lyzdekiel
Citation :
Il n'y a que pour le loup qu'on sort l'argument de la peur de l'homme et compagnie, qu'il n'y jamais eu d'attaque.. Par contre bizarrement pour les pumas, lions, tigres et panthères il y en a..
Déjà, je ne crois pas que quiconque ait dit qu'il n'y avait jamais d'attaque
Le comportement du loup (canidé) n'est pas similaire à celui d'espèces félines. D'autant plus en mettant dans le même panier des espèces territoriales et d'autres sociales. Chacune à son propre comportement de prédation et de cohabitation, donc évidemment, des approches différentes.
L'apparition d'espèces sauvages dans les zones urbanisées augmente avec la diminution des territoires préservés et la diminution des ressources (habitat, eau, nourriture).
La bipédie de l'humain lui confère un "statut" différent au yeux des prédateurs quadrupèdes de petites et moyenne taille. Parce que dans les rapports de domination/priorisation une apparence plus imposante est un élément déterminant pour beaucoup d'espèce. Peu importe que l'on soit en inter-espèce, dans beaucoup de situation (j'ai écrit "beaucoup" et pas "toutes"
) celui qui apparait plus imposant, plus déterminé, plus bruyant s'impose souvent à l'autre sans avoir recours à une confrontation physique.
De part notre posture debout, et d'autant plus si on lève les bras ! et fait du du bruit, on fait fuir beaucoup d'animaux pourtant bien mieux armés que nous.
L'ours se redresse d'ailleurs pour s'imposer devant ce qu'il considère être un rival ou une menace.
La fuite déclenche en revanche les attaques de la plupart des prédateurs. Et la nature fait fuir les animaux/proies qui sont en général des espèces nombreuses en individus, et elle fait attaquer des espèces prédatrices en général fonctionnant avec des groupes sociaux réduits ou individuellement.
Seul l'humain, avec ses artifices, à inversé cet équilibre. Il est nombreux et attaque. Le résultat est là.