J'irais encore plus loin que Dolimos...
La règle absolue de "pas taper, pas mordre et pas bousculer l'humain" reste et doit rester absolue quelque soit l'occasion, le moment, etc.
Mais pour ma part, le droit que je leur accorde ou pas à se casser en plein pansage, pendant que je fais les pieds, ou bien à aller voir le copain en m'oubliant complètement tient d'une seule chose : le licol.
Licol mis = travail = on m'écoute.
Licol non mis = repos = on est libre d'accepter ce que je demande ou pas.
Ils sont très loin d'être stupides, ils comprennent très vite...
Il faut bien sur accepter de voir un cheval retourner au milieu du troupeau avec un pansage à moitié fait, ou un côté curé niveau pied, l'autre non, etc. Mais rapidement, le pansage se fait en liberté au milieu du pré sans qu'ils disent non. C'est un véritable moment de partage et de communion en sachant tous les deux que c'est parce que l'on veut être ensemble pour le plaisir, sans travail, sans obligations, sans rien, juste le plaisir d'être ensemble. Et si il se casse... je ne me vexe pas, et je passe au suivant
Ils ont aussi le droit de ne pas être d'humeur le Lundi, et de l'être de nouveau le Mardi, etc.