gab2p a écrit le 03/09/2024 à 16h05:
Je comprends mais, dans l'hypothèse où l'état de la victime s'aggrave...
J'admets que je n'ai pas précisé le fond de ma pensée, du coup ce n'est pas très précis.
Quand j'ai en tête d'aider quelqu'un à se relever, j'imagine une personne qui a fait une chute sans gravité, qui se relève et quelqu'un lui donne le bras.
La plupart des chutes que j'ai eu/vu étaient sans gravité, avec un cavalier qui rigole par terre ou dans le pire des cas, une petite entorse.
Je garde aussi en tête que dans les chutes où le cavalier
reste dans ses pleines capacités de jugement, il peut tout à fait dire "non" à une potentielle aide qu'on pourrait lui apporter : c'est bien joli de dire que la personne qui aide peut être responsable, mais la personne qui a chu peut tout à faire refuser.
S'il y a eu choc, étourdissement ou autre, c'est différent.
La jurisprudence : c'est bien ces hypothèses de "et si la personne porte plainte" qui fait que les gens deviennent paralysés à l'idée d'aider quelqu'un et perdent tout bon sens.
On voit ici l''exemple de cette prof qui confond "Ne pas bouger une personne blessée" et "J'ai pas le droit de vous toucher".