Émotion du cheval

Oui en fin Freud...après chacun à ses préférences, j'avoue je préfère Lacan

Il faut savoir si tu parles maintenant d’éducation et de domestication, effectivement je suis rester sur le lamda puisqu'on parlait seulement d’émotion et qu’apparemment le cheval n'en avait que très peu!
et l'égocentrisme n’empêche pas la relation inter-espèce et tous les comportement que tu décris!

Mes sources:la station de recherche pluridisciplinaire des METZ et bien sûr tous les classiques qu’apparemment tu connais!

Qui est évidement dans la succession de Freud
Je maintiens que Freud est plus accessible pour commencer

Freud distinguait deux consciences chez l'homme,
-la conscience immédiate, j'ai faim
-la conscience réflexive, je sais que j'ai faim

Les animaux se rangent dans la case "conscience immédiate", ils vivent dans l'immédiat de ce qu'ils ressentent et font.
Cela ne veut pas dire qu'ils sont dénués de sens logique, seulement ils n'en n'ont pas conscience, exemple : je met un coup de cul pour mettre par terre mon cavalier.

Un cheval réfléchit de façon autonome (pas comme les planctons), il a des intérêts personnels et des affectes qui sont indépendants du groupe en lui même. Chaque individu a des traits de caractères, en fonction des goûts et des couleurs

Edit : le cheval à un inconscient, et peut rêver

Oui mais la comparaison entre humain et cheval pour le coup me semble tellement éloigné est pare que beaucoup d'enfant se construise sans par exemple une partie du sensorimoteur et leur psychisme se construit tandis que pour le cheval on manque de comparaison, non?

Succession non, contradiction plutôt!

Freud distinguait deux consciences chez l'homme,
-la conscience immédiate, j'ai faim
-la conscience réflexive, je sais que j'ai faim

Les animaux se rangent dans la case "conscience immédiate", ils vivent dans l'immédiat de ce qu'ils ressentent et font.
Cela ne veut pas dire qu'ils sont dénués de sens logique, seulement ils n'en n'ont pas conscience, exemple : je met un coup de cul pour mettre par terre mon cavalier.

Un cheval réfléchit de façon autonome (pas comme les planctons), il a des intérêts personnels et des affectes qui sont indépendants du groupe en lui même. Chaque individu a des traits de caractères, en fonction des goûts et des couleurs

Edit : le cheval à un inconscient, et peut rêver

Pas vraiment puisque il a fait un retour à Freud et à développer avec une modalité linguistique sa théorie pour comprendre les psychoses....

Désolé, je ne comprend pas ta théorie du coup.... Je parle de compétences naturelles de base...
Le rapport égocentré au monde fait partie de la construction, mais il faut bien une attitude centrifuge pour que les liens se fassent... de quelle façon se fait cette attitude et jusqu'où va t'elle, ce n'est pas encore bien claire aujourd'hui pour chaque espèce... Mais on ne peut pas balayer l'empathie et l'altruisme par l'égocentrisme... Frans de Wall en parle très bien d'ailleurs !
Pour les émotions, Bekoff a fait aussi une grosse étude là dessus...

Les dernières recherches sur la dépression du cheval postule que leurs émotions va bien plus loin que ce qu'on pense !

La station de recherche de Metz fait ces recherches sur les oiseaux et ça fait bien longtemps qu'elle sort plus rien sur les chevaux, si tenté qu'elle en ait sortie une un jour....

Il n'y a pas une histoire comme quoi a l'état sauvage, les chevaux se relais pour surveiller le troupeaux ? Ils y en qui veillent pendant que d'autres dorment?

Me suis mal exprimée, il y a un intérêt évident de groupe pour des raisons de survie, mais pas essentiellement je pense.

Et l'anticipation par conditionnement? Certes c'est du conditionnement (mais j'ai envie de dire que c'est exactement la même chose Pour l'être humain, a une Échelle plus fine peut être) même si ca ne relève pas de l'imaginaire, on est plus dans le "ici et maintenant". Ex : je vois le camion, la dernière fois que je suis monté dedans, j'ai eu mal, donc si je le voit, j'ai peur, rapport a la douleur anciennement ressentit (comment ca c'est hasardeux comme exemple?). Il y a projection.

Je tatonne hein (et entre nous, j'ai une dent contre Freud ^^)

Je pense surtout que le cheval (l'animal ?) ne mentalise pas ses expériences, il ne fait de "retour en arrière", il vit, et apprend de ce qu'il vit sans "reflexion" post-expérience.

D'ou le : stimuli A douloureux > comportement d'évitement, puis stimuli A neutre : remise en question non consciente du comportement d'évitement.

(comprendre A : même situation)

Et c'est la non conscience qui fait, selon moi, toute la différence. Ce qui empêcherait bien des déboires aux êtres humains (^^). Mais ça n'empêche en rien le cheval de ressentir tel ou tel sentiment. Mais du coup exit les sentiments qui émanent de la mentalisation (culpabilité par exemple, sauf certains cas "oups, pas vu, t'es mis un coup de tête" peut être, ce qui est plus immédiat pour le coup, et ne relève pas de l'intention).

Et personnellement, je trouve ça BEAU, d'avancer avec la vie qu'on VIT justement, pas de rumination, pas de "et si", c'est pur, logique, et en même temps, d'un individu a l'autre, à expériences similaires, c'est totalement différent.

Donc il y a bien un "petit" quelque chose qui nous échappe.

C'était mon point de vu, et il n'est absolument pas arrêté ^^

Encore une fois l'Homme pense tout savoir : Non ils ont des émotions, oui ils en ont !

Ça sert à rien de débattre on en sait rien ! Appart se réincarner en cheval je vous rassure personne ne pourra affirmer quoi que se soit 👍🏼

Non il n'y a pas d'absolu dans la discussion, mais assez de grands travaux et réflexions menés sur les animaux