clochette11 Ce n'est pas de la victimisation, c'est une culture. Les filles sont moins poussées vers les études, on les leur paye moins facilement et si tu en veux les raisons, lis une études sur le sujet, ils expliquent bien mieux que moi.
Je me sens heurtée par ton précédent message parce qu'il prétend qu'il faut plus de force pour des jobs dit "masculins". C'est faux, c'est dédaigner tous les efforts fait dans les emplois dit "féminins".
Quand je lis ce sujet, j'ai quand même une bonne idée de "qui empêche les femmes de..."
corleone Qu'il y ai des différences physiques, qu'on ne fasse pas les même records aux JO, je veux bien mais lorsqu'il s'agit de productivité, de travail, d'utilité, il n'y a plus de différence.
J'ai occupé les deux types de travail, féminin/ masculin. Les deux sont durs mais il y en avait où la reconnaissance des TMS, les moyens techniques, les réflexions autour de l'ergo, la protection des salariés et la reconnaissance par la société était supérieure.
AS n'est pas manuel, c'est un travail de force. Lors de mon dernier jour de travail, j'ai relevé une personne de soixante dix kilos du sol (c'est mon poids) et ce n'est même pas exceptionnel.
Bref, je ne vais pas argumenter 10 pages là dessus parce que ce n'est pas le sujet mais je tiens quand même à ce que ce soit dit. Le travail des femmes, ce n'est pas une sinécure, ce n'est pas plus facile ni moins physique que celui des hommes. C'est peut-être pour cela que l'on manque tant de personnel alors que l'on n'en a tant besoin (et nos résidents aussi). Les finances ne sont pas le seul blocage, notre travail est largement sous-estimé et j'imagine que c'est valable pour d'autres métiers du genre.
Peut-être que l'équitation, c'est un sport sous-estimé aussi et que du coup, on y envoie pas les garçon et on dévalorise ceux qui y sont. Combien de fois ai-je entendu dire que ce n'était pas un sport?
A côté de ça, le nombre d'enfants licenciés en club de rugby baisse car le nombre de blessure, notamment à la tête, augmente.
Ils vont peut-être se mettre à cheval, ceux-là.
