Childfree

Exacte, ce que moi je vis comme une super moment, les gens les voient comme des contraintes alors que pour moi ce sont des choses normales!

Pour avoir suivi ce post en sous-marin, je pense que la radicalisation des échanges trouve son origine sur ce point : la vraie question n'est pas d'avoir ou non des enfants, mais de savoir -une fois pour toutes - ce qu'on veut ou qu'on ne veut pas dans la vie.
"Connais-toi toi même" (Socrate) puis "deviens ce que tu es" (Nietszche)
Quand on est en phase avec sa nature profonde, on ne se pose plus de question et on est totalement étanche au regard (et a fortiori au jugement) des autres !
Personnellement, j'ai des gosses et je me fous complètement des discours de type "mais t'es inconscient, avec le chômage, la pollution, le terrorisme... (barrez la mention inutile !)" ou "on n'est pas déjà assez nombreux, malheureux, délétères (idem)". Pour celles et ceux qui ne veulent pas de gosse, c'est exactement pareil.
Après, que la société favorise les naissances, c'est une évidence puisque c'est la condition même de sa survie. Mais on peut y adhérer ou non. Tout comme la société de consommation : on peut vivre en son sein sans la faire prospérer.

L'intelligence, c'est savoir s'adapter à l'environnement pour arriver à ses fins

La musicothérapie et l'équithérapie sont de plus en plus reconnues, effectivement, il faut bien réflechir le projet (moyens, buts, destinataires...). Qu'as tu comme diplôme, expériences dans ces 2 domaines (par mp, non?)?

Non pas en Mp SVP, ça m'intéresse aussi

Merci Plume !

Avant de songer à associer equitherapie et musicologie, je voulais etre groom maison ou concours. Peut importer tant que j'avais une brosse dans la main, le ciseaux pour les crinières dans la poche, et la pelle à crottin dans l'autre main ! Les chevaux c'étaient toute ma vie mais puisque je suis pas une crack à cheval et que je suis douée en pansage, le choix était naturel !
Mais je reste persuadée qu'il y a moyen d'associer les deux modes de thérapies. Elles sont complémentaires et aussi instructives les unes que les autres.
J'attends juste de mûrir le projet et de finir mon cursus au conservatoire histoire d'avoir les diplômes !

Ah oui je vois!

Peut être que d'ici quelques années ça pourra se développer un peu plus, en tout cas je te le souhaites vraiment!

Expérience en musique : je suis née avec une partition. J'étais pianiste avant de découvrir le violoncelle. J'ai tout fait : soliste, musique de chambre, orchestre etc... Mais la musicothérapie m'a intéressé parce que je suis atteinte de troubles mentaux et la musique c'est ma source de vie dans ce monde. Si je peux aidé d'autres personnes pourquoi pas non ? J'ai donc continué mon cursus au conservatoire pour obtenir le diplome. Je suis encore en plein dans le conservatoire et je continue en musique de chambre etc... !

Les chevaux... Idem je suis née sur une selle. Je me débrouille pas mal à cheval mais faut pas se leurrer je suis loin d'être une crack. A partir d'1m40, on sent bien que j'ai moins de facilités ! Du coup, j'ai bossé comme groom en petits boulots, j'ai fait palefrenier aussi etc... Et vraiment je voulais etre groom (concours ou maison).

Et à force de réfléchir à la musicothérapie, je me suis aussi renseignée sur l'equitherapie. Au final, je pense qu'il y a moyen d'associer les deux. C'est complémentaire. On peut travailler en musique à cheval, et travailler sa musique à cheval.
Mais là ça bloque, il me faut une formation et un BPJEPS au moins.
Je n'ai pas d'aides et la formation est trop chère.

Je souhaite ouvrir ça principalement aux personnes atteintes de troubles mentaux (dépressions, maladies mentales ou autres) mais également aux handicapés mentaux et pourquoi pas physique.
Mais comment faire ça ? Etre embauchee dans un club qui propose de l'equitherapie ?
Ou ouvrir une structure ? Avec quels budjets ? Mais juste de la thérapie ne suffira clairement pas. Rajouter une possibilité de mettre des chevaux en pension ?

Et la musicothérapie se fait généralement en groupe à l'hôpital. Comment l'amener intelligemment sur un groupe à cheval ?

Bref beaucoup de réponses que je dois mûrir et un projet en suspens.


En attendant, je suis en fac de droit pour suivre les traces de mon pere. Mais je n'abandonne pas l'idée. J'attends juste le bon moment. Je continue de bosser aux ecuries et sur mon violoncelle je ne demande que ça !

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« L’avenir n’est pas ce qui va arriver mais ce que nous allons faire » – Henri Bergson

Pour ce passage là, difficile je pense de se faire embaucher dans un club qui propose déjà de l'équithérapie parce que justement, ben il doit déjà y avoir un équithérapeute!
Mais essayer de mettre ça en place dans un club proche d'une structure accueillant des handicapés, pourquoi pas?
Humm bon courage pour mettre ça en place... tu es d'où?

Que de tension ici!
Je n'ai pas trouvé Almarita (?) agressive et j'ai trouvé intéressant son mode de vie. J'avoue que je connais pas mal d'artistes qui ont une organisation similaire ça doit jouer aussi.
Comme l'a justement souligné Myrific, ce qui paraîtra un sacrifice pour l'un sera un enrichissement pour l'autre. Et l'un n'aura pas raison ou tort sur l'autre, les goûts et les couleurs

Pour les gamins qui braillent au resto pour moi c'est simple: soit c'est vraiment un bébé et dans ce cas, il n'a pas d'autre moyen d'expression alors lui n'y est pour rien mais il n'a rien à faire au resto.
Soit il est plus grand, sait manger, parler alors il doit se tenir. S'il ne le fait pas, au parents d'avoir le savoir vivre de quitter la salle afin de cesser d'importuner les autres convives.
C'est aussi valable aux spectacles/ciné parce que y en a qui méritent vraiment des baffes. Surtout les parents hein

C'est étrange que vous ressentiez autant de pression sociale comme ça...

Mon mari et moi on en ressent finalement très peu au quotidien...oui les gens sont surpris sur le coup, du fait de notre situation qui aurait tout pour accueillir un bébé, et en+ de mon boulot avec les gosses, mais direct ils comprennent notre choix (sauf qqls cas rares, mais ceux là on laisse couler, c'est souvent des mamans frustrées), la famille a accepté, les collègues comprennent, même, ils trouvent mes explications intéressantes...
On est quand même plutôt tranquille comparé aux parents qui doivent répondre de tout, tout le temps, à tout le monde et qui sont jugés parce qu'il ne suffit pas d'être parent mais "le parent comme ci ou comme ça"...

Je plussoie Pouneypower...

Ici, ma famille l'a très bien pris, celle de mon copain aussi (même s'ils ont été très surpris).

J'ai pour le moment rencontré très peu de personnes qui ne comprenaient pas ce choix, voir pas du tout, ou alors ils l'ont gardé pour eux.

Pour la famille, j'avoue avoir aider la pilule à passer en disant que je gardais toujours mes ovaires et mon utérus, et que si je changeais d'avis un jour, une Insémination Artificielle ou l'adoption étaient toujours possible. Même si je ne l'envisage pas, ça adouci les angles.

Peut être aussi que, comme je m'en fout de ce que pensent les gens, je relève pas les regards outrés, mais voila, j'ai pas à me plaindre.

Pour le resto, c'est pas parce qu'on est " CF " qu'on ne supporte pas d'entendre les gamins pleurer. Ma maman a 3 enfants, elle ne supporte pas non plus Quand on était bébé, si on était au resto ( rare, mais ça pouvait arriver ), si on était calme, ok, si on pleurait, ben mes parents se relayaient pour manger pendant que l'autre était dehors avec le bébé bruyant.

Enfin normal, on a le droit d'aller au resto avec son bébé, et c'est normal de ne pas déranger tout le monde si le bébé pleure non plus, donc dehors le temps que ça se calme !

Je suis peut-être trop tolérante mais pour moi un bébé a le droit de pleurer et c'est pas pour ça qu'on doit empêcher les mamans de vivre je pars du principe que les resto c'est un lieu "publique" (je parle pas des resto de luxe qui sont sûrement aménagés pour être au calme) donc si on veut rien entendre et rien voir on reste tranquillement chez soit, pareil pour les transports publiques, les immeubles etc.
Pourtant bien que j'aime les enfants y a des gens qui me saoulent clairement avec leur bébé qui pleure (oui parfois c'est trèèèèès irritant) mais jamais je vais me permettre de leur dire de faire taire leur petit surtout si je suis dans un lieu publique, d'ailleurs les gens qui hurlent sur les mamans me dérangent encore plus que les cris de bébé (et ceux là je me retiens de leur hurler dessus )

C'est pas juste ce que tu dis...On peut pas sortir sous prétexte que les mères ont le droit d'imposer les hurlements des gamins aux autres?

Si j'ai envie de sortir pour me détendre, j'ai pas le droit?
C'est comme si tu disais à un handicapé que si il est pas content que tout les lieux public est pas aménager ben il à qu'à rester chez lui et pas faire chi*er le monde

Fin regarde, nous on a pas d'enfants avec ma coloc. Mais on va pas faire la chouille jusqu'à pas d'heure sous prétexte que n'aillant pas de gosses on a le droit de faire la fiesta!

On doit respecter les autres, et un gamins bruyant ouais ça peut gâcher une soirée, tout comme des voisins qui font la chouille jusqu'à pas d'heure ça dérange aussi.

edit, pour la pression sociale je pense que ça dépend du milieu. Toutes les fois où j'ai eu des remarques c'est quand je bossais en usine, et au macdo.
A l'usine j'avais tout juste 21ans, célibataire depuis peu et sans enfants bien entendus ben limite je devais avoir honte, genre j'avais rien réussi dans ma vie...