Equitation et amour du cheval = compatible ?

l'amour ne donne aucun droit vis à vis d'un équidé , juste le droit de lui donner une belle vie de cheval , et cala commence par son bien-etre , avant meme de parler de le monter

lamborghini a écrit le 28/01/2012 à 19h52: Je prend un coup avec les verbes sensés être à l'infinitif qui sont tranformés en participes passés ...

tampi pour toi !
surtout que j'écris très vite & que je suis très bonne en ortho, comme quoi on peux pas juger à travers un écran ;)

felicia.t a écrit le 28/01/2012 à 19h57: tampi pour toi ! surtout que j'écris très vite & que je suis très bonne en ortho, comme quoi on peux pas juger à travers un écran ;)

Mais je n'ai pas jugé !

Bon pour le sujet je ne force jamais mes loulous, on part le plus souvent en balade, ma soeur saute de temps en temps, dressouille parce qu'il ne faut pas oublier les "bases" et on fait un peu d'attelage parce que mon loulou adore ça. Seulement pour mon welsh.

Ce qu'ils ne comprennent pas ou ne veulent pas faire, je ne force pas, mais pour ne pas rester sur un échec, je leurs fais faire un exercice acquis et refait faire l'exercice la séance suivante abordé d'une autre manière.

Pour les aides artificielle, jamais de cravaches sauf en saut ou ma soeur la prend avec elle, mais je ne l'ai jamais vu sans servir c'est juste pour encadrer le loulou..
Jamais d'éperons, je détestes sa. Je n'utilises que la chambrière quand je longes les premières minutes pour les mettre dans le bain. Mais ils sont travaillé qu'a la voix.
Mais par contre, je débourre en ce moment 2 loulous (un frison et un shetland..) je les désensibilises bien sur a la chambrière et cravache puisque ce ne sont pas les miens et que la proprio est ensuite libre de faire ce qu'elle veut.

Mon fjord que j'ai récupéré dans mon ancien club était toujours monté rênes très très courtes, muserolle croisée, éperons ET cravaches par des débutants, quand il est arrivé chez moi et qu'on a tout enlevé j'ai trouvé un tout autre cheval, bien plus calme, gentil, concentré dans le travail.

Bref voila, j'ai du un peu m'éloignée du post d'origine non?

lamborghini a écrit le 28/01/2012 à 19h59: Mais je n'ai pas jugé !

ouais mais les réfléxions comme ça on peux s'en passer, sa serre strictement a rien ! sauf à lancer des piques..

Les parents font bien faire des choses à leurs enfants même s'ils n'aiment pas.
Donc les chevaux c'est pareil que l'école, avec beaucoup moin de cours...

plume29 a écrit le 28/01/2012 à 19h49: Pour moi amour ne veut pas dire avoir tout les droits. Amour, rime avec respect et écoute mutuelle. Dans ces conditions là, tu ne peut pas avoir tout les droit, car tu respecte l'autre ( aussi bien avec un homme que avec un animal, même si l'amour sera différents)

L'amour c'est le respect.
Employer un cheval sans jamais lui laisser sa vie de cheval, liberté dans un pré, vie sociale avec un congénère ou une chèvre ou un mouton en tout cas un ou des amis, ce n'est pas l'aimer.
à l'époque où les chevaux travaillaient aux cotés des hommes dans les mines de charbon, ils étaient privés de leur vie de cheval. ils ne ressortaient de la mine que morts.
Pourtant les mineurs qui partageaient leur quotidien les aimaient et les considéraient comme des partenaires de travail. ils en prenaient grand soin.
Evidemment ce n'étaient pas les mineurs qui décidaient de l'emploi du temps, de l'avenir et de la "retraite" éventuelle des chevaux.
Quand on a la chance de pouvoir décider pour son cheval, il faut essayer de respecter sa nature tout en l'employant.
Pour ça, je le répète, il faut connaître les chevaux et savoir les employer.
Nuno Oliveira n'a jamais voulu qu'on lui offre des chevaux de grande valeur.
Son plaisir était de prendre n'importe quel cheval et de faire évoluer ce cheval au mieux de ses possibilités.
Je pense que ce cavalier AIMAIT réellement les chevaux.
Ce qui le désolait c'était de voir des cavaliers "gâcher" des chevaux par ignorance et surtout incompétence.

pour prendre mon exemple perso: je pense aimer ma jument oui, vraiment beaucoup même... on est très liées, c'est pas facile à expliquer mais à la monte je la ressens plus que n'importe quoi d'autre... vous savez un peu comme si j'arrivais à prévoir ses idées plutôt que de le sentir dans les mains ou quoi...
mais pourtant je la monte, on bosse fort même.
Nouba est une jument très intelligente (je dis pas ça parce-que c'est la mienne hein!) qui a besoin de contact... elle vit principalement au pré avec un copain, sauf en hiver (très sensible à l'humidité...je suis obligée de la rentrer sinon j'ai droit aux bronchites à répétition...)
Je peux dire qu'elle est "contente" qu'on la sorte, elle s'investit, progresse vite...
Il y a des fois où je dois aussi lui dire "non maintenant c'est comme moi je veux" par exemple aujourd'hui où elle a voulu à tout prix dépasser les autres quitte à se cabrer etc, je ne pouvais pas la laisser faire, ne connaissant pas le chemin... en général on "deale" entre nous, genre "je te demande une épaule en dedans, après tu peux galoper fort vu que tu aimes ça, comme ça ça te vide la tête et moi je suis contente" mais là impossible...
Un cheval peut éprouver un certain bien-être en sortant au boulot, comme en témoigne certains retraités qui dépérissent quand ils ne peuvent plus suivre les autres... à condition de les respecter!
Un type a dit "quand vous descendez de cheval, regardez-le dans les yeux et demandez-vous si vous avez fait au mieux pour lui", je suis persuadée que de l'avoir obligée à se remettre sur ses 4 jambes et rester derrière le cheval de tête a été au mieux pour elle... par principe de sécurité avant tout... une jument dominante ne permet pas non plus à un autre de prendre trop d'initiatives, nous avons à être ces juments dans certains cas.
Evidemment, il est hors de question d'insister et de taper dessus si vraiment y'a un truc qui coince, mais quand elle sait et que physiquement elle peut, ce n'est pas une perte d'amour que de la pousser... un cheval ne ressent pas l'amour comme nous, un compagnon de pré peut s'avérer "utile" en "exigeant" quelque-chose d'un autre cheval...
On aime pas moins ses enfants quand on les gronde pour une bêtise, non?

edit: je précise par "pousser" que j'utilise principalement la voix, et plus rarement les jambes... je monte sans éperons ni cravache (aucun besoin)

lamborghini a écrit le 28/01/2012 à 18h41: Non, mais si il ne répond pas à la jambe, c'est bien ce qui arrive ...

Chez toi, peut être.
Chez moi, si mon cheval ne répond pas à la jambe, c'est qu'il tente de me dire quelque chose, alors je tente de comprendre quoi, et je lui réponds.
Monter à cheval est un dialogue dans les deux sens, pas un monologue.

lamborghini a écrit le 28/01/2012 à 18h55: Jamais de cravache ? Je pense qu'une utilisation abusive, ou pour rien ( quand je vois des gens qui mettent un coup de cravache pour partir au galop alors qu'ils n'ont pas placé leurs aides ... ) c'est mauvais mais défois c'est quand meme nécessaire. On peux etre doux et gentil, même respectueux, sans pour autant ne jamais donné de coup de cravache. C'est comme les enfants à qui on laisse tout faire, et qui se retrouve bourrés, à fumer un join dans la rue, avant d'aller en cours, qu'ils sechent ... Enfin je dis pas que c'est la majorité mais ...

La cravache n'est pas, et ne sera jamais une obligation, mais est une facilité pour le cavalier, c'est tout.
Mon cheval, mes chevaux, n'ont jamais connu ni éperon ni cravache avec moi, et pourtant... ils sont toujours volontaires dans le travail, parce qu'ils savent que je les écoute, que je prends en compte ce qu'ils me disent, et que je fais de mon mieux pour répondre à leurs hésitations, et y répondre dans LEUR sens, pas dans le mien.
Si toi, tu es obligé d'avoir quelques fois recours à la cravache, c'est que tu as quelque part un problème de communication et de compréhension avec ton cheval.

skingirl a écrit le 28/01/2012 à 18h57: Ce n'est pas parce que je n'utilise pas de cravache que je laisse tout faire à mes chevaux, ils n'en ont pas besoin donc je ne vois pas l'utilité d'en prendre une

Parce que tu as simplement su trouver une autre manière de te faire respecter.
Pour reprendre ton exemple Lamborgini, c'est comme les enfants, pas besoin de cogner dessus pour être écouté et respecté, il suffit de soi même les respecter et les écouter, tout en restant ferme et juste dans nos demandes. Mais il faut être ferme et juste dans leur langage, et dans leur manière de se comporter, introduire de l'anthropomorphisme la dedans, ce serait la pire des idées...

eija63 a écrit le 28/01/2012 à 19h09: Si vraiment ça les gonflait d'être montés, je ne pourrais pas les attraper.

Lorsque mon cheval a mal quelque part, comme actuellement (sciatique aigue), sa manière pour me le faire comprendre, et ainsi ne pas travailler, est de refuser de se laisser attraper. Parce qu'il souffre, et ne veut pas souffrir plus sous la selle (il anticipe, hein, parce qu'il est évident que dans ce cas, lorsque je le prends au pré, c'est pour le soigner et le brosser, point, certainement pas pour le monter).
Par contre, lorsqu'il est bien, n'a mal nul part, etc, il est le premier à se mettre le nez dans le licol, et à vouloir sortir de son pré. Pourtant, il sait dans ces moments là que je vais lui mettre une selle sur le dos le plus souvent, et que nous allons partir en balade.

bref a écrit le 28/01/2012 à 19h53: l'amour ne donne aucun droit vis à vis d'un équidé , juste le droit de lui donner une belle vie de cheval , et cala commence par son bien-etre , avant meme de parler de le monter

La meilleure preuve d'amour, c'est de souhaiter le bonheur de l'être aimé avant le sien.
C'est pour cette raison que je renonce à monter (ok, au bout de 6 mois, je reconnais, ça commence à me manquer, mais tant pis, il passe avant mon petit plaisir perso) alors que le gros a une sciatique d'enfer.
C'est pour cette raison que l'on voit des proprios mettre leurs chevaux à la retraite à 6 ans pour X ou Y raisons médicales, et les garder chez eux, dans leur pré, quitte à ne plus pouvoir pratiquer l'équitation pour pouvoir leur offrir une belle vie digne chez eux.
C'est pour cette raison que des personnes attendent les 4, voir les 5 ans de leur poulain, avant de le débourrer.
C'est pour cette raison qu'on les laisse au pré toute l'année, en sachant qu'on aura X heures de pansage à chaque fois qu'on voudra monter.
C'est pour cette raison... qu'on en chie parfois pas mal^^

zizouille a écrit le 28/01/2012 à 20h43: Chez toi, peut être. Chez moi, si mon cheval ne répond pas à la jambe, c'est qu'il tente de me dire quelque chose, alors je tente de comprendre quoi, et je lui réponds. Monter à cheval est un dialogue dans les deux sens, pas un monologue. La cravache n'est pas, et ne sera jamais une obligation, mais est une facilité pour le cavalier, c'est tout. Mon cheval, mes chevaux, n'ont jamais connu ni éperon ni cravache avec moi, et pourtant... ils sont toujours volontaires dans le travail, parce qu'ils savent que je les écoute, que je prends en compte ce qu'ils me disent, et que je fais de mon mieux pour répondre à leurs hésitations, et y répondre dans LEUR sens, pas dans le mien. Si toi, tu es obligé d'avoir quelques fois recours à la cravache, c'est que tu as quelque part un problème de communication et de compréhension avec ton cheval. Parce que tu as simplement su trouver une autre manière de te faire respecter. Pour reprendre ton exemple Lamborgini, c'est comme les enfants, pas besoin de cogner dessus pour être écouté et respecté, il suffit de soi même les respecter et les écouter, tout en restant ferme et juste dans nos demandes. Mais il faut être ferme et juste dans leur langage, et dans leur manière de se comporter, introduire de l'anthropomorphisme la dedans, ce serait la pire des idées... Lorsque mon cheval a mal quelque part, comme actuellement (sciatique aigue), sa manière pour me le faire comprendre, et ainsi ne pas travailler, est de refuser de se laisser attraper. Parce qu'il souffre, et ne veut pas souffrir plus sous la selle (il anticipe, hein, parce qu'il est évident que dans ce cas, lorsque je le prends au pré, c'est pour le soigner et le brosser, point, certainement pas pour le monter). Par contre, lorsqu'il est bien, n'a mal nul part, etc, il est le premier à se mettre le nez dans le licol, et à vouloir sortir de son pré. Pourtant, il sait dans ces moments là que je vais lui mettre une selle sur le dos le plus souvent, et que nous allons partir en balade. La meilleure preuve d'amour, c'est de souhaiter le bonheur de l'être aimé avant le sien. C'est pour cette raison que je renonce à monter (ok, au bout de 6 mois, je reconnais, ça commence à me manquer, mais tant pis, il passe avant mon petit plaisir perso) alors que le gros a une sciatique d'enfer. C'est pour cette raison que l'on voit des proprios mettre leurs chevaux à la retraite à 6 ans pour X ou Y raisons médicales, et les garder chez eux, dans leur pré, quitte à ne plus pouvoir pratiquer l'équitation pour pouvoir leur offrir une belle vie digne chez eux. C'est pour cette raison que des personnes attendent les 4, voir les 5 ans de leur poulain, avant de le débourrer. C'est pour cette raison qu'on les laisse au pré toute l'année, en sachant qu'on aura X heures de pansage à chaque fois qu'on voudra monter. C'est pour cette raison... qu'on en chie parfois pas mal^^

Le truc c'est que je ne suis pas proprio, donc essayer de comprendre un cheval en cours, non ... Ca avance pas assez et ca répond pas aux jambes : la monitrice demande de foutre un coup de cravache moi que ca avance...

C'est pas forcement ce que j'approuve, mais c'est comme ca ... C'est bien beau ce qui savent monter sans cravache, pas ca dépend aussi du cheval, de son age et son temperament, et surtout du fait d'être proprio ! Si on connait son cheval, forcement c'est plus facile et on a le temps de chercher à comprendre, puis on a sa confiance !

La question me dérange, quand elle s'impose à moi souvent je la chasse de mes pensées et pour cause: en plein paradoxe, j'aime les chevaux mais j'aime aussi l'équitation. Je suis même venu à aimer les chevaux par le biais de l'équitation, à l'inverse de beaucoup de monde.
Il n'y a que très récemment que j'ai découvert qu'il y avait des personnes anti-équitation, et des documents avec des images horribles qui circulent sur la toile en nous traitant de monstres, nous autres cavaliers. J'ai été surprise. Personne ne m'avait jamais dit qu'il était mal de monter à cheval, j'y ai donc réfléchi d'un peu plus près.
Sans trouver de solutions... Jusqu'ici ça m'arrangeait de garder mon cheval en box (pension gratuite) alors il y est resté même si je savais que ce mode de vie ne le rendais pas heureux. Aujourd'hui je peux faire autrement donc je fais. Encore aujourd'hui je monte le plus souvent avec un mors, un stick et une paire d'éperons. Tout simplement parce que je ne sais pas encore m'y prendre autrement pour avoir le même résultat avec mon cheval, si je pouvais m'en passer, si je savais comment faire, je m'en passerais avec plaisir... Dans la même veine je vois bien que bosser en carrière ça le soule il me plante devant, une fois, deux fois, je dois y rentrer en zigzagant, alors des fois je fais des concessions, on va balader, jouer dans le manège ou même on ne fais rien, mais 2, 3, fois par semaine on va travailler. Et pourtant j'aime mon cheval.

Citation : Certains jours, ma petite-fille ne veut pas aller à l'école... Et on l'y met quand même. Elle a 4 ans, elle va à la maternelle. On n'aurait pas idée de la mettre en CM2. Elle ne sait pas toujours ce qui est bon pour elle mais nous on le sait ! C'est la même chose avec les chevaux. Ils ne peuvent pas deviner qu'ils seront plus souples, et mieux dans leur corps avec quelques séances de plat. Et personne ne peut AFFIRMER qu'un cheval qui passe sa vie dans un pré à rien faire est totalement heureux. Parfois il y a des congénères qu'il n'a pas envie de voir 24h/24. Quand je rentre dans le parc avec un licol, ils veulent tous être pris et sont heureux d'aller randonner. Si vraiment ça les gonflait d'être montés, je ne pourrais pas les attraper.

Je ne suis pas convaincue en revanche vers ses excuses que se trouvent les cavaliers pour se justifier. J'ai envie d'approuver mais je sens que ça coince, parce que je sais que mon cheval est mieux avec ses congénères au pré que dans la carrière avec moi. Parce que je sais qu'un cheval n'est pas fait pour qu'on lui grimpe dessus. Parce que si un enfant doit aller à l'école pour recevoir une certaine éducation et sociabilisation qui lui permettra de s'insérer dans la société, un cheval n'a pas besoin de travailler sur le plat pour être bien dans ses sabots, il en a besoin uniquement pour nous porter à moindre gêne.
Voilà pourquoi souvent j'élude la question. Elle me culpabilise, et comme pour l'instant je ne suis pas prête à arrêter l'équitation, j'essaye d'aimer mon cheval le moins mal possible, avec un maximum de concessions, en espérant qu'il me pardonne mon exigence, mes maladresses et mes imperfections.

zuteuh a écrit le 28/01/2012 à 20h15: Les parents font bien faire des choses à leurs enfants même s'ils n'aiment pas. Donc les chevaux c'est pareil que l'école, avec beaucoup moin de cours...

Euh, perso je part du principe que mes chevaux n'ont pas choisit d'être avec moi, donc je doit leur offrir le meilleur pour leur bien être.

lamborghini a écrit le 28/01/2012 à 20h49: C'est pas forcement ce que j'approuve, mais c'est comme ca ... C'est bien beau ce qui savent monter sans cravache, pas ca dépend aussi du cheval, de son age et son temperament, et surtout du fait d'être proprio ! Si on connait son cheval, forcement c'est plus facile et on a le temps de chercher à comprendre, puis on a sa confiance !

Pour moi, ça vient surtout de ce que j'ai souligné.

Si les clubs se responsabilisaient au niveau de la relation au cheval, les choses bougeraient enfin, et peut être bien qu'il y aurait moins de chevaux plantés ou avec des réputations de fous...

skingirl a écrit le 28/01/2012 à 20h53: Euh, perso je part du principe que mes chevaux n'ont pas choisit d'être avec moi, donc je doit leur offrir le meilleur pour leur bien être.

Les enfants aussi, n'ont pas choisis... Leurs parents ont choisis pour eux...

Donc bon^^

Je ne dis pas que je ne suis pas d'accord avec toi, j'en sais fichtre rien, en fait, dans les 2 cas, nous nous conduisons comme de sales égoistes.

zizouille a écrit le 28/01/2012 à 20h54: Pour moi, ça vient surtout de ce que j'ai souligné. Si les clubs se responsabilisaient au niveau de la relation au cheval, les choses bougeraient enfin, et peut être bien qu'il y aurait moins de chevaux plantés ou avec des réputations de fous...

Je suis tout à fait daccord sur ce point.

Pour en revenir à Lamborghini, quand je montais en cours je n'avais pas non plus de cravache et les chevaux répondaient.
Après il faut voir comment tu demandes les actions.