tam89 a écrit le 14/11/2022 à 06h40:
Alors qu'on ne trouve pas normal qu'un chien nous fonce dessus en balade je trouve ça logique à 3 000%, mais aller critiquer le chien qui est chez lui derrière une cloture ...
A un moment les gens et leur chiens ont aussi le droit de vivre hein.
Je réagis un peu tard ... mais je ne suis qu'à moitié d'accord.
Mes parents ont deux voisins, dont les maisons sont l'une en face de l'autre de chaque côté de la rue. Bah franchement c'est juste insupportable d'entendre cinq à six chiens aboyer comme des demeurés à chaque fois qu'un piéton a le malheur de passer dans la rue, de jour comme de nuit. L'un d'eux a même le chic pour aboyer tant qu'il voit l'individu, sachant que la maison fait l'angle et que la rue se prolonge par un pré sans clôture ni arbre ... autant dire que parfois les aboiements durent un moment. Et la présence (totalement passive) des proprio n'y change rien.
Et à côté de ça, un peu plus loin il y a un fermier dont le chien "monte la garde" attaché à une chaîne devant la ferme. Ça lui arrive d'alerter du passage d'un piéton, mais d'une part ce n'est pas systématique et d'autre part c'est UN aboiement, peu importe qu'on passe à pied, en vélo ou à cheval. Lui je l'aime bien. Et il emmerde pas le voisinage. (Et en plus il a une bonne tête ^^)
Les chiens ont effectivement le droit de vivre, surtout s'ils sont chez eux, mais j'ai peu d'estime pour les maîtres qui ne lèvent pas le petit doigt pour éduquer un minimum leur chien. Et le fait qu'un chien s'égosille derrière un portail sans raison particulière est généralement assez corrélé à l'absence d'implication du maître dans l'éducation ...
Sur ce, je referme la parenthèse puisque le post était passé à autre chose !
girly61 a écrit le 17/11/2022 à 21h43:
Donc oui, j’ai 23 ans [...] et je n’aime pas mon travail. Peut être que je me réorienterai, peut être que je trouverai un poste dans mon domaine qui finira par me faire aimer ce boulot, peut être que je le subirai toute ma vie pour financer des trucs qui m’intéressent plus.
Ohhhh, bienvenue au club
girly61 !
Trois ans plus tôt, j'aurais pu écrire la même chose au mot près XD J'ai fait de belles études parce que j'en avais les capacités et pas de meilleure idée, mais franchement je me suis traînée pour arriver au diplôme. Aujourd'hui (5 ans après), je suis (à mon grand étonnement) toujours dans la voie royale que mes études m'ont tracée, mais ce n'était pas gagné d'avance. Le hasard et les circonstances ont fait que je suis restée plus longtemps que prévu dans la boîte qui m'avait initialement embauchée en tant qu'intérim, j'ai vraiment hésité à signer le CDI qu'ils me proposaient (mais en plein confinement, je me suis dit que ce n'était vraiment pas le moment de faire la fine bouche ....), et je me rends compte maintenant que je serais passée à côté de quelque chose si j'avais abandonné trop vite. L'expertise que j'acquiers m'ouvre pas mal de portes et me permet de davantage sélectionner ce qu'on me confie.
Je ne me complais pas dans mon boulot, mais dans l'immédiat je suis grassement payée pour faire des choses pour lesquelles je suis douée. Donc plutôt que de rêvasser après une reconversion dans le monde équestre, j'ai acheté un cheval. Avec notamment en tête que : 1/ si je me rendais compte que ça me gonflait d'aller voir mon cheval tous les jours, autant oublier l'idée de me reconvertir ; 2/ vu que j'achetais un jeune, il allait falloir que j'attende qu'il grandisse avant de ré-envisager une reconversion (parce que tant qu'à faire, autant passer les examens équestres sur son propre cheval !).
Moi qui avais l'impression de perdre mon temps et mes "jeunes années" dans ce boulot, j'ai finalement réussi à changer la donne et à "investir" ce temps utilement, à défaut d'être passionnée par ce que je fais
