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et pour la première phalange cette thèse s'applique ?
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L'explication en elle même peux fonctionner pour à peut près toute les pathologies locomotrice du cheval de sport connu à ce jour.
Le cadre particulier de la tension qui s'exerce sur les sésamoïdes n'est pas valable pour pour P1.
Les sésamoïdes sont comme des poulies pour faciliter les renvoies d'angle.
P1 subit des charges structurelles plutôt verticale. (dans l'axe du membre)
Le sésamoïde des charges d’écrasement transversale. (écrasé entre les tendons et l'articulation).
P1 peut A MON AVIS (pas encore lu de thèse sur les fractures de P1) se fracturer pour les même raisons qui amènent trop de tensions sur les sésamoïdes ... a savoir un pied non fonctionnel, non mâture, atrophié par la ferrure ( le manque de soins, la génétique, les sols ne sont pas la cause 1ere ) qui ne permet pas une cinématique physiologique de l'articulation interphalangienne distale.
Du coup, on a des tensions qui ne sont pas distribuées comme l'avait prévu la nature... et dans le cadre d'un travail intensif peuvent aller au delà des possibilités physiologiques (usures, inflammations) et mécaniques (fractures, déchirures... ) de l'animal.
Le fer amènent beaucoup de petits problèmes qui mis bout à bout peuvent conduire à de très gros problèmes.
C'est la réaction en chaîne.
L'article de Gene Ovnicek que j'ai mis sur mon blog explique bien le problème du posé pince en 1er:
Et le problème d'une pince migré (qui va de paire avec une partie caudal atrophié)
Le posé en pince ne permet pas l'alignement phalangien et fait souffrir les phalanges et les ligaments sésamoidiens.
Mais le cheval ferré, posera en pince parce que c'est ce que lui impose ce morceau de fer sous son pied.
avec comme conséquences:
Problèmes de stimulations correcte des structures internes.
Problèmes circulatoires. ( retours veineux, alimentation en sang des tissus, retours lymphatique, gestion de l'énergie cinétique par le formidable système hydraulique sanguin du pied... )
Problèmes sensorielles. ( mauvaise proprioception, signaux d'alerte de protections déficient ou retardé, glissades, mauvaise perception du sol... )
Problèmes de schéma corporelle, à cause de déformations diverses. (le simple fait de laisser de la place aux clous décale déjà la pince au delà de son emplacement physiologique. Avec le natural balance shoe certains on voulut éviter ce problème mais c'était finalement pire)
Les talons du fer sont rarement placés au point d'impact correct correspondant au point précis du pied censé gérer l'énergie de l’impact.
La rigidité de l'orthèse ne permet pas la déformation de l'arrière du pied pour gérer l'énergie cinétique et transmets toute l'onde de choc dans le membre.
Le cheval est obligé de poser à plat ou en pince... ce qui n'est pas correcte pour toute les structures.
Le déficit de stimulation et de circulation entraîne l'atrophie des structures et donc un pousse ralentie de corne pas assez épaisse et constitué de tubule et pas de corne inter-tubulaire, donc trop rigide est cassante. Sole fine...
L'appuie périphérique entraîne trop de pression sur le bourrelet coronal et vient mettre trop de poids sur la paroi entraînant une descente distale, des problèmes circulatoires, une sole fine et des sensibilités...
Le manque de distorsion, ne permet pas la pousse de paroi interne qui est pourtant essentiel pour la gestion de la déformation de la paroi et la gestion des chocs et vibrations.
Le coussinet plantaire est déficient est ne permet pas la gestion de l'onde de choc de l'impact protégeant l'articulation et surtout le sésamoïde distale.
Les cartilages collatéraux, non stimulés deviennent fins et flexibles et ne contrôlent plus la déformation des quartiers qui avec une paroi fine peut casser spontanément... (fameuses seimes quart descendante ou montante, c'est pareil...) Ces cartilages contrôlent aussi la mise sous pression du système vasculaire du pied quand le paturon descend et vient pincer les artères et veines entre P2 et les cartilages... sans cartilages fort, pas de mise en pression du pied, donc pas de croissance rapide, et pas de gestion hydraulique de l'énergie... donc pathologies.
Et encore, tout ça c'est avec une ferrure parfaite... posé d’aplomb... pas trop serré, aux clous broché pas trop haut et surtout pas trop en arrière vers les processus palmaire.
Le sabot pourra en plus ne pas être symétrisé par rapport aux pieds... et donc provoquer des tensions permanentes et des problèmes de trajectoires du sabots pendant la phase de soutient... ( atteintes, forge, coupe etc etc )
Mais tout ça, c'est expliqué nul part...