| | Ok, donc pour le poids à l'extérieur ou à l'intérieur c'est un peu comme chacun le sent en fait...
Mais Soffad, tu dis dans ta première réponse que tu agis mollet extérieur a la sangle, mais justement, quand tu places tes aides pour le galop, la jambe qui reste à la sangle n'est-elle pas l'intérieure justement? Celle derrière la sangle est l'extérieure? Ou tu parles vraiment du mollet qui se place au niveau de la sangle et le bas de la jambe, enfin, le reste,à sa place? |
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Moi, j’ai eu le même problème avec ma 4 ans de 2-3 mois de travail. Sur les jeunes chevaux qui n’ont pas encore trop l’habitude d’être monté c’est essentiellement un problème d’équilibre monté. En longe pas de souci sur le départ à la voix même si elle ne reste pas au galop très longtemps sur le cercle 17m (toujours par manque d’équilibre), mais montée, c’est autre chose.
Pour ma part, au début, je ne me suis pas trop préoccupée de mon poids du corps. En plus, je pars du trot enlevé. Je recule juste ma jambe extérieur pour qu’elle l’associe au départ et j’essai de partir à la voix.
Si elle ne part pas et accélère le trot, je reprends et recommence. Je veux qu’elle parte de son trot de travail et pas d’un grand trot en déséquilibre. Je pars sortie de courbe face à la ligne droite.
La seule chose pour laquelle je m’applique c’est de ne pas du tout me pencher en avant pour ne pas accentuer ce déséquilibre. Je garde mes rênes ajustées normalement et bien posée pour ne pas la gêner. Une fois au galop, je reste assise (toujours pour la même raison) et j’essai de ne surtout pas la gêner à gauche (pour le galop a gauche) afin de ne pas bloquer l’épaule et risquer qu’elle repasse au trot.
Je galope très peu sur une séance. Juste un départ à gauche et un a droite quand le travail au trot est décontracté. Et ça vient tout doucement.
Ce que j’ai pu en conclure c’est que souvent c’est moi qui l’empêche de partir au galop en la gênant (main qui bouge de trot si elle accélère) ou en me penchant en avant pour essayer de l’aider (ce qui n’est absolument pas le cas). En conclusion, moins j’en fais, plus ça marche.