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pourtant en elevage canin, tu ne peux faire naitre qu'une seule portee l'an ;)
au-delà, il te fauit un "certificat de capacité", sinon c'ets interdit ...
ceci dit, je ne pense pas que l'interdiction de reproduire soit le soucis ;)
(par contre, je trouve que les impots et la mSA pourraient faire leur taff et mettre tout le monde sur un poied d'egalité, parce que 90% des eleveurs elevent au black ...) |
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Les charges, c'est une chose, l'adéquation de l'offre et la demande, une autre. Un cheval à 5 ou 6000 €, jeune pas débourré, ne s'adresse pas , selon moi, à des cavaliers de niveau club. Hors, avec le loisirs, ces personnes constituent le gros des acheteurs.
Pour que la plus-value d'un particulier soit imposable, il faut que le prix de cession du "bien meuble" (cheval) soit supérieur à 5 000 €, cela ne concerne plus grand monde déjà. Si en plus, on en déduit les frais : prix de saillie, d'échographie, de pension de la jument, le temps de détention (- la plus-value brute réalisée lors de la cession d'un cheval de course ou de sport est réduite d'un abattement supplémentaire de 15 % par année de détention comprise entre la date d'acquisition du cheval et la fin de sa septième année. Toute année commencée compte pour une année pleine. ) etc, reste pas grand chose de toute façon.
Pour la TVA, il faut une activité professionnelle pour avoir à la collecter. C'est rarement le cas d'un particulier. (où alors, il pourrait déduire la TVA acquittée sur ce qu'il a payé pour élever son poulain, ce n'est pas le cas).