de topchevaux: En se référant à cet exemple, il serait alors facile de réguler (sans avoir à chasser)... On sait que seul le couple dominant procréée. Il suffirait alors d'introduire régulièrement des "pilules" pour que les louves ne puissent reproduire à tors et à travers et, ainsi réguler la population d'animaux prédateurs. De veiller aussi à ce qu'il reste du gibier naturel à disposition... Le loup n'est pas un carnassier dans l'âme, mais il mangera ce qui lui permettra de rester discret (donc même un cadavre, plutôt que de ce retrouver à découvert).
Un loup a besoin en moyenne de consommer chaque jour 17% de son poids en viande, soit 4 à 5 kg pour un loup européen. soit 1, 5 tonnes par an, sans compter tout ce qu'il laisse sur place ( sur Grisette, la ponette, la meute a seulement prélever 1/7eme de l'animal
http://www.chevalmag.com/chevalmag/Actualites/Divers/Une-ponette-victime-des-loups . contre 81,9 kg en moyenne dans l'Union européenne pour un humain! qui, si il devient raisonnable, peut se nourrir autrement, alors que ce n'est pas le cas pour le loup.
dans ce cas autant faire des parcs pour les loups, car qu'elle est la place de la nature si il faut donner des pilules au femelles, puis veillez a introduire des mâles d'un autre pays rapatriés par avion pour évitez la consanguinité (Le gouvernement suédois se prépare à permettre le tir de davantage de loups et à délivrer des permis de chasse pour éviter la consanguinité, a indiqué le ministre de l’Environnement Andreas Carlgren le 29 mai dernier) puis de les éduquer pour qu'ils respectent les moutons ("On donne à la société humaine l'illusion de contrôler une espèce sauvage, déplore Jean-David Abel, de FNE) puis etc etc? Au moins les animaux domestiques seraient protégés, ainsi que les loups et la vie rurale, dans les régions reculée ou vivent et s'épanouissent des femmes, des enfants et de hommes, dont l'impact sur la nature et la biodiversité est grandement moindre que dans les villes ou le rurbain!