Voilà j'ai bien écris "je fais GROSSIEREMENT le lien" et hop vous vous y engouffrer joyeusement
ah devoir se justifier
Et bien oui, ma réflexion est basée sur se que je vois tous les jours, c'est tout à fait ça c'est avant tout un état d'esprit.
J'ai pas envie de tout détailler, mais en même temps si je "raccourcis" vais encore me prendre une claque
En résumé et pour éviter de vous froisser, j'habite au milieu des vignes entourée de chemins AF (en résumé bien que semi-privés, servent avant tout aux véhicules de travail) à côté d'une ville et de bureaux. Jusque là tout va bien?
Par beau temps (oh là là le gros raccourci et attention d'autres vont suivre) ces zones sont envahies de cyclistes, coureurs, promeneurs de chiens externes (vs sacs de crottes qui gisent sur les bordures herbeuses), en soit tout irait bien s'ils n'estimaient pas que ces chemins leur appartiennent.
Le chemin AF qui mène à mon écurie est sans issue, en voiture je dois reculer pour sortir. Et bien les employés des bureaux à leur pose le squattent, je me fais incendier à tout moment car il est indiqué sans issue.
Ah oui concernant ces fameux tracteurs, un florilège de réflexions quotidiennes bien pourries...
C'est pas parce que l'on habite à la campagne qu'on devient campagnard, c'est aussi juste l'inverse, ainsi mon propos est équitable
encore une fois je ne suis pas agricultrice.
Voilà, voilà, on est bien loin du loup et pour le coup je suis d'accord, l'homme pose plus de problème que celui-ci #
PS: oui j'ai déjà tout entendu des réflexions de promeneurs (citadins ou pas) sur mon jardin; ah les haricots poussent comme ça? J'aimerai semer des graines de framboises où en acheter? Ect...
Ce clivage qui m'attriste n'a pas disparut malheureusement malgré tout se que vous en pensez. Tout est nuances évidemment.