Pour mon témoignage j'ai eu recours a une IVG il y a 15 jours.
Maman d'un petit garçon que j'ai déjà eu très jeune (20 ans) avec mon ex conjoint, je suis en couple depuis 6 mois avec mon actuel. Sous pillule (Leeloo) depuis toujours, aucun rater de prise certifié, régles qui continue ...
Malgrès donc la pillule et les régles, j'ai été alarmé par des signes que j'vais déjà connue. Seins qui gonfles et sont douloureux, envie d'aller au toilettes bien plus souvent, sommeil agité et ... envie de kiri (comme pour mon fils) ...
J'ai donc effectué prise de sang dans la foulée de la suspicion de grossesse et manque de peau, c'etait positif.
J'en est de suite parlais a mon conjoint (qui lui aussi a une petite fille) et j'ai été soulagé que l'on soit sur la même longueur d'onde. Notre relation est recente, nous avons chacun deja un enfant respectifs, nous essayons de construire une famille recomposé ce qui n'est pas toujours evident, au niveau financier on s'en sort tout juste ... on ne peut pas lui offrir une qualité de vie suffisante, notre relation est trop récente, nos moyens ne sont pas suffisamment extensible et on souhaite d'abord creer un cocon familliale entre nos deux enfant respectifs.
J'ai donc pris RDV avec ma gynecologues qui apres avoir lu le nombre de semaine Amhénoré, m'a dit que j'allais subir une intervention chirurgicale. Et la, autant je m'étais prépapré au fait d'avorter, j'étais sur de mon choix etc, autant je ne m'attendais pas a une anesthésie général, une journée dans un hopital et pas d'effort et un traitement post opératoire d'une semaine. Les hopitaux m'ont toujours fait peur, mais je n'avais pas le choix j'étais obligé de passer par la.
J'ai eu plusieurs rdv avant l'intervention, nottament avec une conseillere conjugale (mon conjoint etait la) qui etait plutot a insister pour savoir si on ne voulait pas changer d'avis. Heureusement notre décision était murement reflechis et on a bien pris la peine de lui expliquer qu'on ne reviendrais pas dessus. J'ai ensuite rencontrer la gynéco de l'hopital, une psychologue, l'anesthésiste et enfin le chirurgien qui allait pratiquer l'intervention. Malgrès tout ses rdv, toutes ses confirmations de choix, il faut savoir qu'il y a une semaine de refléxions obligatoire apres ses rdv avant toutes opération...
Bref je me suis faites avorter sous anesthésie général dans un hopital de bordeaux, par une methode que l'on appelle par aspiration. Durant l'intervention l'anesthésiste c'est planter dans le dosage et je me suis reveillé, j'ai ete rendormie "en urgence" et lorsque je me suis reveillé 1h plus tard, c'était fini et mon corps le savait..
On m'a remonté dans la chambre et tout c'est arreté. Je suis rester en observations une bonne partie de la journée mais je ne garde aucun séquelle physique de cette operation, aucun séquelle psychologique non plus puisque ma décision était murement réfléchis, cependant jamais je ne qualifierais cet acte de moyens de contraceptions ! Malgrès mon abscence de séquelle psy et physique cela reste une interventions chirurgicale qui met a mal le corps durant quelques temps ...
tout ca pour dire qu'effectivement dans certaines circonstances, je suis pour, que je n'est pas honte d'y avoir eu recours pour cette fois et que je ne me permettrais pas de juger qui que ce soit ayant a subir cela ...