Hey !
Intéressant, ce post
Tu parles de cas isolés concernant des agriculteurs consciencieux qui se seraient fait retirer leurs animaux. Soit. Ça arrive et c'est clairement dégueulasse. Parce que comme tu dis, les producteurs industriels eux, sont rarement - même si de plus en plus - inquiétés.
Pareil pour les assos qui refusent de placer des animaux quand accès à l'extérieur. Bon, je m'attarderai pas sur le sujet, je trouve ça nul, mais c'est pas le fond du problème.
En gros, c'est toujours le même schéma : il est plus simple de s'attaquer à ce que l'on voit qu'à ce qui est caché. Ça vaut pour les agriculteurs, mais ça fonctionne aussi en politique (faire que les ouvriers s'en prennent aux immigrés qui "volent leur travail" nianiania alors que le PDG s'empiffre comme jamais, par exemple
).
Définir de manière collective ce qu'est le bien être animal
Ca apporte déjà des clés, ça. Définir collectivement. D'ailleurs, le collectif se répand beaucoup ces derniers temps. Par exemple, et pour prendre un exemple du moment, les listes citoyennes pour les municipales. Les gens commencent à se réapproprier les moyens de décision. C'est trop chouette, et c'est comme ça que le schmilblick avance !
Les associations dont tu parles fonctionnent rarement de manière collective. C'est à nous de changer ça
On peut imaginer des comités citoyens composés de professionnels de la santé animale, de gens "du commun", de propriétaires, de militants, d'agriculteurs qui ébaucheraient ensemble les conventions.
Mais c'est qu'un exemple...