Anecdote qui a surgi d'absolument nul part à 1h30 du matin en rentrant de soirée

pas spécialement dans le thème du sexisme mais dans celui de se défendre !
Gamines, on termine un cours en carrière un soir d'hiver, pleine lune toussa. On a attaché les poneys devant les boxes, quand on entend des hurlements stridents en direction du calvaire à une dizaine de minutes au pas du club (en pleine campagne)
Je m'en souviens vachement bien : sans hésitation, ma monitrice se précipite vers le premier grand poney, "non pas Iso" (cheval vert très sur l'oeil), deuxième grand poney, elle re-sangle en deux deux, grimpe dessus, là je sais plus si elle met deux énormes coups de talon ou de cravache, mais en tout cas une action un peu vénère, et la voilà partie seule plein fer dans le noir en direction des cris

et à l'époque on était un peu moins branchés téléphone qu'aujourd'hui, je sais pas si elle en avait un sur elle.
Bon au final c'est des meufs de l'internat pas très loin qui avaient fait le mur et se chamaillent, à mon avis elles se sont fait al-lu-mées
Bref, je me disais que je ne sais pas si j'aurais eu les ovaires assez accrochés pour agir comme elle !
Ce qui est certain c'est qu'on a demandé à être accompagné pour ramener les poneys au paddock alors qu'elle était partie