Le respect à pied: encore!

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Misstagadaa

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Le respect à pied: encore!
Posté le 17/09/2015 à 10h57

Bonjour!

Depuis mardi, mes chevaux sont rentré en stabulation. Avec ça, les problèmes de respect à pied reviennent.

Tout à l'heure, je me suis fait bousculer en vidant la brouette de foin (une sombre histoire de qui aura aces au tas en premier...). Bref, comme c'est Baio le dominant (et accessoirement, le plus respectueux à pied), Boème a voulu l’éviter, et à choisi de me bousculer moi.
Bien entendu, râler et taper pour l’éloigner ne sert à rien sur lui.

Je vais donc dés à présent revoir les exercices de cession et de mobilisation, mais je pense que ça ne fera pas tout: c'est pas parce qu’il sait bouger qu'il aura envie de le faire au moment ou il aura décider de me bousculer.

La cravache, j'y ai penser: mais je la met ou pendant que je donne le foin? Puis le temps de la dégainer, la bousculade sera terminée...

J'ai déjà eu un souci similaire l'an dernier, ou il m'a bousculer (et fait tombé) pour sortir de son box.

Bref, c'est un point avec le quel j'ai vraiment du mal avec lui.

Merci.

Adeline23687

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Posté le 17/09/2015 à 15h51


zaccharie.z a écrit le 17/09/2015 à 15h48:


Je pense qu'elle a dit "toi aussi" dans le sens "ah toi aussi t'as une jument comme ça ?". Parce que mine de rien, j'ai rencontré Urane, et elle serait du genre à dire "eh oh, on me la fait pas à moi !".


Ah ok.Merci

Elliott31

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Posté le 17/09/2015 à 15h52


zaccharie.z a écrit le 17/09/2015 à 15h45:
J'apporte une petite anecdote, pas forcément dans le thème initial du topic mais qui correspond bien à la dérive qui en a été faite.



Dernièrement, mon fils s'est fait piétiner par un cheval que je tenais en longe. Ai-je puni le cheval ? Non. Parce qu'il n'était pas responsable.

Il a mal interpréter un de signaux, a commencé à reculer, reculer, reculer, et mon fils de 2 ans et demi, pourtant habituer à ne pas rester dans les pieds, s'est fait marcher dessus.

.
ça ne me serait pas venu à l'idée non plus de fracasser le cheval, c'est un accident .. Il faut faire la part des choses il me semble. Entre ce que tu relate et un cheval qui ne va pas te respecter quand tu mets la bouffe, ou un qui te jette un coup de cul quand tu le lâches au pré.. il y a une sacrée différence il me semble

Zaccharie.z

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Posté le 17/09/2015 à 15h52


brindemais a écrit le 17/09/2015 à 15h49:
Or, un dominant dont la place est menacé, ou lors de l'integration d'un dominant dans un groupe qui va venir chercher un peu le leader en place, eh bah là ça peut bien castagnier pour la place de dominant


Pourquoi parler de dominance, alors que la dominance inter-espèce n'existe pas ?

Erell29

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Posté le 17/09/2015 à 15h55


adeline23687 a écrit le 17/09/2015 à 15h43:




Je voulais dire que moi aussi j'en avais une qui s'en foutait des fils non électrifiés...

Erell29

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Posté le 17/09/2015 à 15h58


zaccharie.z a écrit le 17/09/2015 à 15h48:


Je pense qu'elle a dit "toi aussi" dans le sens "ah toi aussi t'as une jument comme ça ?". Parce que mine de rien, j'ai rencontré Urane, et elle serait du genre à dire "eh oh, on me la fait pas à moi !".


C'est ça ^^ ! Grave et depuis elle l'a mis en pratique: quand ça me va pas, je pète tout et rien à foutre !

Zaccharie.z

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Posté le 17/09/2015 à 16h00


elliott31 a écrit le 17/09/2015 à 15h52:
ça ne me serait pas venu à l'idée non plus de fracasser le cheval, c'est un accident .. Il faut faire la part des choses il me semble. Entre ce que tu relate et un cheval qui ne va pas te respecter quand tu mets la bouffe, ou un qui te jette un coup de cul quand tu le lâches au pré.. il y a une sacrée différence il me semble


Non, il n'y a aucune différence, puisque le cheval est victime dans les deux cas :
- non respect quand tu mets la bouffe = cheval qui a été dans la compétitivité alimentaire = faute de l'humain.
- coup de cul quand tu lâches au pré = cheval qui ne supporte pas l'enfermement (ou le temps d'enfermement) qu'on lui impose.


Cette agressivité est une pathologie de comportement due à un mal-être que l'animal subi. Si l'humain n'est pas assez alerte aux premiers signes de détresse, alors le cheval peut développer un caractère que nous, nous assimilons de "violent", mais qui n'est que le résultat de nos actes.

Brindemais

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Posté le 17/09/2015 à 16h01


zaccharie.z a écrit le 17/09/2015 à 15h52:


Pourquoi parler de dominance, alors que la dominance inter-espèce n'existe pas ?


Je reprenais les termes des messages précédents auxquels je réagissais, par abus de langage de ma part donc, n'ayant pas les connaissances suffisantes à propos des rapports inter espèces mais comprenant (je pense) le sens des interventions. J'aurai peut-être du parler de se faire respecter, mais dans le cas du message en question, particulièrement par le dominant du troupeau.

Djebeldesierra

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Posté le 17/09/2015 à 16h05


brindemais a écrit le 17/09/2015 à 15h49:


Je m'incruste juste pour apporter une nuance rapport au message auquel tu répondais: je suis tout à fait d'accord avec ton message @djebeldesierra sauf que ! Dans la situation le dominant voit sa place menacé (par un humain dans le message il a été question, d'être plus dominant que le dominant). Or, un dominant dont la place est menacé, ou lors de l'integration d'un dominant dans un groupe qui va venir chercher un peu le leader en place, eh bah là ça peut bien castagnier pour la place de dominant

Pour l'auteur, je ne saurai apporter d'autres pistes que ce qui a été énoncé... A moins d'en connaitre plus sur la topo du lieu ?


Oui bien sûr !
Mais dans cette situation, aucune place n'est menacé et en principe la hiérarchie est la même, donc pas besoin de baffe.

Moi j'ai surtout l'impression, si c'est un problème qui revient, c'est qu'il n'a pas compris les limites quand elles ont étés posées.

Normalement, pour ne pas se faire bousculer, au mieux tu n'as rien à faire, au pire tu dois lever les bras et crier un peu pour te faire remarquer.
Quand je nourrissais mon troupeau d'entiers préférés dans leur stabu, j'évitais de me faire bousculer par les dominés rien qu'en levant les bras et faisant du bruit.

Sandy888

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Posté le 17/09/2015 à 16h06


zaccharie.z a écrit le 17/09/2015 à 15h45:
J'apporte une petite anecdote, pas forcément dans le thème initial du topic mais qui correspond bien à la dérive qui en a été faite.



Dernièrement, mon fils s'est fait piétiner par un cheval que je tenais en longe. Ai-je puni le cheval ? Non. Parce qu'il n'était pas responsable.

Il a mal interpréter un de signaux, a commencé à reculer, reculer, reculer, et mon fils de 2 ans et demi, pourtant habituer à ne pas rester dans les pieds, s'est fait marcher dessus.

Une infirmière l'a aussitôt pris en charge pendant que je remettais le cheval au pré. Je n'ai pas agi dans la précipitation car je savais que mon fils était entre de meilleures mains que ce que je pouvais prétendre. Je l'ai relâché au pré, et le cheval est resté près de moi... Pour le connaître depuis 3 ans, il n'avait vraiment pas l'air bien, et croyez-le ou non, quand je l'ai vu reculer sur mon fils, j'ai bien remarqué qu'il était terrifié de la sensation de ses sabots sur la chair tendre de mon petit, et il a fait son possible pour ne pas mettre tout son poids.


Bref, je l'ai caressé, j'ai eu besoin de lui dire que ce n'était pas de sa faute, et ensuite je suis retournée voir mon fils pour le consoler.

Direction les urgences, heureusement rien de cassé, juste des contusions impressionnantes.


Le jour suivant, j'ai emmené mon fils revoir ce cheval, pour qu'il le caresse. Le cheval en question est plutôt bourru et pas fan du contact des enfants, mais là il est resté.

Mon fils est autiste. Le cheval est un animal. La seule responsable, c'était moi, de toute manière, et j'ai fait deux victimes (car le cheval a été émotionnellement très marqué par cet accident)...


L'instinct maternel ne justifie pas qu'on tabasse un animal alors qu'on n'a pas fait attention soi-même à sa propre chair.


Aucun rapport et absolument pas comparable!

Tu parle d'un accident, moi je te parle de chevaux qui te mettent en danger par manque de respect...

Djebeldesierra

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Posté le 17/09/2015 à 16h08


zaccharie.z a écrit le 17/09/2015 à 16h00:


Non, il n'y a aucune différence, puisque le cheval est victime dans les deux cas :
- non respect quand tu mets la bouffe = cheval qui a été dans la compétitivité alimentaire = faute de l'humain.
- coup de cul quand tu lâches au pré = cheval qui ne supporte pas l'enfermement (ou le temps d'enfermement) qu'on lui impose.


Cette agressivité est une pathologie de comportement due à un mal-être que l'animal subi. Si l'humain n'est pas assez alerte aux premiers signes de détresse, alors le cheval peut développer un caractère que nous, nous assimilons de "violent", mais qui n'est que le résultat de nos actes.


Complètement d'accord avec toi !

Ah d'ailleurs, c'est moi qui ai parlé de dominance, c'est un raccourci que je ne devrais pas me permettre, mais je ne sais plus quel terme est approprié

Geriko42

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Posté le 17/09/2015 à 16h10


elliott31 a écrit le 17/09/2015 à 15h32:
je mets toujours un tas de plus que le nombre de chevaux.. 3 tas pour 2, 4 pour 3 etc..

Zaccharie.z

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Posté le 17/09/2015 à 16h10


sandy888 a écrit le 17/09/2015 à 16h06:
Aucun rapport et absolument pas comparable!

Tu parle d'un accident, moi je te parle de chevaux qui te mettent en danger par manque de respect...


Le manque de respect ? N'est-ce pas ce que tu fais en jugeant si hâtivement mon message ?

Car au contraire, tout est lié. Un accident, ou un acte "volontaire", le résultat est le même : cheval qui met en danger l'humain selon notre perception.


Un cheval qui agresse est un cheval qui a un mal-être, je l'ai expliqué un peu plus haut.

Mais c'est beaucoup plus facile de sanctionner plutôt que remettre en question les causes de ce comportement non désiré

Edité par zaccharie.z le 17-09-2015 à 16h11



Zaccharie.z

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Posté le 17/09/2015 à 16h14


erell29 a écrit le 17/09/2015 à 15h58:
C'est ça ^^ ! Grave et depuis elle l'a mis en pratique: quand ça me va pas, je pète tout et rien à foutre !


Le même ici version entier x) "a p'us courant ? Ah ben on sort alors, l'herbe est meilleure à côté !" (ce qui doit être vrai puisqu'il se contente de brouter pendant que les donzelles l'appellent ).

Bysoutchoup

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Posté le 17/09/2015 à 17h22

@Zaccharie Z,
je suis bien d'accord sur le fait qu'un cheval agressif exprime un mal-être, et que celui-ci est dû aux conditions dans lequel l'homme s'en occupe.

Bien sur qu'il faut s'intéresser à la cause avant de s'intéresser au "symptome" , seulement, on a rarement la possibilité d'offrir à nos chevaux les conditions naturelles idéales qu'il peut trouver en totale liberté , sachant que pour se nourrir, il me semble qu'un cheval exploite déjà un domaine de 200 à 400hectares (suivant la richesse des espèces végétales qui s'y développent) .

A partir du moment où on le domestique, on met des contraintes, que ce soit en terme d'espace (et donc de gestion de l'alimentation, puisque c'est ici le sujet qui nous intéresse), ou autres...

Malgré ces "pressions" et ses "contraintes", le cheval est capable de s'adapter un minimum, même si du coup, il va effectivement développer une certaine agressivité dûe, sur le sujet de l'alimentation, au fait qu'elle n'est pas accessible en permanence, et concentrée sur un petit espace...
En effet, les chevaux à l'herbe uniquement (si il y en a assez, évidemment), ne vont pas se battre pour un brin d'herbe, car les ressources sont suffisantes et suffisamment vastes pour que chaque individu y trouve son compte...

Tout cela pour dire que je suis entièrement d'accord avec le raisonnement, mais que dans la pratique, on peut rarement offrir ces conditions naturelles (je pense que peu de pensions disposent de plusieurs centaines d'hectares! ), aussi sommes nous obligés de leur demander de s'adapter, (après à nous de pouvoir leur offrir le meilleur de ce qui est possible... )

En revanche, même si la contrainte d'espace ou de nourriture provoque ce comportement, et que quelque part, j'en suis responsable, je ne tolérais pas que leur agressivité puisse me mettre en danger, car ils sont parfaitement capable de comprendre certains interdits sans pour autant qu'ils développent d'autres "pathologies" ou juste qu'ils n'en souffrent.

Je sais qu'il n'existe pas de rapport de "dominance" inter espèce, mais alors comment nommer la relation qui y ressemble entre l'humain et le cheval?
On sait que pour un cheval, il est vital de savoir comment se situer "hiérarchiquement" par apport à d'autres individus, du coup, comment appeler ces "actes" de "dominance"

Je dis souvent que le cheval nous questionne sur la place qu'il doit avoir par rapport à nous (ce qu'on appelle souvent tester) ...

En tous cas, je manque beaucoup de vocabulaire pour exprimer tout cela

Edité par bysoutchoup le 17-09-2015 à 17h23



Zaccharie.z

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Posté le 17/09/2015 à 17h49


bysoutchoup a écrit le 17/09/2015 à 17h22:
seulement, on a rarement la possibilité d'offrir à nos chevaux les conditions naturelles idéales qu'il peut trouver en totale liberté , sachant que pour se nourrir, il me semble qu'un cheval exploite déjà un domaine de 200 à 400hectares (suivant la richesse des espèces végétales qui s'y développent) .


Dans ce cas, je suis assez tranchée à ce sujet Je me dis que si on n'a pas un minimum de confort à apporter au cheval (vie au pré en troupeau, avec de quoi manger et sans compétition alimentaire), alors on s'abstient d'en avoir un (oui je sais, c'est très incisif, dit comme ça ).


bysoutchoup a écrit le 17/09/2015 à 17h22:
Malgré ces "pressions" et ses "contraintes", le cheval est capable de s'adapter un minimum


Il en est capable oui mais doit-il pour autant l'accepter sous prétexte qu'il en est capable ?

Je suis capable de travailler 60h/semaine. Dois-je l'accepter ? Je suis capable de vivre dans une pièce de 9m² avec un lit et une télé + commodités dehors. Dois-je l'accepter ?

Etc, etc...


bysoutchoup a écrit le 17/09/2015 à 17h22:
Tout cela pour dire que je suis entièrement d'accord avec le raisonnement, mais que dans la pratique, on peut rarement offrir ces conditions naturelles (je pense que peu de pensions disposent de plusieurs centaines d'hectares! ), aussi sommes nous obligés de leur demander de s'adapter, (après à nous de pouvoir leur offrir le meilleur de ce qui est possible... )


Sans parler de centaines d'hectares, je pense qu'il est largement possible de trouver des pensions possédant 40 à 50 hectares.

Pour certains, ça demandera un sacrifice au niveau du trajet + entretien laborieux du cheval boueux, etc... Donc on demande au cheval de s'adapter non plus parce que la pension n'offre pas les conditions de vie adéquates, mais parce qu'il faut que ce soit un minimum "pratique" pour nous.

Mais le cheval, dans tout ça, a-t-il choisi d'être un exutoire pour l'humain qui veut faire radada-poney ?

Lui a-t-on laissé le choix quant au débourrage ? Lui a-t-on dit "c'est pas grave si t'aimes pas être monté et que tu n'aimes pas le box, je te garderai pour la compagnie et au pré" ?

A-t-il choisi d'être fils ou fille de Machin par Truc, des grands cracks du CSO, et dont on espère que la génétique aura fonctionné pour pouvoir s'élever au plus haut avec notre monture ?


Non, il n'a pas le choix déjà sur 90% de ses interactions avec l'être humain.

Donc en plus, il faut lui demander des concessions ?


Certains chevaux les tolèrent très bien d'autres non.



bysoutchoup a écrit le 17/09/2015 à 17h22:
On sait que pour un cheval, il est vital de savoir comment se situer "hiérarchiquement" par apport à d'autres individus, du coup, comment appeler ces "actes" de "dominance"


Ni ma jument, ni mon entier, n'ont cherché à se situer "hiérarchiquement" vis-à-vis de moi J'ai toujours fonctionné sur un système d'égal à égal, renforcement positif au maximum, et surtout dans l'idée d'une totale collaboration...

Et pour le moment, j'ai vraiment rencontré aucun souci... ça doit être mon côté hippie
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