sunnye a écrit le 08/04/2020 à 14h19:
. Qu'il est peur ça peut lui arriver mais pas qu'il fasse des demi-tour et nous embarque sur plusieurs mètre sans savoir où il va.
Je ne vois pas comment tu peux éviter ça. S'il a peur, c'est la 1ère réaction "réflexe" : je m'enfuis loin du truc qui fait peur et donc, souvent demi-tour, galop plein cul. Ensuite, selon ta chance, il s'arrête et/ou respire et si tu es restée calme dessus, le pois chiche peut revenir à sa place plus ou moins rapidement.
Mon cheval était un super cheval de balade. Sur sa toute dernière balade de sa vie (retraite), et bien, il m'a fait des demi-tours, galop plein cul, alors que je venais juste de le mettre au trot. J'avions pas vu les oiseaux en plastique qui bougeaient pour effrayer les oiseaux dans le champs à côté + le soleil qui faisait de beaux reflets qui bougeaient. Par contre, ça l'avait surpris et il a réagit épidermiquement.
Ensuite, je ne sais pas comment, mais avec lui, les demi-tours ou écarts soudains, je reste dessus. Je pense, que c'est parce qu'il n'ajoute pas du tout de sauts de mouton pour se débarrasser de moi. Il a peur, point, et n'a pas envie de se débarrasser de moi.
sunnye a écrit le 08/04/2020 à 14h19:
Autre choses, quand mon cheval fait du saute-moutons, pas le coup de cul ou le rodéo, mais vraiment le petit saute-mouton, tête encapuchonner sur lequel on peut tenir si le cheval ne le fait pas trop longtemps...
Comment gérer se genre d'événement ?
Faut-il essayer de lui relever la tête ?
Quel attitude le cavalier doit-il avoir pour réussir à maîtriser sa monture ?
Quand je ne suis pas trop déstabilisée et vu que je préfère être bien éjectée, que de subir des séries de petits sauts de mouton, je n'ai aucune pitié. Les petits coups de culs en série, c'est pas de la joie (ça, c'est le grand coup de cul au galop, ou l'embarquement soudain au galop quand il y a un "prétexte" et besoin de se défouler).
Taquets dans la bouche (ouais, au-cune pitié), à droite ou à gauche, surtout ne pas donner plus d'appui au cheval, et essayer de le faire tourner. Et enchaîner de suite (aucune pause,rien de rien) sur du vrai boulot. S'il a de l'énergie à revendre, ben, il trotte ou galope, en place, avec un dos qui fonctionne sur un cercle, changement de pieds ou de direction et recercle, travail latéral, etc. Plus il fait l'idiot, plus il a droit à du boulot et picétou.
Sinon, pour ta question sur le fait que les défauts de la cavalière se reflétait sur le cheval : bien sûr. Perso, je suis tordue et ne "tourne pas à gauche". Et bien, tous les ans, l'ostéo passait, car au bout de quelques mois de boulot, mon cheval aussi, ne tournait plus à gauche. Et c'était bien de ma faute.
Si tu ne tiens pas non plus ton cheval à pieds, il y a bien un problème de respect à résoudre.
Le mien pouvait avoir peur à pieds ou à cheval, mais à pieds, il se contentait de me mettre entre l'objet de sa peur et lui
ou simplement refuser d'avancer, charge à moi de le convaincre de continuer. S'il était trop "dissipé", selon la situation, je lui rappelais que j'existais et que j'étais son "problème Nr1" auquel, il devait faire gaffe.