J'appréhende les interdictions alimentaires, j'appréhende la gestion de l'équitation, j'appréhende toute la gestion autour (tout préparer, gérer les rdv médicaux...).
Je ne voulais pas spécialement d'enfant et la grossesse m'a toujours rebuté. Alors quand j'ai découvert que j'étais enceinte je me suis posé 1000 questions comme toi.
Je te rassure c'est franchement pas si terrible que ça.
Pour la nourriture, j'ai eu de la chance je n'ai pas fait de diabète gestationnel car ça effectivement c'est bien relou.
Pour le reste, le seul aliment dont je me suis privée et qui m'a manqué c'est le saucisson. Et l'alcool avec l'arrivée des beaux jours (j'aime ma petite bière en été
).
Le fromage tant que c'est pâte dure ou cuit c'est OK. Et même en pasteurisé y'a du choix.
Pâtés, foie gras si c'est en conserve c'est OK.
J'ai pas du tout eu l'impression de me priver.
Pour les rdv médicaux tu as une PDS/urine par mois.
Franchement ça va, c'est rapide. Et minimum 3 rdv avec la SF/gyneco.
Mais c'est des rendez-vous qui vont te rassurer, les échos c'est sympa on aime y aller si tout va bien.
Pour l'équitation... J'ai toujours pensé que je monterais en cachette ahah.
Bah j'ai même pas eu envie d'essayer (sauf 1 ballade mais je ne savais pas encore que j'étais enceinte).
J'étais tellement fatiguée (anémie) et instinctivement pas "à l'aise" dans mon corps pour avoir envie de grimper sur ma jument. Pourtant c'est une vraie calme. Bah elle a profité de 9 mois de glandouille, sans regrets.
Alors j'ai eu de la chance j'ai eu une grossesse plutôt sympa.
) dit que « c’est ton choix tu fais bien ce que tu veux » (bon je vais attendre un peu avant de parler d’hystérectomie). Et puis ma grand mère (82 ans, qui voulait « 7 garçons » quand elle était petite, l’exemple typique de la femme née dans les années 40 qui n’a pas eu le droit de travailler pour quasiment toute sa vie, jamais eu de compte bancaire à son nom etc), qui me disait ne pas comprendre ceux qui font des enfants aujourd’hui quand on voit dans quelle direction va le monde, me répond « je te comprends » quand je lui dis que c’est une des raisons pour lesquelles je n’en aurai jamais 
comme quoi, toujours se méfier des apparences !
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