|  | Pourrait-eu les exposer ? |
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- pas la même espèce
- pas les mêmes comportements alimentaires, sexuels, spatiaux, sociaux..etc.
Je vais pas te faire un listing, si tu connais les deux espèces je pense que tu as pu observer rien qu'à l'oeil "nu" des différences.
Si on veut tout comparer on peut le faire entre une baleine et une vache, ce sont deux êtres sociaux... et pourtant ça saute aux yeux qu'ils sont très différents...
On ne compare pas un singe et un homme par exemple car cela disqualifie les deux dans leurs compétences d'intelligence !
|  | Je ne comprend pas ta question? |
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Je me demandais si justement pour toi le lien d'attachement maternel est à proscrire pour justifier les pratiques d'élevage ?
|  | En meme temps c'est la dure loi de la captivité... Il est impossible de proposer une prairie avec tout les milieux que pourrait rencontrer un cheval sauvage... |
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Pour moi, c'est la loi du marché: proposer une diversité de graines n'est pas intéressant pour l'industrie agro-alimentaire !
Le but n'est pas de faire des prairies sauvages justement mais de proposer ce qu'un cheval peut manger et assimiler d'une façon performante et assimilable pour lui... ce qui éviterait une dépendance aux granulé et aux autres compléments !
|  | En meme temps c'est la dure loi de la captivité... Il est impossible de proposer une prairie avec tout les milieux que pourrait rencontrer un cheval sauvage... |
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Pour moi, c'est la loi du marché surtout pas celle de la captivité (la captivité concerne des espèces sauvages et mis hors de leur environnement naturel, contrairement aux animaux domestiqués ou aux plantes sélectionnées) ! Plusieurs semences d'un genre de plantes n'est pas intéressant pour l'industrie agro-alimentaire !
Le but n'est pas de refaire un environnement sauvage, bien au contraire mais d'obtenir une prairie performante non pas pour l'humain (qui voit que les choses à court terme) mais pour l'absorption et l'organisme du cheval afin d'arrêter d'être dépendant d'aliments hyper concentrés et nuisibles pour le cheval. Si obtenir une prairie performante concorde avec certains aspects de leur environnement "primitif", ce n'est pas volontaire. D'ailleurs, le but n'est absolument pas d'aller vers du naturel, mais de respecter la réelle physiologie du cheval... Dans la nature, il n'y a pas de paddock paradise et pourtant, je le préconise
|  | Olala ça me monte au cerveau . Mais du coup qu'est ce qui te "gène" dans le fait qu'elle mange avant ou après la traite? Elles y vont de bon coeur à la traite tout de meme... |
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ça me gène pas lol ^^ Je ne suis pas sûre qu'elles y aillent de bon coeur, mais qu'il y'a une nécessité. Il faudrait que je relise les études sur ce point (notamment sur la notion de travail !).
|  | Mais du coup tu aimerait qu'il n'y ai plus aucun élevage afin qu'il n'y ai plus aucune amélioration c'est bien ça? Est-ce que tu comptes un jour faire faire un poulain à ta jument? |
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Aucune amélioration ? je vois plus les choses comme ça: afin qu'il n'y ait plus de préjudices faits aux animaux. Sans vouloir le retourner contre toi, il suffit de voir comment les choses avancent: on préfère sélectionner génétiquement certaines races en ce qui concerne les cornes et leur non-production ou continuer des pratiques douloureuses pour continuer de produire... qui plus est dans des conditions invivables (autour pour les animaux que pour les humains !). Pour moi, rien que ça constitue la plus évidente raison d'arrêter tout ça.
|  | Ah bon?! Et qu'elles sont les théories avancés? |
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J'ai été assez étonnée aussi, c'est en lisant les méthodes positives canines qui se basent énormément sur l'éthologie canine que je suis tombée sur ce point:
http://www.caniscool.com/pdf/preuves-theorie-hierarchie-dominance.pdf