Reflexions les plus "pourries" du monde du cheval

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Zzzzz

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Reflexions les plus "pourries" du monde du cheval
Posté le 07/04/2011 à 15h39

un petit topic pour ironiser sur le monde du cheval : je propose de raconter des annectodes, reflexions marrantes ou pourries qu'on vous a faites.

je commence:

> en periode de gelee cet hiver, une cavaliere me dit :
- pourquoi tu vas pas en ballade?
- la route est gelee et ma jument fait la folle dehors, j'ai peur de glisser
- t'as qu'a lui mettre un enrennement...



> un moniteur en visite au club dit à ma monitrice en parlant de mon cheval :
- c'est quoi ce cheval? (d'un ton interessé)
- oh, rien, un trotteur


Sujet déplacé - 
Modérateur : bianca_jones

Tartine88

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Reflexions les plus "pourries" du monde du cheval
Posté le 15/12/2022 à 18h19

kiran


Citation :
"les animaux ne sont pas un loisir" peuvent être violentes. Car certe vous ne vivez pas dans l'opulence mais être proprio d'un animal (meme d'un chien!) reste un luxe et non un besoin vital.


Personne n'a eu ce propos.


Citation :
en fait j'ai plus l'impression que tu as un problème avec le mot "riche".


Aucun. Simplement, pour moi, être "riche", c'est ne pas avoir de problèmes d'argent ni avoir besoin de calculer. C'est tout. Et c'est possible que je me trompe hein


Citation :
"je suis pas riche!"


Alors ok, je reformule : Je suis probablement très riche, mais en aucun cas je n'en ressens la sensation.

Okapi_ou

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Posté le 15/12/2022 à 18h22

Personnellement je pense qu'il faut aussi faire la distinction entre riche et classe moyenne. La plupart des propriétaires de chevaux appartiennent a cette dernière.

Missmarie

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Posté le 15/12/2022 à 18h29

atom Ah mais complètement ! Et en plus on est dans un pays qui donne l'accès quasi gratuit aux humains sur tout ce qui est relatif à la santé, donc avoir un enfant ne coûte "pas si cher".

okapi_ou L'une des définition d'être riche, c'est être en possession d'objets luxueux. Un objet luxueux c'est un objet coûtant cher dont l'usage est considéré comme superflu. Par définition strictement littérale, un propriétaire d'animal et plus particulièrement d'un gros animal est riche par défaut. On peut être "riche" en étant de classe moyenne, encore une fois. Une personne de classe moyenne (moi par exemple), n'ayant pas de cheval mais ayant un se-up gaming de + de 6000€ de valeur totale est par définition strictement littérale riche. C'est pas une insulte, c'est juste un fait, effectivement amené par des choix personnels. On dit souvent qu'on ne naît pas riche, on le devient, ben en s'engageant sur l'entretient d'un cheval et selon la définition de riche et de luxe, c'est particulièrement vrai ^^

Parce qu'effectivement, y'a pas : pauvres / classe moyenne / riches. Ce serait trop facile sinon. On est tous le riche de quelqu'un, encore une fois, et ce dès qu'on peut se permettre des choses auxquels les autres n'ont pas accès aussi facilement que nous. C'est tout. :)

Édité par missmarie le 15-12-2022 à 18h31



Tam89

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Posté le 15/12/2022 à 18h42

L'équitation fait partie des sports qui coutent le plus cher, vers chez moi une année dans un club de foot c'est 80 euros, 1 trimestre à cheval 400 ... et si on veut sortir en concours n'en parlons pas, et là je ne parle même pas d'être propriétaire.

Donc oui l'équitation est un sport "de riche", parce que comme plusieurs l'ont déjà dit, tout le monde ne peut pas se le permettre.

Et en plus quand on dit qu'on a un cheval, les gens en face souvent ne connaissent pas le prix d'un cheval ils s'imaginent vite que tous les chevaux coutent un bras, et que tous les chevaux sont en pension dans un centre équestre.

Alors oui quand on a les chevaux à la maison ça coute bien moins cher d'avoir un cheval, mais quand on les a en pension dans une écurie avec installation, qu'on prend des cours etc ça chiffre vite, et que oui il faut avoir des sous pour ça.

Marlin

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Posté le 15/12/2022 à 18h56

Effectivement si l'on peut se considérer plus chanceux et plus aisés que certaines personnes, pour moi la définition de riche implique que l'on ne se prive de rien et que l'on peut dépenser sans se serrer la ceinture, sans compter quoi.

Se qui est sûr par contre c'est que l'on ne devient pas riche en étant propriétaire

Édité par marlin le 15-12-2022 à 18h58



Tam89

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Posté le 15/12/2022 à 19h02

marlin

Mais pour des gens qui se serrent la ceinture alors qu'ils n'ont pas de cheval et pas de loisir, les proprios de chevaux même si ils se serrent aussi la ceinture sont riches.

Quand j'étais gamine et ado je montais en club je faisais des concours, mes parents se seraient grave la ceinture pour pouvoir me payer tout ça, et je ne nous ai jamais considéré comme des riches, à côté de sa j'avais des copains de mon age, qui ne faisaient aucun sport, parce que les parents qui se serraient la ceinture n'avaient pas les moyens de leur payer 100 balles de cotisations dans un club et pas les moyens de les emmener régulièrement, et pour eux je pense que mes parents étaient riches.

Mes 2 chevaux sont morts, je n'ai donc plus que mes 2 poneys, et monter me manque à un point !
Quand les gens me demandent pourquoi je ne rachète pas de cheval ou que je ne monte pas en club, je leur réponds "parce que je ne suis pas riche" ...

Édité par tam89 le 15-12-2022 à 19h06



Tartine88

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Posté le 15/12/2022 à 19h28

A la différence par exemple que je n’aurais absolument pas les moyens financiers de payer une pension ou des cours ou des concours ni même du matériel. Acheter un tapis de selle à l’heure actuelle ce serait du superflu ++ qui me foutrait dans une merde noire.

On est toujours le riche de quelqu’un d’autre de toute manière

Tam89

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Posté le 15/12/2022 à 19h47

Et puis la réflexion de base c'était "on a eu des problèmes d'argent on a failli vendre mon cheval"

Si les gens se font cette réflexion c'est que le cheval vaut une certaine somme et que son entretien a un certain coût, les 2 assez élevés pour remettre les comptes à flot.

Je suis souvent dans le rouge, et à une époque j'ai souvent entendu bah oui mais t'as des chevaux. Donc j'avais pensais aux économie que je ferais si je les vendais, ma jument ne valait clairement "rien", le prix de la boucherie comme on dit, et elle était chez moi donc à part me couter le foin et les granulés elle ne me coutais pas grand chose.
Donc je n'aurai pas gagné grand chose en m'en séparant.

En revanche un copain s'est retrouvé en galère, il avait une jument à 20 000 euros, et une pension à 800 euros par mois, là effectivement la vendre lui aurait fait le plus grand bien.

Édité par tam89 le 15-12-2022 à 19h50



Tartine88

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Posté le 15/12/2022 à 19h50

tam89 idem. Je suis riche d’avoir des chevaux mais ne valent même pas le prix de la boucherie donc je n’ai aucune valeur « de riche » là dedans ...

Par contre oui quand t’as un cheval avec 5 chiffres là, pour le coup, c’est autre chose

Girly61

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Posté le 15/12/2022 à 21h49

Ce qu’il faut prendre en compte aussi, c’est ce à quoi on est habitué. Quelque soit le salaire, s’il faut faire des concessions ce sera dur. Qu’on gagne 1000€ par mois ou 4000€, si on a l’habitude de tout dépenser, quand tout augmente il faut forcément couper sur quelque chose, et ce sera dur à vivre. La différence, c’est que celui à 4000€ coupera sur ses loisirs là où celui à 1000€ coupera sur l’essentiel, donc évidemment qu’il y a un qui est mieux lotti que l’autre. Mais devoir réduire ses loisirs de force, ça reste un gros impact psychologique, parce que peut être que le loisir en question permettait de compenser un travail qui engendre beaucoup de stress (généralement le cas pour ce genre de salaire, faut pas se leurer à penser que ça vient tout seul). Et on en revient à quelque chose qui me chiffonne beaucoup : la hiérarchisation de la souffrance psychologique, le fameux « mais tu sais y a bien pire que toi ». On n’est pas moins légitime à souffrir psychologiquement de l’augmentation du coût de la vie si on gagne 4000€. Voir même, le choc peut être encore plus dur pour celui qui n’a pas l’habitude de se priver et se retrouve d’un coup à compter chaque €, que pour celui qui s’est privé toute sa vie et doit rogner encore un peu plus. Tout comme certains vont vivre des événements terribles sans que ça ne les affecte vraiment, et d’autres vont s’effondrer pour un truc qui parait insignifiant : ben personne n’est légitime à dire que le second n’a pas le droit de se sentir mal parce que le premier l’a bien pire. La souffrance, surtout psychologique, c’est très relatif.

En école d’ingé, j’avais un pote qui me rabachait « de quoi tu te plains, t’as des bonnes notes sans travailler ». Lui avait une petite amie, plein de potes, de supers relations avec ses parents, des loisirs qu’il adorait, une idée de ce qu’il voulait faire dans sa vie. Mais comme j’avais « des bonnes notes sans travailler », je n’avais selon lui pas le droit de souffrir. Et je ne dis pas que lui n’avait pas du tout le droit de souffrir de son « échec scolaire » hein ! Qui lui a finalement mieux réussi que s’il avait validé son année soit dit en passant, mais bon ça ne change rien. PERSONNE n’a le droit de dire que la souffrance d’un tel n’est pas légitime parce qu’il a ci ou ça de plus que les autres.

Oui, on a de la chance d’avoir un toit, à manger, de ne pas avoir à marcher 20km pour aller chercher de l’eau au puits. Mais en tant qu’occidentaux, on est nés avec ces privilèges. On en a l’habitude, tout comme on s’est habitué à nos loisirs et autres formes de confort. Et on a parfaitement le droit de souffrir quand on doit réduire ce confort. Là où je suis d’accord avec [pardon je ne sais plus qui c’était], c’est qu’il faut choisir un minimum à qui on en parle. Même si, ceci dit, un vrai ami devrait être capable de comprendre même si lui vit pire. Au contraire d’ailleurs, parce qu’on vit pire, on peut comprendre encore mieux ce que ressent l’autre. J’ai eu des périodes à faire des crises suicidaires quasi tous les soirs, et j’avais à côté de ça des potes qui avaient un coup de mou parce qu’ils ont eu une mauvaise note. Est ce que je leur riais au nez ? Ben non, j’étais compréhensive, je leur proposais de faire un truc pour se changer les idées etc, parce que je sais ce que c’est de souffrir, et ne pas être comprise et soutenue. Et je ne le souhaite à personne.

Je connais moins le sujet des problèmes d’argent grâce à mes parents, mais je ne trouve pas ça légitime non plus de hiérarchiser la souffrance. Pourquoi toujours se taper dessus, se considérer plus mal que le voisin et plus légitime de souffrir ? Pourquoi ne pas juste considérer que c’est un temps difficile pour tout le monde, que les « pauvres », les « moyens » et les « riches » souffrent tous et qu’on ferait mieux de s’entraider et se soutenir indépendemment de nos salaires ?

Levana613

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Posté le 16/12/2022 à 00h07

girly61 Je trouve que tu conclus très bien la chose, et tu as une belle façon de t'exprimer qui plus est.

Ca me fait penser à un exemple qui me fait vraiment de la peine. L'amie d'une amie, qui, de base à une situation vraiment très aisée, dont des chevaux qui valent des prix à 6 chiffres, oui, 6 en euros. Et bien actuellement, elle est plutôt en galère financière et ses 5 chevaux elle ne les a plus pour le moment. Je n'ai pas les détails des explications, mais ca reste un choc d'imaginer de les perdre du jour au lendemain.
Beaucoup ne savent pas que plus tu as de l'argent, généralement ca signifie que tu as des investissements, des placements, mais quand ca se casse la gueule, tu peux tout perdre du jour au lendemain. Combien de millionaires se sont déjà retrouvés à la rue.. une épreuve reste une épreuve, peu importe la situation financière de base et on ne connait pas non plus la vraie vie des gens pour pouvoir s'en donner un avis.

Tam89

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Posté le 16/12/2022 à 06h45

girly61

En même temps personne n'a parler de hierarchisé la souffrance de privation de loisir on parlait de ce qu'était "être riche".

Et désolée mais ce passage pour moi est juste ultra choquant.

girly61 a écrit le 15/12/2022 à 21h49:

On n’est pas moins légitime à souffrir psychologiquement de l’augmentation du coût de la vie si on gagne 4000€. Voir même, le choc peut être encore plus dur pour celui qui n’a pas l’habitude de se priver et se retrouve d’un coup à compter chaque €, que pour celui qui s’est privé toute sa vie et doit rogner encore un peu plus.


Bah oui le choc est ultra violent pour qqun qui gagne 4 000 euros et est obligé de passer la pension travail à 1 500 euros de son cheval à une simple pension à 800 euros, comparé à la personne qui gagne un smic qui est obligé de choisir si il mange à sa fin ou si elle paye son chauffage.

Franchement je ne voudrais pas être à la place de la pauvre personne qui doit changer la pension de son cheval, ça doit être terrible effectivement.

Tu ne dois pas savoir ce que c'est que de vivre avec "rien" pour dire de telles choses.

Édité par tam89 le 16-12-2022 à 06h55



Tartine88

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Posté le 16/12/2022 à 07h15

tam89
Oui j’ai trouvé son passage un peu raide aussi même si j’ai compris ce qu’elle voulait dire.

Après tout le monde souffre bien entendu. Évidemment que la vie n’est pas forcément plus lisse pour quelqu’un qui gagne 4000€/mois que quelqu’un qui gagne 1000€ mais comme quelqu’un l’avait très bien dit : c’est un choix personnel de gestion financière. Ça n’enlève en rien que la personne a, quand même, 3000€ de plus pour vivre que celle qui gagne 1000€

Après la discussion était surtout autour du « être riche ». A 4000€/mois, on est aisé. On vit plutôt l’esprit serein et en général on sait qu’on aura à manger, à boire, chaud et qu’on pourra aller bosser en voiture jusqu’à la fin du mois sans grand problème. Mais pas riche.

A 1 000€, on reste de mon point de vu, dans la tranche pauvre. Vivre avec 1000€, je l’ai fait, je pourrais plus le faire aujourd’hui sans faire des insomnies. Et pourtant je gagne pas énormément plus mais ça fait la différence. Avec ça t’es pas sûr de bouffer ou de payer toutes tes factures au moment où elles tombent.

Et dire que le riche a le droit de souffrir autant que le pauvre parce que son argent n’arrive pas comme ça dans sa poche ... bah c’est comme le pauvre en fait. Le pauvre aussi il fait un boulot difficile, souvent à 40h/semaine, avec des horaires bidons, mais lui il gagne pas assez pour vivre. Quid de la souffrance psycho à ce moment là ? J’en amoindris personne, mais faut pas tout tout mettre a égal non plus.

Indji

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Posté le 16/12/2022 à 07h54


tartine88 a écrit le 16/12/2022 à 07h15:
Évidemment que la vie n’est pas forcément plus lisse pour quelqu’un qui gagne 4000€/mois que quelqu’un qui gagne 1000€ mais comme quelqu’un l’avait très bien dit : c’est un choix personnel de gestion financière.


D'accord avec le reste du message, mais je ne comprend pas cette phrase: gagner 1 000 euros par mois plutôt que 4000 serait un choix de la personne? Ou le résultat de plusieurs facteurs dont la chance de naître dans la bonne famille. Les pauvres sont nés dans une famille pauvre à une écrasante majorité.

Tartine88

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Posté le 16/12/2022 à 08h09

indji non tu n’as pas compris : quelqu’un qui gagne 4000€ mais qui n’arrive pas à finir le mois, c’est de la gestion financière pure. C’est pas un problème de pauvreté

Tout comme quelqu’un qui gagne 1000€ et vit très bien. C’est de la gestion financière, pas de la chance.



Édit : d’ailleurs en écrivant ça je me rappelle d’une chose. Je suis celle au travail qui gagne le moins de l’équipe. Pas de prime, pas d’échelon.
Alors que mes collègues gagnent plus que moi, elles vivent en appartement et n’ont pas de chevaux. Au pire juste un chat.
Non, en ayant un cheval, je ne me sens pas plus riche ! J’ai priorisé et j’ai fait des choix. Ok j’ai deux chevaux à la maison, mais je reste la plus pauvre financièrement de toute mon équipe. Alors, est ce que je suis vraiment riche d’avoir un cheval quand bien même je sois celle qui gagne le moins ??

Édité par tartine88 le 16-12-2022 à 08h12



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