Travailler sans diplomes

ecuriessaglini a écrit le 18/10/2013 à 10h14: Je ne trouve pas Babsi, franchement meme sorti de l'école, c'est pas gagné niveau fiabilité du recruté. Loin de là. Quand j'étais maitre de stage et gérant des apprentissages d'autres écuries, j'ai surtout constaté que dès l'école, on normalise autour d'heures légales etc... on n'a pas le droit de leur faire porter certaines charges, on doit leur donner un jour ou un après midi pour les devoirs, on les voit pas le week end, on a des obligations importantes en gros et ça, je trouve que ça ne met pas les élèves dans le bain de la réalité du tout. pour s'éviter les prud hommes, que font les patrons aujourd'hui? ils n'embauchent pas ils bossent avec des autoentrepreneurs!! pas de charge, déjà le CV, couverture des besoins à la carte.

je ne suis on ne plus d'accord mais je me disait que peut être les patrons y trouver un gage de "confiance" ....

je l'ai toujours dit c'est pas dans les livres qu'on apprend à curer un box ou à débourrer un cheval c'est au contact...... mais ça maintenant c'est de lus en plus rare

youkandme a écrit le 18/10/2013 à 10h31: En tant qu'apprentie, j'étais considérée comme une employée normale, avec ma collègue, on se partageais, une avais sont 25 et l'autre son 1er janvier, ça ne m'a jamais choquée. Moi ce qui m'a le plus choquée, c'est que dans les 3/4 des écuries ou j'ai bossé, les employeurs ne lèvent pas le petit doigt, et préfèrent prendre le risque de perdre leurs employés et de se retrouver sans personne, plutôt que de préserver leur santé en venant filer un coup de main!

ben tu vois le CE dont je parle c'est de garde chacun leur tour le dimanche plus 2 palefrenier ainsi que les jours férié c'est les parents des enfants qui sont "choqué" pas les employés

ecuriessaglini a écrit le 18/10/2013 à 10h55: ah oui?? t'as raison je n'ai pas connu la galère... On fonde une entreprise en partant de rien en flottant sur un nuage... c'est bien connu. j'ai ramé, j'ai bossé pour rien, logé dans des cabanes chez des patrons durs... tu crois quoi? moi aussi j'ai déjà été à pole emploi et fait la jonction entre deux jobs en faisant des petits boulots qui n'avaient rien à voir à mes débuts. je me suis expatrié pour du boulot sans regarder derrière, j'ai fait des sacrifices et mon entreprise je l'ai fondée en 2009, en pleine crise! ça me fait bien rire cette réflexion.

Sache simplement que ta façon particulièrement extrême et généralisante de t'exprimer peuvent blesser aux larmes ceux qui se sont retrouvés dans une voie sans issue.

Clairement, quand je te lis, je perçois ceci en résumé, de ton opinion:
«les jeunes, ils apprennent de la merde, et quand ils sont au chômage, c'est uniquement parce qu'ils sont incapables de se sortir les doigts du cul et se bouger. En France, il y a du boulot pour tout ceux qui veulent bosser, en particulier dans le milieu équin, c'est donc de leur faute, à ne penser que à leurs 35H et leur confort»

(tiens, d'ailleurs, le temps de travail de 35H, il n'y a que toi qui en parle ici!!! Encore une accusation qui sort d'où?!)

Tu m'excuseras d'être profondément révolté par tes positions ne correspondant que à ta réalité, et non celle de tout le monde, et de toutes les régions de France.
Tu as pu monter une structure, malgré les difficultés évidentes, OK, mais, du coup, parce que toi, tu as réussi, du coup, tu estimes que tout le monde peut avoir la capacité (en particulier physiques, et santé), l'entourage, le bassin d'activité, et l'envie d'entreprendre.
Sauf que non, ce n'est pas possible.
Ni souhaitable, d'ailleurs.

Encore une fois, cherche du taff avec un CV vierge, sans Bac (puisque le sujet est de bosser sans diplôme): tu comprendrais toute l'ampleur du problème en France. À savoir que même pour être caissier il faut le bac… cet examen ne semblant servir qu'à faire un pré tri et écarter quelques cas soc'

C'est en cela que je trouve vos propos (les tiens, mais pas que) insultants, car vous vous permettez de dénigrer, de rabaisser de façon révoltantes ceux qui galèrent, qui ne trouvent rien alors qu'il n'y a pas une semaine sans une recherche active, des démarches avec les services sociaux, administratifs, ou scolaires.

Encore une fois, je comprends ce qui peut mener à une telle mauvaise idée qu'on peut se faire de la jeunesse au chomage, je l'ai eu aussi, ayant également eu à vivre 2 crans au dessous du palier définissant la pauvreté, le temps de me consolider mon avenir, ce présent, dans lequel ma formation et mes diplômes m'assurent une vie confortable (et entre 50h et 80h/jour payées 37h + ma petite activité de photographe le soir, qui, d'ailleurs, vient de me flinguer la santé: je n'ai plus 20ans et je viens de me rendre compte que 3 semaines à dormir entre 4 et 6h/nuit, le reste du temps sur des écrans informatiques, ce n'est pas une bonne idée pour la vue et le crâne )
Du coup, ayant eu l'occasion de voir l'envers du décors, de vivre par procuration la détresse de ces jeunes qu'on stigmatise dans les JT, je souhaiterais ici, tenter de te convaincre que tu t'es inscrit dans une fausse idée de facilité d'accès à l'emploi: la réalité est autrement plus désastreuse, surtout en cette période de pression fiscale littéralement asphyxiante. Tout au moins désirerais-je que tu mettes de l'eau dans ton vin, tes propos sont blessants, réellement.

youkandme a écrit le 18/10/2013 à 11h11: Et pourtant, à vous lire (toi et d'autres), c'est juste la faute aux jeunes qui n'ont aucune volonté et qui ne veulent pas en chier. Désolé si aujourd'hui, entendre ça me dégoute, étant donné l'état actuel de santé ou je me trouve à cause d'employeurs qui ne se rendent pas compte qu'un palefrenier, c'est pas une machine mais un être humain, qui comme tout le monde, si il tire trop sur la corde, il finis rapidement dans un sal état quand c'est pas pire.

on est d'accord mais ne fait pas de tons cas une généralité j'ai arrêter aussi... un disque du dos qui s'écrase la moindre charge je met 1 semaine à m'en remettre.....j'ai lâcher ....mes chevaux sont chez moi mon mari m'aide énormément mais malgré ça je ne peux pas m'en empêcher faut que j'y retourne

alors oui je te le dis je l'ai entendu " travailler le week-end alors qu'on gagne autans au chômage non merci" ....et ce ne sont pas des cas isolé la preuve le bordel actuel "pour ou contre le travail le dimanche...."

ben la oui ça m'énerve


Alors oui certains patron abuse mais il y a aussi des "employé" ou des jeunes qui abuse

inextenza a écrit le 18/10/2013 à 12h34: Sache simplement que ta façon particulièrement extrême et généralisante de t'exprimer peuvent blesser aux larmes ceux qui se sont retrouvés dans une voie sans issue. Clairement, quand je te lis, je perçois ceci en résumé, de ton opinion: «les jeunes, ils apprennent de la merde, et quand ils sont au chômage, c'est uniquement parce qu'ils sont incapables de se sortir les doigts du cul et se bouger. En France, il y a du boulot pour tout ceux qui veulent bosser, en particulier dans le milieu équin, c'est donc de leur faute, à ne penser que à leurs 35H et leur confort» (tiens, d'ailleurs, le temps de travail de 35H, il n'y a que toi qui en parle ici!!! Encore une accusation qui sort d'où?!) Tu m'excuseras d'être profondément révolté par tes positions ne correspondant que à ta réalité, et non celle de tout le monde, et de toutes les régions de France. Tu as pu monter une structure, malgré les difficultés évidentes, OK, mais, du coup, parce que toi, tu as réussi, du coup, tu estimes que tout le monde peut avoir la capacité (en particulier physiques, et santé), l'entourage, le bassin d'activité, et l'envie d'entreprendre. Sauf que non, ce n'est pas possible. Ni souhaitable, d'ailleurs. Encore une fois, cherche du taff avec un CV vierge, sans Bac (puisque le sujet est de bosser sans diplôme): tu comprendrais toute l'ampleur du problème en France. À savoir que même pour être caissier il faut le bac… cet examen ne semblant servir qu'à faire un pré tri et écarter quelques cas soc' C'est en cela que je trouve vos propos (les tiens, mais pas que) insultants, car vous vous permettez de dénigrer, de rabaisser de façon révoltantes ceux qui galèrent, qui ne trouvent rien alors qu'il n'y a pas une semaine sans une recherche active, des démarches avec les services sociaux, administratifs, ou scolaires. Encore une fois, je comprends ce qui peut mener à une telle mauvaise idée qu'on peut se faire de la jeunesse au chomage, je l'ai eu aussi, ayant également eu à vivre 2 crans au dessous du palier définissant la pauvreté, le temps de me consolider mon avenir, ce présent, dans lequel ma formation et mes diplômes m'assurent une vie confortable (et entre 50h et 80h/jour payées 37h + ma petite activité de photographe le soir, qui, d'ailleurs, vient de me flinguer la santé: je n'ai plus 20ans et je viens de me rendre compte que 3 semaines à dormir entre 4 et 6h/nuit, le reste du temps sur des écrans informatiques, ce n'est pas une bonne idée pour la vue et le crâne ) Du coup, ayant eu l'occasion de voir l'envers du décors, de vivre par procuration la détresse de ces jeunes qu'on stigmatise dans les JT, je souhaiterais ici, tenter de te convaincre que tu t'es inscrit dans une fausse idée de facilité d'accès à l'emploi: la réalité est autrement plus désastreuse, surtout en cette période de pression fiscale littéralement asphyxiante. Tout au moins désirerais-je que tu mettes de l'eau dans ton vin, tes propos sont blessants, réellement.

ça c'est clair par contre trouver du boulot sans diplôme c'est mission casi impossible si la motivation faisait tous ça se saurait

Inext', je n'aurais pas pu le dire mieux...

babsi a écrit le 18/10/2013 à 12h35: alors oui je te le dis je l'ai entendu " travailler le week-end alors qu'on gagne autans au chômage non merci" ....et ce ne sont pas des cas isolé la preuve le bordel actuel "pour ou contre le travail le dimanche...."

Mais la, c'est pas un soucis de la mentalité, mais plutôt du système, et c'est un tout autre sujet.
Franchement, tu crois que quand on te dit que tu touches 1000€ en restant chez toi, donc sans frais de transports pour aller bosser et sans les contraintes d'un boulot, alors que tu touches la même chose en bossant mais faut ajouter tous les frais que ça implique, ça donne envie d'aller bosser?
Ou autre exemple, une jeune maman qui touche plus en restant chez elle qu'en allant bosser, sans avoir à payer une nounou.

Si déjà le système était pas fait pour inciter les fainéant à rester chez eux, et qu'il aidait les bonnes personnes, ça changerais beaucoup de choses!
Parce que bon, on donne des ARE à un type qui "cherche" (mais sans chercher on est bien d'accord) un boulot, mais celui qui veut reprendre ses études pour pouvoir en trouver un plus facilement, qui cherche des solutions pour se sortir de la m*rd*, on ne l'aide pas et on lui met des bâtons dans les roues.
Mais la, c'est une autre histoire.

Et je te rassure, moi aussi ce genre de choses ça me débecte, je ne peut pas bosser ou je veut à cause de ma santé, et voir tout ceux qui le pourrais ne pas le faire et avoir ce genre de propos, ça me fait mal au cœur!

babsi a écrit le 18/10/2013 à 12h38: ça c'est clair par contre trouver du boulot sans diplôme c'est mission casi impossible si la motivation faisait tous ça se saurait

Je confirme!

youkandme a écrit le 18/10/2013 à 12h44: Inext', je n'aurais pas pu le dire mieux... Mais la, c'est pas un soucis de la mentalité, mais plutôt du système, et c'est un tout autre sujet. Franchement, tu crois que quand on te dit que tu touches 1000€ en restant chez toi, donc sans frais de transports pour aller bosser et sans les contraintes d'un boulot, alors que tu touches la même chose en bossant mais faut ajouter tous les frais que ça implique, ça donne envie d'aller bosser? Ou autre exemple, une jeune maman qui touche plus en restant chez elle qu'en allant bosser, sans avoir à payer une nounou. Si déjà le système était pas fait pour inciter les fainéant à rester chez eux, et qu'il aidait les bonnes personnes, ça changerais beaucoup de choses! Parce que bon, on donne des ARE à un type qui "cherche" (mais sans chercher on est bien d'accord) un boulot, mais celui qui veut reprendre ses études pour pouvoir en trouver un plus facilement, qui cherche des solutions pour se sortir de la m*rd*, on ne l'aide pas et on lui met des bâtons dans les roues. Mais la, c'est une autre histoire. Et je te rassure, moi aussi ce genre de choses ça me débecte, je ne peut pas bosser ou je veut à cause de ma santé, et voir tout ceux qui le pourrais ne pas le faire et avoir ce genre de propos, ça me fait mal au cœur!

ça je le comprend parfaitement mais ne pas pouvoir et ne pas vouloir sont 2 chose différentes

youkandme a écrit le 18/10/2013 à 12h44: Inext', je n'aurais pas pu le dire mieux... Mais la, c'est pas un soucis de la mentalité, mais plutôt du système, et c'est un tout autre sujet. Franchement, tu crois que quand on te dit que tu touches 1000€ en restant chez toi, donc sans frais de transports pour aller bosser et sans les contraintes d'un boulot, alors que tu touches la même chose en bossant mais faut ajouter tous les frais que ça implique, ça donne envie d'aller bosser? Ou autre exemple, une jeune maman qui touche plus en restant chez elle qu'en allant bosser, sans avoir à payer une nounou. Si déjà le système était pas fait pour inciter les fainéant à rester chez eux, et qu'il aidait les bonnes personnes, ça changerais beaucoup de choses! Parce que bon, on donne des ARE à un type qui "cherche" (mais sans chercher on est bien d'accord) un boulot, mais celui qui veut reprendre ses études pour pouvoir en trouver un plus facilement, qui cherche des solutions pour se sortir de la m*rd*, on ne l'aide pas et on lui met des bâtons dans les roues. Mais la, c'est une autre histoire. Et je te rassure, moi aussi ce genre de choses ça me débecte, je ne peut pas bosser ou je veut à cause de ma santé, et voir tout ceux qui le pourrais ne pas le faire et avoir ce genre de propos, ça me fait mal au cœur!

ça sa dépend des mentalité moi j'ai ma fierté j'ai jamais était pigner mes droits au chômage alors que c'est moi qui est fait le choix de ne plus travailler pour élever mes enfants .....

alors oui le système est mal fait mais si il n'y avait pas tans de profiteur les système serait pas si mal

mais la on dévit du sujet

babsi a écrit le 18/10/2013 à 12h49: ça je le comprend parfaitement mais ne pas pouvoir et ne pas vouloir sont 2 chose différentes

C'est sur, mais les gens ont si vite fait de généraliser et de mettre tout le monde dans le même panier

youkandme a écrit le 18/10/2013 à 12h52: C'est sur, mais les gens ont si vite fait de généraliser et de mettre tout le monde dans le même panier

c'est pas faux aussi comme quoi chaque cas est particulier

youkandme a écrit le 18/10/2013 à 12h44: I Ou autre exemple, une jeune maman qui touche plus en restant chez elle qu'en allant bosser, sans avoir à payer une nounou.

C'est hors sujet, mais, effectivement, j'ai connu le cas de figure durant mon stage de fin d'étude: une collègue est partie en arrêt maladie suite à une grossesse compliquée (jumeaux), quand j'ai demandé si elle reviendrait, ses collègues m'ont expliqué que c'était quasiment sûr qu'elle ne reviendrait pas: elle aura alors 2 enfants en bas age et un de 18mois, sans parler de l'envie de voir ses enfants grandir, les frais à engager jusqu'à la maternelle lui couterait plus cher que de retourner bosser.

Le drame, c'est que cette mère est quelqu'un de bosseur, c'est une Doctoresse en informatique et mathématiques (bac + … au bas mot 8 ou 9) … c'est chaud à entendre, à 24 ans, après avoir passé tout près d'un arrêt forcé des études faute de financement, car n'ayant jamais eu droit à la moindre aide autre que l'ALS (ah oui, ça, pour en revenir un peu au sujet, les jeunes étant toujours liés au revenus des parents, même si ils ont coupé les ponts, n'ont le droit à RIEN si un des parents dépasse un palier imposable, même si il est surendetté)… et que, à côté, on arrive à des situations où quelqu'un qui veut bosser est incité à… ne pas bosser

inextenza a écrit le 18/10/2013 à 12h57: C'est hors sujet, mais, effectivement, j'ai connu le cas de figure durant mon stage de fin d'étude: une collègue est partie en arrêt maladie suite à une grossesse compliquée (jumeaux), quand j'ai demandé si elle reviendrait, ses collègues m'ont expliqué que c'était quasiment sûr qu'elle ne reviendrait pas: elle aura alors 2 enfants en bas age et un de 18mois, sans parler de l'envie de voir ses enfants grandir, les frais à engager jusqu'à la maternelle lui couterait plus cher que de retourner bosser. Le drame, c'est que cette mère est quelqu'un de bosseur, c'est une Doctoresse en informatique et mathématiques (bac + … au bas mot 8 ou 9) … c'est chaud à entendre, à 24 ans, après avoir passé tout près d'un arrêt forcé des études faute de financement, car n'ayant jamais eu droit à la moindre aide autre que l'ALS (ah oui, ça, pour en revenir un peu au sujet, les jeunes étant toujours liés au revenus des parents, même si ils ont coupé les ponts, n'ont le droit à RIEN si un des parents dépasse un palier imposable, même si il est surendetté)… et que, à côté, on arrive à des situations où quelqu'un qui veut bosser est incité à… ne pas bosser

Pour être maman de deux jeunes enfants, je peux te dire que tu touches moins en étant chez toi qu'en travaillant!

les enfants sont liés aux parents sauf si les parents font une attestation comme quoi ils donnent rien aux enfants et ça beaucoup de parents le font même si c'est pas vrai

le monde est mal foutu de toute façon c'est pas nouveau
il y aura toujours de personnes qui profiteront du systeme et des cons qui le subiront ......... je fais partie de la 2e categorie sinon je serai pas dans la merde

jamin a écrit le 18/10/2013 à 13h00: Pour être maman de deux jeunes enfants, je peux te dire que tu touches moins en étant chez toi qu'en travaillant!

Avec 3 enfants en bas age, en 2004, entre ce qu'elle touchait à rester chez elle, et son salaire sur lequel il faut retirer 3 gardes de jeunes enfants en région parisienne (nord-est du 78) le calcul n'était clairement pas favorable à son maintient en activité.

C'est une bonne nouvelle que ce ne soit plus le cas, d'après ce que tu dis