Profitez de toutes les fonctions du site Cheval Annonce en intégralité :
.. Il faut faire la part des choses il me semble. Entre ce que tu relate et un cheval qui ne va pas te respecter quand tu mets la bouffe, ou un qui te jette un coup de cul quand tu le lâches au pré.. il y a une sacrée différence il me semble
.. Il faut faire la part des choses il me semble. Entre ce que tu relate et un cheval qui ne va pas te respecter quand tu mets la bouffe, ou un qui te jette un coup de cul quand tu le lâches au pré.. il y a une sacrée différence il me semble
N'est-ce pas ce que tu fais en jugeant si hâtivement mon message ?
).
, seulement, on a rarement la possibilité d'offrir à nos chevaux les conditions naturelles idéales qu'il peut trouver en totale liberté
, sachant que pour se nourrir, il me semble qu'un cheval exploite déjà un domaine de 200 à 400hectares (suivant la richesse des espèces végétales qui s'y développent) .
), aussi sommes nous obligés de leur demander de s'adapter, (après à nous de pouvoir leur offrir le meilleur de ce qui est possible...
)
...
, sachant que pour se nourrir, il me semble qu'un cheval exploite déjà un domaine de 200 à 400hectares (suivant la richesse des espèces végétales qui s'y développent) .
Je me dis que si on n'a pas un minimum de confort à apporter au cheval (vie au pré en troupeau, avec de quoi manger et sans compétition alimentaire), alors on s'abstient d'en avoir un (oui je sais, c'est très incisif, dit comme ça
).
mais doit-il pour autant l'accepter sous prétexte qu'il en est capable ?
), aussi sommes nous obligés de leur demander de s'adapter, (après à nous de pouvoir leur offrir le meilleur de ce qui est possible...
)
d'autres non.
J'ai toujours fonctionné sur un système d'égal à égal, renforcement positif au maximum, et surtout dans l'idée d'une totale collaboration...