plusieurs ecoles :
pour la gueriniere : leur vrai position (jambes) est d'etre droites et libres du genou jusqu'en bas, pres du cheval, sans le toucher, les cuisses et les jarrets tournés en dedans afin que le plat de la cuisse soit pour ainsi dire collé le long du quartier de selle.
pour steinbrecht : de même que les jambes, en leur qualité d'aides propulsives doivent toujours rester à l'appui naturel et donc contre le corps du cheval, pour conduire l'arriere-main, de meme les renes, en tant que moyen de conduite de l'avant-main, doivent demeurer sans cesse doucement tendues.
pour beudant : les jambes doivent tomber naturellement, verticalement et ne toucher le cheval que s'il est nécessaire, le plus rarement possible.
pour xenophon : il convient de laisser tomber la jambe librement à partir du genou.
pour pluvinel : voyez zn outre ses genouils serrez de toute sa force et que votre majesté retienne, s'il luy plaist, que nous n'avons point d'autre tenue ny n'en devons esperer que celle-là ( dur à ecrire le vieux français

)
pour baucher : l'instructeur veillera à ce que le genoux conservent toujours leur adherence parfaite avec la selle.
pour d'aure : la tenue existe dans deux forces, celle de l'équilibre et celle de l'appui de cuisses et des genoux...C'est la souplesse jointe à la fixité des cuisses et des genoux qui constitue la tenue.
pour le duc de newcastle : un cavalier doit avoir deux parties mobiles et une immobiles. les premieres sont le corps jusqu'au défaut de la ceinture et les jambes depuis les genoux jusqu'aux pieds. L'autre est depuis la ceinture aux genoux.
je m'arrete là pour les citations des "maitres", pour moi ils doivent être adhérent mais pas contractés.