| |  |  |  | | On ne peut être pas parler de dominance à proprement parler, mais comment on peut appeler ça alors ? Parce qu'on est quand même dans une sorte de hiérarchie. 
 Quelque soit la relation et les activités que l'on puissent avoir avec son cheval c'est bien le cavalier/propriétaire qui décide. Le cheval il n'en a pas grand chose à faire du vermifuge par exemple, on lui impose, pour son bien mais on lui impose.
 Comme quand on part en balade par exemple, c'est quand même le cavalier qui décide où l'on va. Idem pour un parcours d'obstacle, une reprise de dressage...
 | 
 | 
 | 
Heureusement pour nous, le cheval est un animal social. Ce qui lui permet d'accepter beaucoup de notre part sans que nous soyons "en position de force". 
Quand ton cheval te fais confiance, tu lui tiens on va là, il le fais. Tu n'a eu recours à aucune "autorité". 
Comme dans toute éducation; tu proposes et l'autre dispose. Il faut que la relation soit intéressante avec le cheval. 
Pour reprendre ton exemple; est-ce qu'à l'état sauvage; un cheval donne un traitement au membre du roupe qui est malade??? Sous prétexte qu'il est dominant???
Pour moi la confusion vient du fait qu'on met sur un même pied d'égalité une espèce; le cheval et une autre; l'home. C'est l'exemple de la différence entre dominant et prédateur. Supposé chez le cheval nos fonctionnements est tout aussi erronné que l'inverse; transposé chez nous le fonctionnement du cheval.
Est-ce que tu te bats avec ton cheval pour avoir accès en premier à la nourriture? Alors comment le cheval perçevrait-il selon toi un congénère qui ne broute jamais, ne mange quasiment jamais, ne bois jamais... Tu vois bien qu'on ne peut pas confondre nos fonctionnements. Tout comme on ne peut pas dire; le cheval se venge. C'est du même ordre.