Prix des chevaux..... coup de gueule!

je ne suis pas eleveuse mais dirige un centre équestre une petite structure familliale et j'ai produit deux poulains l'un sur une jument avec une génétique ecxelente albert du berlay et belle du chateau par frou frou saillie de laurier de hère et l'autre mère fjord croisé appalooza oi avec un psa d'endurance et bien juste pour les faire naitre sans compter les saillies elles m'ont coutées la meme chose 2500€ si je devais les vendre je doute fort que je puisse gagner de l'argent le dsa est pour le club l'anglo pour ma petite fille

Surtout que au prix de la mode on en oublie que l'imbreeding c'est pas top pour la diversité génétique et la resistance des animaux

fperriere a écrit le 10/08/2010 à 09h10: Surtout que au prix de la mode on en oublie que l'imbreeding c'est pas top pour la diversité génétique et la resistance des animaux

Tu as tellement raison!

alpine40 a écrit le 10/08/2010 à 06h59: pourquoi,ca s'eleve des chevaux en paddock?!

bien sur !!

surtout en SF ..... des "eleveurs" avec 2-3 poulinieres et 15-20 chevaux en box-paddock sur 2-3-5 hectares, y'en a a la pelle ....

j’ai découvert que ce métier d’éleveur chez monsieur Drexler (éleveur de poney et double actif) c'est un metier fait de passion, de compétence, d’expérience apprise sur le terrain et auprès d’autre éleveur plus expérimenté,… .
J’ai décidé sur leur conseil de mettre ma ponette (OI en France),avec laquelle je suis bien sortie en concours et qui est bien faite, à la reproduction. J’ai cherché pendant plus d 6mois quelle étalon mettre par rapport aux critères que je m’étais fixé (model, amélioration de son physique, de son caractère, …).suite a ça j’en ai sélectionné une dizaine et suis retourné voir mon patron.
Je suis partis sur le principe ou je ne voulais pas une saillie trop chère car c’est son 1er mais pas au dépit de la qualité.
Il est claire que l’on n’élève pas un poney comme on élève un selle Français, mais ma ponette est au prés tous le temps pour le moment. j’ai l’intension de la faire pouliné en box et de ce fait je la rapprocherais 1moi à l’avance des bâtiments. Je compte également la nourrir (quand le moment sera venus).
J’ai un BEP activité hippique et un BAC professionnel CGEA option élevage équin mais ce n’est pas pour autant que je me considère comme professionnel. Je pense faire pouliné ma jument chez un professionnel que je connais très bien et en qui j’ai toute confiance car je ne m’en sent pas capable pour le moment.
Je ne sais pas si j’ai fait et pris les bonne décision mais j’ai fait au mieux.

miroir4655 a écrit le 10/08/2010 à 07h56: Alors de quoi se plaint-on? Faisons tous (enfin, faites tous)du Diamant! Rien à dire, c'est un merveilleux cheval qui ne fera qu'améliorer la génétique! Mais pour moi, deux chevaux de sport de qualité équivalente ont une valeur équivalente (ou à peu de chose près), et ne parlons donc plus de crise si les clients achètent le Diamant 15000 euros de plus que l'autre... (je parle à l'élevage et donc en dehors des circuits de prestige comme FENCES) Bon, ce n'est que mon avis, mais j'ai toujours été allergique au phénomène de mode et aux sentiers battus...

et bien je pense comme toi j'y suis egalement allergique. et la diversite genetique est necessaire a la survie d'une race donc tres mauvaise idée de faire tous du diamant mais il faut rester conscient que les gens n'ont plus la meme facon d'acheter. tous les acheteurs ne sont pas non plus a mettre dans le meme panier mais je pense qu'ils sont bien moins homogene qu'avant dans leur critere et le budget pour l'achat de chevaux de qualité equivalente.

miroir4655 a écrit le 10/08/2010 à 07h56: Alors de quoi se plaint-on? Faisons tous (enfin, faites tous)du Diamant! Rien à dire, c'est un merveilleux cheval qui ne fera qu'améliorer la génétique! Mais pour moi, deux chevaux de sport de qualité équivalente ont une valeur équivalente (ou à peu de chose près), et ne parlons donc plus de crise si les clients achètent le Diamant 15000 euros de plus que l'autre... (je parle à l'élevage et donc en dehors des circuits de prestige comme FENCES) Bon, ce n'est que mon avis, mais j'ai toujours été allergique au phénomène de mode et aux sentiers battus...

Non on ne fait pas tous du Diamant!!

je suis d'accord

ecuriessaglini a écrit le 10/08/2010 à 13h44: et bien je pense comme toi j'y suis egalement allergique. et la diversite genetique est necessaire a la survie d'une race donc tres mauvaise idée de faire tous du diamant mais il faut rester conscient que les gens n'ont plus la meme facon d'acheter. tous les acheteurs ne sont pas non plus a mettre dans le meme panier mais je pense qu'ils sont bien moins homogene qu'avant dans leur critere et le budget pour l'achat de chevaux de qualité equivalente.

On a déjà connu ce phénomène il y a 25 ans, quand toute la génétique tournait autour d'Ibrahim ou de ses célèbres fils étalons (via Almé ou Double Espoir), d'Uriel ou Grand Veneur... Je les ai utilisé, bien sûr, mais avec des juments proches du sang et indemnes de cette génétique, et je me suis précipitée ensuite dans la brèche ouverte par Abdullah pour bénéficier de sang étranger...mais à ce moment là, nous n'étions qu'une poignée de privilégiés...le SB du SF n'acceptant d'enregistrer qu'une douzaine de poulains et issus des meilleures mères!
Par la suite, j'ai persisté en faisant saillir à Aram, Goodtimes, For Pleasure et autres phénomènes qui ne produisaient alors qu'en cheval de selle! A la même époque, certains éleveurs avertis et qui avaient en mémoire les bienfaits des grands Ultimate, Rantzau et Furioso, tentaient de ramener de bons PS de sport...
A croire que l'élevage aussi à ses cycles... bien que aujourd'hui, la panoplie des étalons soit très large...
Pour ce qui est des acheteurs, je ne sais pas si il y a un grand changement... Ils sont sans doute mieux informés (médias et publicités diverses sans laquelle un étalon aussi bon soit-il ferait peu de cartes) mais peut-être aussi moins compétents à juger de la qualité intrinsèque d'un cheval... et un très moyen cheval par Diamant mais bien mis trouvera peut-être plus vite acquéreur qu'un vrai cheval encore un peu vert... mais son avenir sera vite limité... et ne contribuera pas à la renommée de l'éleveur.
J'ai connu l'époque où des chevaux de haute lignée étaient vendus en cheval de club sans papiers (pas de puce à ce moment là) afin de ne pas faire d'ombre à leurs géniteurs et au reste de la famille... L'élevage est un travail de longue haleine, mais une fois une réputation acquise, cela devient plus facile... Encore faut-il rester fidèle à ses idées et à ses choix!

alpine40 a écrit le 10/08/2010 à 06h59: pourquoi,ca s'eleve des chevaux en paddock?!

je me demande aussi...
à part le fait que les terrains coutent chers, élever au pré c'est tout bénéf:
chevaux bougent donc se musclent, sont en groupe donc meilleurs caractère, mangent de l'herbe donc moins de nourriture à payer, et en plus c'est bon pour leur dos de se baisser (ça tend la ligne du dessus).

mais c'est sûr le terrain coûte cher, après c'est un choix, soit on met plus d'argent dans la bouffe et l'entretient de la paille et des locos, soit on met plus d'argent dans une bonne pâture ça revient au final à moins cher...

Je me permets de mettre mon grain de sel sur ce sujet que je trouve vraiment interessant...

Pour ce qui est de mon cas, je fais parti du propriétaire amateur chanceux qui a eu un bon cheval au moindre coût.
Ma jument achetée sur ses 3 ans était à peine débourrée (supportait le cavalier sur le dos mais ne connaissait ni l'action de main, ni l'action de jambe). La visite vétérinaire complète pour cheval de compétition est ressortie nickel, aucun problème à signaler.
Cette jument, "verte" comme on le dit, a comme papier Emir Platière par Papillon Rouge du côté du père, Putyphare par Albert du Berlais du côté de la mère. Un joli mélange anglo/SF qui en fait une SFA.
Une jument intéressante mais au sacré caractère qui en a fait reculé quelques un souhaitant l'acheter.
Je l'ai trouvé par le bouche à oreille, des propriétaires de grosses structures de la régions se lançant dans l'élevage.
Ma jument est leur premier produit, elle m'a été vendu 3 000€ (le propre frère de ma jument a été vendu l'année suivante au même prix).
A ce prix là j'ai une jument à travailler mais avec de bons papiers, aucun problème ni vice, un suivi car vendu par des professionnels de ma région (comme dit plus haut : si problème, la jument peut être reprise dans les 2ans).
Le prix en a surpris plus d'un, moi la première (comme quoi, le "miracle" existe). Je me considère comme chanceuse car avec mon budget je me tournais plutôt vers du sans papier.
J'ai étais "au bon endroit, au bon moment". Mais je me suis toujours demandé comment faisaient ces éleveurs avec des prix pareil... C'est de la vente à perte! En en parlant avec la vendeuse de ma jument j'ai compris à quel point le métier était difficile.

ça c'était pour la petite parenthèse.
De mon côté, je sais que malgré mon statut d'amateur j'aimerai faire pouliner ma jument plus tard. Un poulain qui me sera destiné, c'est pourquoi j'attends de longues années histoire d'avoir l'argent pour assumer la saillie, les suivis du poulain, pension, nourriture spécial, etc
Comme beaucoup je pense, je ne veux pas faire de connerie. Mais comme beaucoup aussi, je souhaite avoir une trace de ma jument et en garder la descendance...
Mais qu'existe il dans ce cas? Que nous proposons nous?
Vous parliez d'empêcher le poulinage amateur mais c'est tout bonnement impossible (et heureusement!!) : le cheval est une propriété personnelle et le commerce de la semance est public, comme dit plus haut c'est tout de même une liberté.
Maintenant le contrôle est autre chose et éleveur est un métier, c'est un fait...
Mais quelles idées ont été développées pour aider, voir accompagner l'amateur? Je pense qu'il y a aussi un sacré manque d'information de ce côté là.
Des "stages amateurs" dont il est question au dessus sont ils mis en place?
Un eleveur professionnel accepte t-il, moyennant financement, de prendre en charge le poulinage d'un particulier avec sa jument (ou son étalon, etc etc)??
Des questions, peut être bêtes, mais dont je n'ai pas entendu parlé... J'aimerai me lancer dans cette aventure mais il me semble que l'accompagnement et l'avis d'un professionnel est un minimum.

miroir4655 a écrit le 10/08/2010 à 15h20: On a déjà connu ce phénomène il y a 25 ans, quand toute la génétique tournait autour d'Ibrahim ou de ses célèbres fils étalons (via Almé ou Double Espoir), d'Uriel ou Grand Veneur... Je les ai utilisé, bien sûr, mais avec des juments proches du sang et indemnes de cette génétique, et je me suis précipitée ensuite dans la brèche ouverte par Abdullah pour bénéficier de sang étranger...mais à ce moment là, nous n'étions qu'une poignée de privilégiés...le SB du SF n'acceptant d'enregistrer qu'une douzaine de poulains et issus des meilleures mères! Par la suite, j'ai persisté en faisant saillir à Aram, Goodtimes, For Pleasure et autres phénomènes qui ne produisaient alors qu'en cheval de selle! A la même époque, certains éleveurs avertis et qui avaient en mémoire les bienfaits des grands Ultimate, Rantzau et Furioso, tentaient de ramener de bons PS de sport... A croire que l'élevage aussi à ses cycles... bien que aujourd'hui, la panoplie des étalons soit très large... Pour ce qui est des acheteurs, je ne sais pas si il y a un grand changement... Ils sont sans doute mieux informés (médias et publicités diverses sans laquelle un étalon aussi bon soit-il ferait peu de cartes) mais peut-être aussi moins compétents à juger de la qualité intrinsèque d'un cheval... et un très moyen cheval par Diamant mais bien mis trouvera peut-être plus vite acquéreur qu'un vrai cheval encore un peu vert... mais son avenir sera vite limité... et ne contribuera pas à la renommée de l'éleveur. J'ai connu l'époque où des chevaux de haute lignée étaient vendus en cheval de club sans papiers (pas de puce à ce moment là) afin de ne pas faire d'ombre à leurs géniteurs et au reste de la famille... L'élevage est un travail de longue haleine, mais une fois une réputation acquise, cela devient plus facile... Encore faut-il rester fidèle à ses idées et à ses choix!

c'est très intéressant tout ce que tu dis là...

mais de toute façon les éleveurs de SF seront forcément obligés à un moment où à un autre de faire appel au PS pour diversifier les produits, car sinon on court à la perte du SF (à plus ou moins long terme évidemment...).

et de nombreuses personnes préfèrent les SF issus de PS

diofiri a écrit le 10/08/2010 à 15h28: Je me permets de mettre mon grain de sel sur ce sujet que je trouve vraiment interessant... Pour ce qui est de mon cas, je fais parti du propriétaire amateur chanceux qui a eu un bon cheval au moindre coût. Ma jument achetée sur ses 3 ans était à peine débourrée (supportait le cavalier sur le dos mais ne connaissait ni l'action de main, ni l'action de jambe). La visite vétérinaire complète pour cheval de compétition est ressortie nickel, aucun problème à signaler. Cette jument, "verte" comme on le dit, a comme papier Emir Platière par Papillon Rouge du côté du père, Putyphare par Albert du Berlais du côté de la mère. Un joli mélange anglo/SF qui en fait une SFA. Une jument intéressante mais au sacré caractère qui en a fait reculé quelques un souhaitant l'acheter. Je l'ai trouvé par le bouche à oreille, des propriétaires de grosses structures de la régions se lançant dans l'élevage. Ma jument est leur premier produit, elle m'a été vendu 3 000€ (le propre frère de ma jument a été vendu l'année suivante au même prix). A ce prix là j'ai une jument à travailler mais avec de bons papiers, aucun problème ni vice, un suivi car vendu par des professionnels de ma région (comme dit plus haut : si problème, la jument peut être reprise dans les 2ans). Le prix en a surpris plus d'un, moi la première (comme quoi, le "miracle" existe). Je me considère comme chanceuse car avec mon budget je me tournais plutôt vers du sans papier. J'ai étais "au bon endroit, au bon moment". Mais je me suis toujours demandé comment faisaient ces éleveurs avec des prix pareil... C'est de la vente à perte! En en parlant avec la vendeuse de ma jument j'ai compris à quel point le métier était difficile. ça c'était pour la petite parenthèse. De mon côté, je sais que malgré mon statut d'amateur j'aimerai faire pouliner ma jument plus tard. Un poulain qui me sera destiné, c'est pourquoi j'attends de longues années histoire d'avoir l'argent pour assumer la saillie, les suivis du poulain, pension, nourriture spécial, etc Comme beaucoup je pense, je ne veux pas faire de connerie. Mais comme beaucoup aussi, je souhaite avoir une trace de ma jument et en garder la descendance... Mais qu'existe il dans ce cas? Que nous proposons nous? Vous parliez d'empêcher le poulinage amateur mais c'est tout bonnement impossible (et heureusement!!) : le cheval est une propriété personnelle et le commerce de la semance est public, comme dit plus haut c'est tout de même une liberté. Maintenant le contrôle est autre chose et éleveur est un métier, c'est un fait... Mais quelles idées ont été développées pour aider, voir accompagner l'amateur? Je pense qu'il y a aussi un sacré manque d'information de ce côté là. Des "stages amateurs" dont il est question au dessus sont ils mis en place? Un eleveur professionnel accepte t-il, moyennant financement, de prendre en charge le poulinage d'un particulier avec sa jument (ou son étalon, etc etc)?? Des questions, peut être bêtes, mais dont je n'ai pas entendu parlé... J'aimerai me lancer dans cette aventure mais il me semble que l'accompagnement et l'avis d'un professionnel est un minimum.

J'ai actuellement 4 juments de propriétaires, sous contrat, et je fais les poulains pour eux et avec eux.
C'est une démarche de confiance et participative. En effet, nous choissisons l'étalon ensembles, ils sont informés du suivi de gestation, participent aux écho (quand ils le peuvent), apprennent à manipuler le poulain. Nous avons un rapport génial, bien au delà de la simple relation client_cheval en pension, car ils doivent accepter tous les risques qui sont liés à la gestation et au poulinage.

fperriere a écrit le 10/08/2010 à 15h58: J'ai actuellement 4 juments de propriétaires, sous contrat, et je fais les poulains pour eux et avec eux. C'est une démarche de confiance et participative. En effet, nous choissisons l'étalon ensembles, ils sont informés du suivi de gestation, participent aux écho (quand ils le peuvent), apprennent à manipuler le poulain. Nous avons un rapport génial, bien au delà de la simple relation client_cheval en pension, car ils doivent accepter tous les risques qui sont liés à la gestation et au poulinage.

C'est super! Il fallait forcément que ça existe, mais je ne sais pas si c'est énormèment développé au niveau des amateurs ce qui me parait dommage.
C'est comme ça que je souhaiterai procéder avec ma jument..
Par curiosité, les tarifs de ce genre de suivi sont calculés en pourcentage de la saillie ou sont présentés sous un prix fixe?
Combien faut il compter à peu près?

diofiri a écrit le 10/08/2010 à 15h28: ça c'était pour la petite parenthèse. De mon côté, je sais que malgré mon statut d'amateur j'aimerai faire pouliner ma jument plus tard. Un poulain qui me sera destiné, c'est pourquoi j'attends de longues années histoire d'avoir l'argent pour assumer la saillie, les suivis du poulain, pension, nourriture spécial, etc Comme beaucoup je pense, je ne veux pas faire de connerie. Mais comme beaucoup aussi, je souhaite avoir une trace de ma jument et en garder la descendance... Mais qu'existe il dans ce cas? Que nous proposons nous? Vous parliez d'empêcher le poulinage amateur mais c'est tout bonnement impossible (et heureusement!!) : le cheval est une propriété personnelle et le commerce de la semance est public, comme dit plus haut c'est tout de même une liberté. Maintenant le contrôle est autre chose et éleveur est un métier, c'est un fait... Mais quelles idées ont été développées pour aider, voir accompagner l'amateur? Je pense qu'il y a aussi un sacré manque d'information de ce côté là. Des "stages amateurs" dont il est question au dessus sont ils mis en place? Un eleveur professionnel accepte t-il, moyennant financement, de prendre en charge le poulinage d'un particulier avec sa jument (ou son étalon, etc etc)?? Des questions, peut être bêtes, mais dont je n'ai pas entendu parlé... J'aimerai me lancer dans cette aventure mais il me semble que l'accompagnement et l'avis d'un professionnel est un minimum.

mais biensure que de tels services existent!
le soucis c'est que les amateurs n'ont pas tous la meme demarche que toi et preferen faire tout tout seul poulinage etc a l'aveugle sans connaissances, pensant que c'est facile et que ça coutera moins cher.
pour les conseils, il suffit de demander! beaucoup d'eleveurs sont ravis de partager leurs connaissances et d'apporter leur petite contribution a une si belle aventure! les etalonniers sont aussi de bons interlocuteurs s'ils restent objectifs biensure =)
le dialogue!!!! c'est la clé et visiblement ça se perd, le monde de l'elevage pro n'est pas fermé mais rares sont les amateurs allant vers eux dans une demarche de quete du savoir, de conseils avisés! c'est bien dommage.