Le post des supers mamans de ca...

tawel
J'ajoute que c'est parfois une simple période / passade. C'est arrivé que pendant 2/3 semaines, elle n'ait plus envie de voir sa petite sœur (qu'elle adore par ailleurs). Enfin en tout cas, on sentait que le fait d'être dans la même pièce l'agaçait.
Un peu comme un super pote que t'aimes beaucoup mais au bout de 3 semaines de vacances avec, t'as envie d'être tranquille. On a multiplié les temps / activités en solo avec elle. C'est passé.

Elle a le droit d'en avoir marre, de ne pas l'aimer, etc. On demande juste le respect de chacun.
Mais on voit qu'elles s'aiment profondément. Pour autant, il y a de la gestion de conflits quotidienne !

Cette semaine, elle nous a dit qu'elle aurait aimé que sa sœur soit jumelle, comme ça elles auraient le même âge et donc les mêmes jeux. On lui a expliqué que ça allait évoluer (et que ça avait déjà évolué).
Ce soir, elles ont trouvé une solution pour jouer ensemble puisqu'elles jouaient toutes les deux à être des chats en faisant "miaou" et en se frottant à nos jambes . Et puis, ça ne les empêche pas de faire les pitres et de se marrer comme deux amies au lycée

elo7 tiens c'est marrant l'autre jour j'ai eu ça moi : "la je suis la grand frère et lui le petit frère, mais plus tard Quand on sera grands tous les deux, on sera jumeaux"

Je suis dépitée, ma soeur arrive dans la matinée avec sa fille d'1 mois et demi, née préma. Elle est déjà en route pour prendre le train et je n'arrive pas à l'avoir au téléphone.
Lucie a 38.5 de fièvre, Alix et Elio une laryngite....
Ça m'inquiète énormément...

mesnil-elevage
Me voilà pour donner des nouvelles.
Bon mis à part qu'on est plus que KO de ce WE, ça va.

Adèle ne va pas aller à l'école aujourd'hui car on doit voir le pédiatre mais je peux vous dire qu'elle ira demain. Elle court comme un cabri. Sa résistance à la douleur m'étonne. Moi je suis en PLS à la moindre brûlure...

Va juste falloir gérer avec l'école car le bandage ne doit pas être mouillé. Je pensais lui mettre ses crocs en classe (le bandage est imposant et ne rentre pas dans une chaussure.
Et prévoir les bottes pour la récré et la cantine vu qu'ici c'est pluie pluie pluie. Et mettre une chaussette à son papa pour protéger le bandage de la salissure.

Vous en pensez quoi ?

Une petite photo de notre guerrière, hier au gîte.

leolette je sais pas si tu va la rentrer dans une botte... Sinon un truc peut être, les bottes en plastique de protection pour prendre une douche avec un plâtre et une crivd

leolette Je pense que tu as bien fait d'aller aux urgences pour faire regarder la brulure. Manifestement ça va top! Les enfants sont quand même vachement plus resistants que nous, moi une brulure sur le doigt je suis moitié à l'agonie à étaler de la crème toutes les deux secondes.

Pour ce qui est de la chaussure/la botte la plus adaptée, je suis bien en peine de t'aider. Je ne vois pas trop ce qui correspondrait pour à la fois protéger le pied de la pluie/eau et en même temps que son pied rentre dedans.

Un copain de Jeanne s'est cassé le pied/cheville (je ne sais plus) l'année dernière, il avait une espèce de botte qui maintenait la cheville et il avait mis une chaussette sur le bout du pied pour le maintenir au chaud. Mais le gamin avait des béquilles et posait peu le pied par terre. L'idée étant qu'il n'utilise pas son pied. Donc je ne suis pas sur que ça corresponde à ce qu'a ta fille.


Je rebondis hyper tard les filles sur vos messages concernant l'école. Vous étiez nombreuses à dire que vous souhaitiez par conviction mettre vos enfants dans le public et j'avoue que j'ai eu du mal à comprendre le concept de conviction en la matière, où en tout cas ce qui générait ce choix fait par conviction pour reprendre les termes que vous utilisiez.

Je n'ai jamais été scolarisée en école publique. Pas tant par rejet du public de la part de ma famille, ou même d'adhésion spécifique au privée, même pour des raisons religieuses (ma famille est certes assez tradi mais pas du tout pratiquante), mais plutôt pour des choix d'enseignements: l'apprentissage de l'anglais le plus tôt possible et dans des conditions acceptables.

L'école publique n'offrant pas d'apprentissage de l'anglais, ou en tout cas d'apprentissage acceptable, le choix a été celui du privée (une école privée bilingue). Mais si l'école publique avait offert un niveau d'enseignement de l'anglais aussi bon que le privée, j'aurais tout à fait pu être scolarisée dans le public.

C'est d'ailleurs un vrai truc que je trouve tout à fait dommage. Ma cousine qui habite New-York m'indiquait que les écoles publiques de New-York offraient un panel de langue de fou, genre ma nièce est scolarisée dans une école publique qui offre le bilinguisme anglais/français (ou tout autre langue en fonction des écoles, genre à chinatown t'as des écoles publiques anglais/chinois).

Je trouve fou cette incapacité que nous avons en France à considérer l'apprentissage des langues comme aussi important que les maths ou le français. L'enseignement des langues est affligeant, la façon dont c'est enseigné littéralement terrifiant, t'as pas un gamin qui est capable de bien parler une LV1 en se contentant de l'enseignement donné à l'école.

On a fait le choix du privé pour Jeanne mais pour des raisons objectives sans rejet particulier du public.

Nous avions des exigences d'abord en terme de lieu de scolarisation, puisqu'on travaille en centre ville mais nous vivons dans un village à 15 minutes du centre ville. C'est plus compliqué pour nous de la récupérer dans notre village où se trouve la maternelle et le primaire, puisqu'en plus de nos horaires complexes s'ajoute le temps de trajet. Et il fallait que mes parents puissent facilement récupérer Jeanne et ils habitent aussi en centre ville. Donc seule une école privée était possible question sectorisation.

Ensuite il y avait aussi la perspective du collège. Le collège de secteur a les mêmes contraintes de trajet, donc il est exclu (voire même plus complexe puisqu'il est à l'opposé de notre route pour aller bosser). Et il n'est pas génial ce collège. Or, le collège dicte aussi le choix du lycée. L'école privée de Jeanne dirige les enfants vers les deux collèges/lycées les meilleurs du département. Et ça c'était vraiment important pour nous.

La question de l'enseignement religieux importait peu. Il se trouve que ma fille suit un enseignement religieux à l'école sur temps scolaire, ce que j'apprécie sur le plan de la culture générale et la facilité (pas besoin de se fader un temps d'apprentissage hors école supplémentaire), mais ça n'a absolument pas déterminer notre choix. Privé catho en gros ça n'était absolument pas un critère.

Je dirais donc que la sectorisation est déterminante de nos choix. On vivrait en centre ville, on aurait sans doute fait le choix du public mais sans certitude. Mais à aucun moment nos choix n'ont été dicté par des convictions, mais uniquement par de l'opportunisme. Et le choix du collège sera du même acabit: le niveau/la réputation, les offres d'enseignements (sportifs/langues/options), les trajets pour s'y rendre.

Je suis donc curieuse de comprendre la notion de conviction dans le choix de l'école?

lanamour
Je ne suis absolument pas convaincue par l'école publique alors je ne rebondirais pas là-dessus (j'ai d'ailleurs été scolarisée dans le privé en France ou en école française à l'étranger). D'ailleurs, j'avais regardé d'autres écoles mais malheureusement le budget était bien trop élevé (écoles alternatives) ou trop loin (et complètement à l'opposé vis-à-vis de nos trajets). Bref, c'était un choix par dépit et dont je ne suis toujours pas convaincue malheureusement.

Je voulais juste rebondir sur la partie des langues : je partage ton avis, l'enseignement est catastrophique en France. Mais cela reflète à mon sens l'état de l'enseignement global en France : très théorique, avec une forte propension au bourrage de crâne.

elo7 Je partage totalement ton opinion. Le bourrage de crâne, apprendre par coeur, des pages et des pages, sans y mettre le moindre sens. Quand je vois comment moi j'ai appris grâce à l'école américaine dans laquelle j'étais, c'est fou.

Et tu vois, quand je suis entrée en prépa, pareil bourrage de crâne mais d'un coup on te demande d'analyser. Mais putain on t'a jamais demandé d'analyser quoi que ce soit avant, on t'a juste demandé de connaître par coeur. On t'a jamais demandé d'émettre une opinion produit d'une analyse. Jamais on avait cette liberté là. Et perso en prépa, je n'ai jamais réussi à passer le gap, je ne comprenais pas ce qu'on attendait de moi.

Et pour en revenir aux langues, ça me désespère de voir le niveau des langues ici. J'ai fait mon lycée dans le privée catho. Je venais de l'enseignement américain. Je parlais parfaitement anglais, comme une langue maternelle. Et bah je n'avais pas des notes de fou hein. Mais moi tu me lâchais aux états unis et je pouvais suivre un enseignement dans une école anglo-saxonne sans aucun pb. Sans doute pas ma prof d'anglais.

Ah ce week-end, premier cours d'anglais pour Jeanne dans un organisme vraiment bien. Ils font des activités en anglais avec des profs qui ne parlent qu'anglais (prof d'origine anglaise ou américaine donc avec un vrai accent anglais/américain). Interdiction pour les profs de basculer sur le français. Même avec nous, ils ne parlaient qu'anglais. Seule la directrice parle français.

Jeanne était contente. C'est une grande demande de sa part, pour faire "comme maman" d'abord, elle veut parler anglais comme moi, et ensuite parce que sa cousine parle anglais, enfin elle est américaine sa cousine (mais parle parfaitement français - et coréen d'ailleurs). Donc Jeanne voulait vraiment vraiment parler anglais. C'est un peu le dernier moment pour qu'elle puisse accéder à un bon niveau d'anglais, notamment en terme d'accent, limite c'est un peu tard là.

Donc on ajoute une activité de plus hors école. Les mercredis matins désormais elle aura une heure d'anglais.

Heureusement que nous n'avons que Jeanne à gérer en terme d'activité. C'est un vrai luxe que nous avons. A deux, on peut la trimballer autant que nécessaire pour l'emmener à ses activités. Et mon mari a une souplesse de temps de travail qui est hyper appréciable en la matière. Et puis nous avons l'aide de mes parents. C'est eux qui l'emmèneront le mercredi au cours d'anglais et en fin d'aprem au piano. C'est moi qui l'emmène le vendredi soir à la piscine, et c'est mon mari qui l'emmène le samedi matin au basket. Finalement ça se fait plutôt bien!

Comme toi, mesnil-elevage c'est important pour moi de donner accès à ma fille à ces activités. Pas tant en termes d'excellence (je me fous un peu qu'elle soit excellente au piano ou au basket), mais plus en termes de passion: qu'elle découvre ce qui la passionne et qu'elle puisse investir un loisir. Un truc qui la mette en joie, qui lui donne des ailes. Si après le piano ça l'emmerde, elle ne continuera pas, j'ai aucun soucis avec ça, ou qu'elle essaie d'autres instruments, ou même qu'elle fasse du chant... etc. Pareil pour le basket.

lanamour pour le contexte, j'ai fait ma scolarité en France, dans le public, dans une région où il y avait les deux options mais la plupart des gens allaient dans le public. Je pense que l'entourage (culturel, financier si besoin spécifique) à la maison a plus d'impact sur la réussite post bac que le lycée lui-même.
Et j'ai fait mes études supérieures dans le privé.

Pour mes enfants la situation est un peu différente car nous sommes en Belgique, ici pas de carte scolaire, on s'inscrit où on veut, j'ai le vrai choix de l'école car à 10min de trajet autour de chez moi j'ai 3 écoles publiques, 2 écoles privées religieuses, et 1 école privée laïque.

Je ne souhaite pas que mes enfants reçoivent un enseignement religieux, je considère que cette demande doit émaner d'eux, s'ils le souhaitent. Et j'avoue que je préférerais qu'ils ne le souhaitent pas car je trouve que la religion est une mauvaise influence, mais je les en laisse seuls juges. Pour moi c'est vraiment rédhibitoire, si la meilleure école, gratuite, était devant ma porte, je ne pourrais pas l'envisager si elle était religieuse.
Mon mari, croyant, partage ce point de vue car pour lui l'école doit être séparée de la religion.

Après pour la différence publique/privé, je trouve que le privé génère un 'entre soi' et ne donne pas un aperçu réaliste de la société aux enfants. Je veux que mes enfants fréquentent d'autres enfants de différents milieux, de différentes origines et de différentes cultures.
Je pense aussi que la mission de l'école doit être de se rendre accessible à tous et être équitable, ce qui l'est moins quand c'est privé.
Après mon militantisme s'arrête là où mes prérequis commencent. Comme toi je crois que l'apprentissage des langues est fondamental et si je devais changer mon fils d'école aujourd'hui, je préférerais le mettre dans le privé pour qu'il reste dans une école bilingue, que de le passer dans une école non bilingue.

lanamour elicendi a bien résumé, je souhaite aussi l'école publique pour mes enfants pour ces mêmes raisons.

Concernant l'apprentissage des langues, tu donnes l'exemple américain mais j'ai pas tellement l'impression qu'ils soient meilleurs que nous en langues étrangères finalement ? Pour ma part, mais peut-être parce que je n'ai connu que l'enseignement français, je suis persuadée que ce n'est pas possible d'apprendre correctement une langue uniquement en suivant des cours. Je suis partie plusieurs fois en séjour linguistique lorsque j'étais ado, notamment 3semaines en Irlande en 5ème, et à cette occasion j'ai fait d'énormes progrès, plus que dans tout le reste de ma scolarité. Même si c'est un budget j'espère pouvoir offrir la même chose à mes enfants quand ils seront plus grands, et je mise plus là-dessus pour l'apprentissage d'une langue étrangère.

lanamour C'est hyper intéressant cette question que tu soulèves.

Pour ma part, la question public/privé (outre l'aspect financier parce qu'elles sont 3) m'importe peu. C'est la qualité de l'encadrement qui est le plus important. Je pense qu'on va toujours plus loin avec des personnes qui nous mettent en confiance et permettent de développer nos softs skills. Et je trouve que ce point là c'est celui qui fait toute la différence adulte : être bien dans ses pompes, savoir qui on est, où on va, ce qu'on veut, le respect de soi et des autres, prendre la parole en public, savoir mener un projet avec les autres, etc. C'est vraiment les compétences psychosociales qui me semblent primordiales à acquérir pour pouvoir mener son propre projet peu importe ce qu'il sera.

Le deuxième aspect est beaucoup plus terre à terre parce que comme toi c'est la question de la praticité (on a d'ailleurs choisi une maison dans un secteur précis parce qu'il y a une offre jusqu'à la terminale qui est pas trop mal, on a de vrais bons échos du lycée, les projets menés au collège son hyper sympa également et s'il le faut on pourra avoir des possibilités de lycée dans deux grandes villes).

Je ne tiens pas spécialement à l'enseignement religieux, mais si mes enfants doivent le recevoir parce qu'elles pourront accéder à un enseignement de qualité par ce biais c'est ok pour moi. Je suis totalement athée mais dans mes études supérieures j'ai lu la Bible, et ai eu des cours en lien avec différentes religions. Ça fait partie de ma culture et je fais la différence entre croyance personnelle et histoire/culture. Je trouve ça toujours important de savoir pourquoi nous fêtons Noël ou Pâques même si nous ne sommes pas croyants. La question s'est vite posée chez nous parce que mes parents sont provençaux d'origine et ma mère continue la traditions des petits santons et de la crèche de Noël.





tawel j'ai peu de choses à ajouter à ce que t'ont dit les filles. Juste que ton aîné est encore tout petit ! On a du mal à s'en rendre compte je trouve quand on a des enfants rapprochés, ou en tout cas avec un aîné. On les voit grandir, et encore plus quand ils parlent très bien tôt, on leur donne facilement cette place de grand. Alors qu'en fait, ils ont le temps de savoir faire pleins de choses et savoir gérer des relations interpersonnelles c'est ultra compliqué.
Ici je propose régulièrement de faire un bisou pour dire au revoir à l'école mais sans aucune obligation et régulièrement l'une ou l'autre ne veut pas. C'est ok. Ça ne dit rien du tout de leur relation qui est franchement chouette.

Tiens truc marrant, mes filles qui étaient toujours sur la courbe de croissance sous la moyenne, sont depuis le mois dernier passées au-dessus !

Il ya eu comme un pic de croissance entre fin juin et fin août.

Mon mari fait 1m91 et moi 1m70 donc leur génétique va probablement les amener à être grandes mais jusque là c'était des mini pouces ! Probablement le fait qu'elles soient jumelles

C'est intéressant cette question privée/publique.
Avec mon chéri on n'est pas du tout d'accord sur la question.
Je préférerai qu'elle aille en école public mais si le niveau est meilleur en privée, je n'hésiterais pas.
Le papa ne veut pas entendre parler de l'école privée. Pour lui c'est l'école publique de la république uniquement.

Les langues sont un gros sujet pour moi. J'ai toujours été très mauvaise en langue étrangère. J'ai du me battre pour avoir mon TOEIC. Je pense que j'ai fait un réel blocage. Du coup je ne veux pas que ma fille vive la même chose et j'aimerais un apprentissage tôt voir une immersion dans une école bilingue.
Là aussi, on n'a pas la même approche. Lui a toujours été excellent en langue avec d'énormes facilités. Il est trilingue (anglais, allemand) et pense que ce n'est pas à l'école qu on apprend les langues mais à la maison ou en immersion.
Je lâche sur la bonne école mais il doit lui parler en allemand à la maison en espérant que ça suffise.

myosotis81
Cela n'est probablement pas suffisant. Mais pour autant, la méthode d'apprentissage n'est pas la bonne dans les cours actuels (sauf exceptions).

Lorsque je suis arrivée au Brésil, l'école (comme toutes les écoles françaises à l'étranger dans lesquelles je suis passée) ajoutait des cours de langue du pays au programme. J'avais 14/15 ans. La prof m'a briefé 2 minutes au début du premier cours : "Ici, je ne parle que portugais. Tu ne vas rien comprendre. C'est normal. Mais accroche-toi, dans 2/3 mois, je te promets que tu comprendras quasiment tout et dans 6 mois, tu parles". Eh bien... elle avait raison. Je n'avais certes aucune notion de grammaire / conjugaison / etc. Mais j'étais capable de tout comprendre et je commençais à parler. On est malheureusement partis au bout d'un an seulement donc je n'ai pas pu pratiquer plus que ça. Pourtant je n'avais pas d'occasions particulières de pratiquer en dehors de ces cours : on parlait français avec mes potes (les achats en magasins étant assez limités en termes de discussions).