Chez moi, il se serait pris une fessée et dans sa chambre pour qu'il réfléchisse à sa bêtise, surtout s'il me regarde d'un air narquois, en gros foutage de g*eule.

Et si ça le fait rire, privé d'un petit plaisir qu'il peut avoir: un bon dessert ou goûter qui sort de l'ordinaire, par exemple.
Face à l'insolence, je fais peu de cadeau. En baby-sitting, j'avais des enfants très difficiles (éducation inexistante), et quand ils poussaient le bouchon alors que je leur faisais confiance, c'était privation d'un truc qu'ils attendaient. Ils ne l'avaient qu'une fois le pardon demandé, ou l'attitude changée.
A partir de 9-10ans, surtout. Avec un enfant plus jeune, je modulais.
L'isolation humiliante...Ouch! Heureusement que le responsable n'a pas fait long feu.
J'ai isolé une fois une enfant: 8ans, elle ne voulait pas quitter ses parents pour les 3h de l'après-mid, et pleurait. Je lui ai dis qu'ici, on ne prenait pas les bébés, et qu'elle allait rester dans son coin jusqu'à ce qu'elle arrête de pleurer, qu'elle se décide d'être une grande fille et de venir jouer avec les autres.
Les autres enfants ont demandé ce qu'il se passait quand elle est revenue, et on a juste expliqué: "Elle a compris qu'elle n'était plus un petit enfant et a décidé de venir nous rejoindre!"
La petite a beaucoup mûri cette année-là et n'a plus pleuré une seule fois ^^