Equitation et amour du cheval = compatible ?

skingirl a écrit le 28/01/2012 à 19h02: Tu as cherché la petite bête ! Edit : y'en a deux non ?

pas la petite bête non...le réflection m'a sauté aux yeux en fait

hul, bref passons, je suis comme toi, la cravache ne me sert pas, mais mes chevaux sont très respectueux.
Le stick me sers que pour indiqué a mon étalon certains tour ( taper du pied, où je touche son pied avec le stick. )

skingirl a écrit le 28/01/2012 à 19h08: Ceci n'est pas une faute mais une contraction du verbe contracter. Tout comme en anglais I am et I'm

En Anglais ça me dérange pas, mais en français ça me "hérisse le poil" ... J'ai horreur de ça ...

plume29 a écrit le 28/01/2012 à 19h11: pas la petite bête non...le réflection m'a sauté aux yeux en fait hul, bref passons, je suis comme toi, la cravache ne me sert pas, mais mes chevaux sont très respectueux. Le stick me sers que pour indiqué a mon étalon certains tour ( taper du pied, où je touche son pied avec le stick. )

Y en avait deux en fait, une grosse d'orthographe, et une de conjugaison (plus d'inattention si je peux me permettre).
Maintenant mon texte est clean je crois !


Pour ce qui est des aides artificielles, personnellement, je n'utilise pas de cravache, pas de chambrière en longe, pas d'éperons. Je trouve qu'il n'en a pas besoin, tout simplement, je dirais même qu'il a un peu peur de la chambrière et de la cravache, et pour les éperons, je mets déjà très peu de jambes, alors les éperons, je n'ose même pas imaginer comment serait la bête avec

Je pars du principe qu'avant toute chose, le plus important est de rechercher le mode de vie le plus confortable et agréable pour son cheval, celui qui correspond le plus à ses besoins naturels (Marcher et mâcher toute la journée, vivre avec d'autre chevaux, instaurer des codes sociaux, etc...) : j'entends par cela, trouver une pension qui corresponde réellement, et au priorité aux besoin du cheval, AVANT de correspondre à nos attentes personnelles (Un manège, une possibilité de sortir en concours, un mono sur place, par exemple).

Et une fois qu'on a trouvé l'écurie idéale pour son cheval, et bien on s'adapte en fonction de ce que cette écurie nous offre à nous. Pour ma part, j'ai trouvé l'écurie idéale pour mon cheval... Mais j'ai plus de carrière (Construction en février), donc arrêt du travail depuis 7 mois, et balades en attendant. Ma vision : c'est à nous d'adapter notre passion au mode de vie de notre cheval, et pas au cheval d'adapter son mode de vie en fonction de notre passion...).

Je crois que c'est la base du respect, et qu'à partir de là on peut prétendre aimer PROFONDÉMENT son cheval.

Pour ce qui est du travail, c'est un peu le même principe... Un cavalier qui bourrine dans son cheval parce qu'IL veut faire tel exo parfaitement, sera à mes yeux bien moins respectable et aimant envers son cheval (Moins bon cavalier aussi à l'occasion), qu'un cavalier qui cherchera à apprendre à son cheval en le faisant réellement participer, en recherchant sa curiosité, en lui donnant envie par des exercices ludiques par exemple (Ce qui je le conçois n'est pas évident avec tous les chevaux... J'ai la chance d'avoir un poney très joueur). Le but je pense, n'est pas de s'acharner, mais de comprendre la raison d'un blocage (Physique, ou psychologique), puis de le résoudre en faisant comprendre à son cheval que ça ne lui fera aucun mal, voir même, qu'il peut se prendre au jeu. Le tout reste encore de savoir les éveiller !!

A partir de là... Le travail sera une contraindre sacrément amoindrie pour vos chevaux.

Bref... Je crois qu'aimer son cheval c'est un tout : ne pas faire passer ses ambitions avant ses besoins, adapter son travail de manière à ce que ça puisse lui plaire, savoir se dire "Stop" à soit même et passer éventuellement à côté de ses objectifs si notre cheval ne nous suit pas.

lamborghini a écrit le 28/01/2012 à 19h12: En Anglais ça me dérange pas, mais en français ça me "hérisse le poil" ... J'ai horreur de ça ...

Ce n'est par ce que tu en as horreur que c'est une faute

Plume, idem le stick c'est pour indiquer une action, il effleure juste le cheval.

venice a écrit le 28/01/2012 à 19h16: Je pars du principe qu'avant toute chose, le plus important est de rechercher le mode de vie le plus confortable et agréable pour son cheval, celui qui correspond le plus à ses besoins naturels (Marcher et mâcher toute la journée, vivre avec d'autre chevaux, instaurer des codes sociaux, etc...) : j'entends par cela, trouver une pension qui corresponde réellement, et au priorité aux besoin du cheval, AVANT de correspondre à nos attentes personnelles (Un manège, une possibilité de sortir en concours, un mono sur place, par exemple). Et une fois qu'on a trouvé l'écurie idéale pour son cheval, et bien on s'adapte en fonction de ce que cette écurie nous offre à nous. Pour ma part, j'ai trouvé l'écurie idéale pour mon cheval... Mais j'ai plus de carrière (Construction en février), donc arrêt du travail depuis 7 mois, et balades en attendant. Ma vision : c'est à nous d'adapter notre passion au mode de vie de notre cheval, et pas au cheval d'adapter son mode de vie en fonction de notre passion...). Je crois que c'est la base du respect, et qu'à partir de là on peut prétendre aimer PROFONDÉMENT son cheval. Pour ce qui est du travail, c'est un peu le même principe... Un cavalier qui bourrine dans son cheval parce qu'IL veut faire tel exo parfaitement, sera à mes yeux bien moins respectable et aimant envers son cheval (Moins bon cavalier aussi à l'occasion), qu'un cavalier qui cherchera à apprendre à son cheval en le faisant réellement participer, en recherchant sa curiosité, en lui donnant envie par des exercices ludiques par exemple (Ce qui je le conçois n'est pas évident avec tous les chevaux... J'ai la chance d'avoir un poney très joueur). Le but je pense, n'est pas de s'acharner, mais de comprendre la raison d'un blocage (Physique, ou psychologique), puis de le résoudre en faisant comprendre à son cheval que ça ne lui fera aucun mal, voir même, qu'il peut se prendre au jeu. Le tout reste encore de savoir les éveiller !! A partir de là... Le travail sera une contraindre sacrément amoindrie pour vos chevaux. Bref... Je crois qu'aimer son cheval c'est un tout : ne pas faire passer ses ambitions avant ses besoins, adapter son travail de manière à ce que ça puisse lui plaire, savoir se dire "Stop" à soit même et passer éventuellement à côté de ses objectifs si notre cheval ne nous suit pas.

Je suis entièrement d'accord.
Pour les conditions de vie, j'ai tout mis en œuvre pour offrir les meilleurs conditions possible a mon étalon.
CAD au pré, avec au moins 1 jument.

lamborghini a écrit le 28/01/2012 à 18h36: Allelluia ! Un post sans fautes d'orthographe ...

Je me demande quand me^me si la formulation " ne dressait plus " est acceptable , mais bon, revenons à nos moutons ...

Que veux dire " aimer "? qu' est-ce que l' amour ?

N' est-ce pas un instinct dissimulé, apprivoisé?

Instinct de possession = je t' aimes donc j' ai tous les droits !

Souvent le cheval qui ne passe pas de l' autre coté à mal été conduit, ce n' est pas sa faute , mais celle du cavalier, qui vous dit qu' il n' aime pas ça, bien que dans la nature les chevaux préfèrent contourner que sauter.

De nos jours, si nous ne les considérions pas comme des compagnons de jeux, est-ce qu' ils existeraient encore?

despina a écrit le 28/01/2012 à 19h16: Y en avait deux en fait, une grosse d'orthographe, et une de conjugaison (plus d'inattention si je peux me permettre). Maintenant mon texte est clean je crois ! Pour ce qui est des aides artificielles, personnellement, je n'utilise pas de cravache, pas de chambrière en longe, pas d'éperons. Je trouve qu'il n'en a pas besoin, tout simplement, je dirais même qu'il a un peu peur de la chambrière et de la cravache, et pour les éperons, je mets déjà très peu de jambes, alors les éperons, je n'ose même pas imaginer comment serait la bête avec

Pour la chambrière je l'utilise quand je longe, juste pour la direction (ou plutôt pour changer d'allure, en associant la voix).

Si ton cheval en a peur, il faut le désensibiliser

eija63 a écrit le 28/01/2012 à 19h09: Certains jours, ma petite-fille ne veut pas aller à l'école... Et on l'y met quand même. Elle a 4 ans, elle va à la maternelle. On n'aurait pas idée de la mettre en CM2. Elle ne sait pas toujours ce qui est bon pour elle mais nous on le sait ! C'est la même chose avec les chevaux. Ils ne peuvent pas deviner qu'ils seront plus souples, et mieux dans leur corps avec quelques séances de plat. Et personne ne peut AFFIRMER qu'un cheval qui passe sa vie dans un pré à rien faire est totalement heureux. Parfois il y a des congénères qu'il n'a pas envie de voir 24h/24. Quand je rentre dans le parc avec un licol, ils veulent tous être pris et sont heureux d'aller randonner. Si vraiment ça les gonflait d'être montés, je ne pourrais pas les attraper.

Personne n'a repris ta perception de la chose, et pourtant c'est un très bon exemple que tu donnes!

le cheval nous écoute car c'est un animal à la base ' soumis ' qui a besoin d'un chef pour survivre, voila pourquoi il est assez simple de tout apprendre à un cheval.

voila pourquoi il écoute tous ce qu'on lui apprend...
ensuite ya des façon de faire qui stimule le cheval et donc celui-ci veux apprendre plus vite ou du moins sa peux etre l'impression qu'il donne..

Moi j'aime les chevaux avant l"équitation (je suis cavalière de loisir, surtout rando) j'ai toujours été en club mais depuis que j'ai mon propre cheval qui est chez mon copain, je me dis putain mes les chevaux en club tourner en rond sa dois les ennuyer...

ou un cheval qui saute saute c'est pas si naturel que ça...

Moi j'ai opté balade je pense en plus que c'est vraiment naturel, galopé en 'liberté " voir de nouveaux chemins...que d'être dans une carrière...

dans une réponse : je t'aime , j'ai tout les droits ( je n'ai pas dit que l'auteur l'applique , il cite )

alors la dans ce cas , il n'y plus du tout de complicité , ni de sentiments

j'espere ne jamais appliquer cela

rirou27 a écrit le 28/01/2012 à 19h32: Personne n'a repris ta perception de la chose, et pourtant c'est un très bon exemple que tu donnes!

Sa petite fille est un " humain ", qu' il est normal qu' un autre humain prépare ç une vie d' humain, c' est un devoir, pas un jeu comme avec les chevaux qui sont d' un " autre genre "

Je pense que l' auteur du sujet voudrait qu' on ne s' acharne pas sur éperons ou lucène, mais qu' on élève le débat, qu' est-ce que l' amour et l' amour donne-t-il des droits?

Pour certaines fautes je me suis inventé un mot = des fautes d' orthofrappe !!! souvent c' est l' envie de participer, de faire avancer le sujet qui nous amène à ne pas relire ce que nous avons tapé avec deux doigts.

Pour moi amour ne veut pas dire avoir tout les droits.
Amour, rime avec respect et écoute mutuelle.
Dans ces conditions là, tu ne peut pas avoir tout les droit, car tu respecte l'autre ( aussi bien avec un homme que avec un animal, même si l'amour sera différents)

felicia.t a écrit le 28/01/2012 à 19h40: le cheval nous écoute car c'est un animal à la base ' soumis ' qui a besoin d'un chef pour survivre, voila pourquoi il est assez simple de tout apprendre à un cheval. voila pourquoi il écoute tous ce qu'on lui apprend... ensuite ya des façon de faire qui stimule le cheval et donc celui-ci veux apprendre plus vite ou du moins sa peux etre l'impression qu'il donne.. Moi j'aime les chevaux avant l"équitation (je suis cavalière de loisir, surtout rando) j'ai toujours été en club mais depuis que j'ai mon propre cheval qui est chez mon copain, je me dis putain mes les chevaux en club tourner en rond sa dois les ennuyer... ou un cheval qui saute saute c'est pas si naturel que ça... Moi j'ai opté balade je pense en plus que c'est vraiment naturel, galopé en 'liberté " voir de nouveaux chemins...que d'être dans une carrière...

Je prend un coup avec les verbes sensés être à l'infinitif qui sont tranformés en participes passés ...