élèves, bah faut avouer qu'il profite de ses vacances comme si c'était des vacances ! Donc si en comparaison de ma mère (qui elle, est employée dans une imprimerie), c'est plus "tranquille" comme boulot niveau vacances


Après, ça ne veut pas dire que ce n'est pas mérité , mon père se défonce pour son boulot et ses élèves, en semaine effectivement, il rentre très souvent tard (préparation, réunion, rencontre des parents d'élèves ou des accompagnants psy etc (il est en CLIS), bref il arrive à l'école bien avant les élèves pour préparer et en repart bien après. Par contre, pendant les vacances d'été notamment, il "coupe" réellement avec le boulot pendant quasiment 2 mois (il va "finir" et "reprendre" après/avant les élèves pour préparer etc quand même). Et il a bien raison !

Et ça ne veut pas dire que c'est "tranquille" comme boulot quand on y est car en effet, ça à l'air épuisant au quotidien. J'ai vraiment un grand respect pour ce métier perso (quand c'est bien fait c'est toujours pareil, ça vaut pour chaque profession !)

Pour avoir été plusieurs fois avec lui et ses élèves, perso, je ne sais pas comment il fait pour garder tant la motiv', moi je suis au bord de la crise de nerfs au bout de 20 minutes Donc il faut bien au moins ça de vacances pour pouvoir s'en remettre

Clec

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Posté le 06/07/2018 à 15h32

tam89 travail tranquille... au bout de quelques années d'enseignement seulement et encore !

comme dit plus haut certains s'investissent plus que d'autres tout comme certains ont un niveau d'expertise différent ce qui fatigue plus ou moins!

en moyenne les profs d'EPS expérimentés mettent entre 9 et 15min de préparation par heure de cours effectivement c'est peu! mais je peux t'assurer que pour les jeunes profs c'est nettement plus! et parfois plus du double de temps à préparer qu'à enseigner!
après une fois que tes trames sont faites, ça va beaucoup plus vite, tu as des exercices types que tu choisis en fonction de tes élèves. en EPS, quand les sports pratiqués changent pour X raisons tu as de nouveau énormément de boulot à faire! (voilà, ça c'est mon expérience de prof d'EPS en devenir)

d'autre part, il y a les réunion entre profs mais aussi les rdv avec les parents et ça ce n'est pas forcément simple à gérer !

je ne sais plus si c'est valable pour tous les profs ou juste ceux d'EPS mais on nous a prévenus, maintenant les parents sont de plus en plus chiants (désolé pas trouvé d'autre qualificatif qui aille aussi bien) et on a la certitude d'avoir au minima un procès dans notre vie pour X raisons (ça peut être le fait qu'un élève ait fait une chute et se soit cassé la jambe et on accuse le prof de ne pas savoir créer des exercices approprié aux élèves, mais comme sûrement tu as dû entendre aux info il y a aussi d'autres histoires qui subissent d'autres profs plus ou moins inventés par les élèves et où les parents agissent plus ou moins!)

voilà, même si les dangers/difficultés ne sont pas les mêmes que lors du travail en usine, c'est tranquille jusqu'au jour où ça te tombe dessus et où tu peux après en avoir pendant des années ! (et ça peut tomber aussi bien en début qu'en fin de carrière !)

Brei_zh

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Posté le 06/07/2018 à 15h40

cavaliereseule

Juste une petite précision sur les affectations. Pour devenir Professeur des écoles, c'est un concours académique, donc plus ou moins difficile selon les académies et on est affecté dans l'académie dans laquelle on a obtenu le concours. Ensuite, ça m'a l'air très compliqué de changer d'académie, du moins de ce que je vois autour de moi.

En revanche le CAPES ou l'agrégation, pour devenir prof dans le secondaire donc, sont des concours nationaux, ce qui veut dire qu'après avoir réussi le concours et fait son son année de stage (normalement effectué dans son académie d'origine) on peut être envoyé n'importe où en France, dans les académies déficitaires. (Amiens, Créteil, Lille, la Guyane, Mayotte par exemple)

Ensuite, pour bouger, il y a un système de points (qui sont obtenus par plusieurs biais: ancienneté, prime pour travail en ZEP, rapprochement de conjoint, enfants etc...) et chaque demande de mutation est examinée par une commission paritaire qui accorde ou non la mutation selon les points dont on dispose (mutation inter académique). Ensuite, une fois qu'on a obtenu l'académie qu'on veut, il y a une deuxième vague (mutations intra académique) qui affecte les gens suivant les postes disponibles. On peut se retrouver à Rouen en ayant visé Cherbourg par exemple...

C'est quelque chose à prendre en considération pour sa vie future...

Les "barres de mouvement" https://www.snes.edu/Barres-des-mouvements-Inter-academiques-2013-2018.html

Édité par brei_zh le 06-07-2018 à 15h43



Looloutte

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Posté le 06/07/2018 à 15h50

Alors en effet je suis enseignante, et en effet je travaille 12 mois par an.

Aujourd'hui j'ai passé 6h à l'école alors même que je suis en congé parental (non rémunérée) et qu'on est en juillet.

Il y a ceux pour qui c'est un métier pépère et c'est bien dommage pour les élèves. Et puis il y a les enseignants, les vrais, qui s'investissent. Je n'ai jamais eu une journée où je ne ramenais pas de travail à la maison. Ni des vacances où je ne travaillais pas. L'été tu prépares ton année suivante. Les petites vacances ta période suivante. Quel que soit le niveau.

Sur ce si pour toi c'est autant une bonne planque l'éducation nationale, je t'en prie passe le concours :)

Édit : et je précise que j'ai fait autre chose avant, auxiliaire de vie y compris de nuit avec des handicapés lourds et des fins de vie pendant toutes mes études (30h en + de la fac pour préparer le dit concours donc) et je maintiens que je bosse + maintenant.

Édité par looloutte le 06-07-2018 à 15h52



Cavaliereseule

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Posté le 06/07/2018 à 17h36

brei_zh merci beaucoup c'est très clair !!! Mais il n'y a donc pas d'année de stage pour être professeur des écoles ?

Raph73

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Posté le 06/07/2018 à 19h08


looloutte a écrit le 06/07/2018 à 15h50:

Il y a ceux pour qui c'est un métier pépère et c'est bien dommage pour les élèves. Et puis il y a les enseignants, les vrais, qui s'investissent. Je n'ai jamais eu une journée où je ne ramenais pas de travail à la maison. Ni des vacances où je ne travaillais pas. L'été tu prépares ton année suivante. Les petites vacances ta période suivante. Quel que soit le niveau.


Je rebondis la dessus. J'ai une famille de profs et pour le coup ça m'a dégoûté d'exercer ce métier. Dire que c'est un métier pépère

Chaque cas est particulier.

Y'a les profs qui vont piquer des cours tout fait sur internet, qui ne vont pas les adapter, les imprimers et les donner à leurs élèves pour qu'ils se démerdent tout seuls. Ils se serviront de ces mêmes cours d'années en années peu importe les changements. Eux ils profitent de leurs weekends et de leurs vacances.

Il y en a d'autres à l'inverse qui vont se démener pour faire des cours adaptés à chaque classe et chaque élève. Ils chercheront des parades pour aider les élèves en difficultés et des projets innovants pour interesser et prouver à leurs élèves que oui ils sont capables de réussir.
Les programmes changent en moyenne tous les deux ans (je ne sais pas si c'est dans toutes les filières mais c'est le cas pour mes proches).
Dans ces cas là : Année 1: Ils jettent tout et recommencent.
Année 2: Ils trouvent de nouvelles idées pour améliorer leurs cours.
Année 3 = Année 1 : Rebelote les nouveaux programmes arrivent il faut recommencer ...
Je ne parle pas des logiciels à utiliser qui changent sans arrêts (et donc la nécéssité de changer les cours). Je ne parle pas non plus des conditions de travail qui se dégradent d'années en années (plus d'élèves dans les classes, moins d'heures de dédoublements, moins d'argent pour les projets, moins de TP dans les filières où les élèves en ont besoin ...) ce qui demande toujours plus de temps pour parer à cela, essayer de maintenir la concentration et la compréhension des élèves coûte que coûte.
Ni des parents qui te sautent au cou parce que leur enfant ne s'est pas inscrit sur APB malgrè les mails envoyés, les coups de téléphones et les nombreux mots pourtant signés "par les parents". C'est loin d'être des semaines de 35h qu'ils font.

Bien sûre la je parle de deux extrêmes. Moi les exemples que j'ai c'est des profs qui en oublient leurs passions, qui passent leurs vies dans leurs bureaux à essayer de faire de mieux en mieux pour leur élèves et qui se bousillent la santé. Je t'assure que même en vacances ils bossent. Ils bossent trop, sûrement, mais ils font ce qui leur semble nécessaire (n'hésitent pas par exemple à donner des cours particuliers obligatoires à des élèves qui n'en ont rien à faire pour qu'ils aient leur BAC, bien sûr heures non payées ...).
Je vois difficilement comment des profs peuvent fournir des cours de qualité à des élèves en étant pépère.

Il faut arrêter les généralités, chaque prof, chaque niveau d'étude, chaque classe est différente. Dire que c'est pépère ils ne faut pas abuser. On ne peux pas comparer les métiers entre eux. Nous sommes tous différents, ce qui est dure pour l'un ne l'est pas pour un autre. Certains ne supportent pas de rester assis toute la journée, d'autres de rester debout, certains sont rassurés par la monotonie, la routine, d'autres font tout pour justement avoir des tâches variées ...

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Posté le 06/07/2018 à 19h42


tam89 a écrit le 06/07/2018 à 10h08:
Ma frangine a fait toute sa carrière comme prof de techno en collège bah pareil elle était pas trop fatiguée de ses semaines.


Heu... Je peux lui filer les 3e que j'ai eu cette année ?

Non, sérieux... Ne pas généraliser.
Le métier dépend énormément du facteur humain, très variable. On a eu une classe tellement casse pied cette année que TOUS les enseignants sentaient bien passer les heures avec eux : on était HS après une heure avec cette classe.
Ajoutez à ça les copies, les cours à remanier (si ce n'est à préparer de A à Z), les projets divers à organiser/mener.

Et je pense que la conscience professionnelle joue également.
J'ai un collègue qui n'était pas très fatigué à la fin de l'année, même en ayant eu des élèves casse pied aussi. Il ne s'est pas investi dans les projets, il était absent au moindre petit rhume, a fait peu d'évaluations et une fois les conseils de classe du 3è trimestre passés, il n'a mis que des films aux élèves. Chacun y met la dose d'énergie qu'il souhaite...

Brei_zh

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Posté le 07/07/2018 à 08h11

cavaliereseule
Si année de stage aussi pour être professeur des écoles, dans l'académie où on a réussi le concours il me semble, mais je peux me tromper. Ca a changé en plus, il faut aussi valider un M2 maintenant, alors qu'avant, une licence suffisait. Licence + concours + année de stage, maintenant, M1 qui prépare au concours et M2 / année de stage si je ne dis pas de bêtises.

L'idée derrière, c'est de pouvoir recruter les M2 qui ont raté le concours pour qu'ils deviennent contractuels dans l'EN (=bouches-trous Kleenex moins payés que les fonctionnaires et surtout virables dès que nécéssaire) en tout cas dans le secondaire.
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