|  | Il faut lire l'excellent livre de Jean Lacouture "Montaigne à cheval", je ne sais pas pourquoi je dis ça... |
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Lacouture?
Wahou...
Heu, non, bof, en fait.
Mais, je le reconnais, c'est le roi de la biographie opportuniste! Un homme prolixe, c'est certain.
Sinon, pour tu m'as l'air d'être un lecteur de haut vol, tu peux également lire les réponses qui ont été faites sur ce post.
Genre la multitude d'éventualités et de possibilités, les approfondissements de la question que l'on peut envisager. En fait, personne ne s'est senti suffisamment compétent ou avoir suffisamment d'éléments en mains dans ce cas présent pour affirmer : "le cheval est foutu, y a rien à faire" ou "ce n'est rien, le syndrome est guérissable!"
Sauf toi, en fait.
Du coup, l'habit de l'humble qui partage son savoir par altruisme dont tu te revêts en prend un coup...
Tu es incontestablement le plus fort, le plus grand, le plus lettré et le plus pertinent. Bien, j'en prends note.
Pour ma part, je ne peux m'en tenir qu'à ce que j'ai déjà dit précédemment : essayer de se rapprocher du CIRALE (tu sais, le centre du professeur Denoix, celui qui en sait moins que toi sur le syndrome naviculaire...).
Cela me semble, de mon pauvre point de vue, plus pertinent que d'entretenir des faux espoirs de rémission, fondés à partir de convictions intimes forgées à partir d'un cas personnel (apparemment unique, c'est cela? Et si j'ai bien lu, ton cheval est déferré depuis 3 mois et cela te semble suffisant pour estimer que dans un an, il pourra reprendre le ski?). Le tout sans jamais avoir vu le cheval et savoir exactement quel type du syndrome le touche?
Chapeau!
Même mon voisin de palier, St Paul a davantage de doutes que toi....
Après, moi, j'aimerai aussi que les choses soient aussi simples : tu déferres, tu mets un pad et hop! disparu le syndrome!