Le post des supers mamans de ca...

beabcr non mais je chipote pour vous embêter et parce que ça fait me fait mal cette non liberté de choix

beabcr je partage totalement ton avis concernant le privé. J'ai fait une année de privé au lycée, en seconde, et la qualité d'enseignement était franchement médiocre. Les bons résultats ne tenaient qu'à une chose : la sélection à l'entrée.
Je n'ai fait qu'une année et ensuite je suis partie dans le gros lycée public de ma ville, 2000 élèves et une réputation en dents de scie. J'ai été hyper agréablement surprise du suivi qu'on avait, de l'enseignement etc.

Je me suis posée la question d'une école Montessori pour Elise, mais chez nous avec la cantine et garderie ça revient à quasiment 4000€ l'année. Autant ce serait possible pour elle en se serrant la ceinture, autant si y'avait un éventuel numérobis ce serait pas tenable.
Son école de quartier a l'air sympa, peu de classes, pas de gros effectifs, ils sont juste à côté de la médiathèque donc ils y vont souvent. Donc malgré mes doutes à l'égard de l'école en général je suis quand même confiante.
Heureusement on a un an encore !

lololabiscotte je le conçois!
myosotis81 mais c'est ça, y a pas que mon expérience du privé, en dehors de ce que j'ai appris en socio, y a pas une personne que j'ai rencontrée qui ai fait du privé à qui ça ait apporté un réel plus. Franchement moi on m'a fait croire qu'on serait meilleurs que les autres, clairement, et ben j'ai vite compris que pas du tout hein des élèves brillants y en a aussi dans le public et même dans des collèges avec mauvaise réputation ils avaient un niveau supérieur au mien, et j'étais bonne élève !

Avec plusieurs enfants ça représente vite un coût important la scolarité privée. Personnellement pas de problème pour faire des sacrifices financiers pour mes enfants mais je ne pense pas que celui ci en vaille la peine. Je préfère épargner pour eux, pouvoir leur payer permis, première voiture, aider pour un appartement? plutôt que financer une école privée qui, à mon sens et d'après mon expérience et mes connaissances, ne constitue pas réellement un investissement en comparaison de ce que propose l'école publique.

Après c'est comme pour tout le reste on voit tous les choses à notre manière et je sais que plein de gens par exemple préfèrent laisser les enfants " galérer " pour le permis/la voiture parce que selon eux ça enseigne des choses importantes. C'est aussi ça qui fait qu'on est tous des individus différents, qui auront des enfants différents les uns des autres et qu'à la fin on a tous mutuellement des choses à s'apporter.


- première tournée de yaourts en cours !

Ici le privé c'est surtout car on en vient nous aussi donc on a cette habitude.
Et puis ya une demie sécurité.. 'je n' ai jamais eu aucune journée de grève depuis 3ans avec arwen.
Par contre ma niece au public elle en a eu plusieurs en seulement 1an!

koskinelle En fait, juste avant d'avoir mon ainée, je terminais mes études en diététique. Il me restait mes stages à faire, rédiger mon mémoire et ma soutenance de mémoire.
Je devais terminer après sa naissance mais bébé 2 s'est installée... Puis bébé 3. J'ai totalement mis ce projet de côté, je me suis mise dans les formations en périnatalité, sujet qui me passionne.

Mais, "chassez le naturel, il revient au galop". La diététique me rattrape toujours, à travers tous ses aspects : dans le domaine de la périnatalité avec l'alimentation des femmes enceintes et allaitantes, diabète gesta, l'allaitement, le biberon, la diversification, etc ; l'impact de l'alimentation sur la santé d'une manière générale (j'ai grandi dans une famille avec un papa diabétique de type 1, une grande soeur diabétique de type 1, une grand mère diabétique type 2, j'ai perdu mon père d'un cancer digestif, ma mère a été opérée d'un by-pass pour obésité, ...) ; tous les aspects éthiques et écologiques de l'alimentation.
Donc, j'ai décidé de reprendre ! Mais le rectorat ne conserve les notes que 5 ans (pas de dérogation possible), donc je dois TOUT repasser. Cela dit, c'est un mal pour un bien parce que 5 ans sans mettre mon nez dans les cours et sans pratiquer, y'a beaucoup de choses qui sont à revoir!

Ce diplôme va également me permettre de passer la certification de consultante en lactation IBCLC (j'ai déjà les heures de formation réalisées et une partie des heures d'accompagnement) car c'est beaucoup plus simple de l'obtenir quand on est professionnel de santé. Et donc évidemment, on est bien plus "reconnue" auprès des autres professionnels de santé...

L'objectif c'est de rester à mon compte, continuer à développer mon activité autour de la périnatalité en y intégrant l'alimentation pour les femmes enceintes/allaitantes/la diversification. Ca me plairait bien d'intervenir dans les écoles pour l'amélioration des menus mais aussi auprès des élèves directement, faire des ateliers autour de l'équilibre alimentaire, du gaspillage, de l'environnement.

Et parce que le côté "santé" pur me rappelle toujours, travailler un peu en hôpital ou en hospitalisation à domicile en parallèle d'une activité autonome me plairait beaucoup.


Une reprise d'études avec des enfants ça demande de l'organisation mais c'est tout à fait faisable ! Une très bonne amie était comptable et s'est reconvertie à 34 ans (et deux enfants) pour être diététicienne il y a plusieurs années. Elle a continué à travailler à mi temps, ça a été quelques années sport mais elle n'a aucun regret.

Aujourd'hui tu ne sais pas ce que tu ferais si tu voulais changer de métier mais on évolue, nos envies aussi. Tu peux te faire aider par un bilan de compétences également pour trouver des idées, parfois ça fait ressortir des choses qui semblent ensuite évidentes "purée mais oui, c'est exactement ça que je veux faire!".
Je pense qu'il ne faut pas rester dans un métier qui ne nous convient pas/plus. Même si on est pas particulier "carriériste" (c'est mon cas!), on doit travailler tous les jours. Alors faire un métier dans lequel on s'épanoui est hyper important pour se sentir bien.
J'ai des témoignages d'ami-es qui ont repris des études avec des enfants, en continuant à travailler à mi temps ou à temps plein, ça a été quelques mois ou années bien sport mais pour ensuite savourer à fond!

Ici, Privé aussi. J'étais pas particulièrement pour (ni contre!) Mais ça tenait à coeur a mon mari.
Pourtant on habite dans un coin très privilégié.
Mais je ne regrette absolument pas.

En coût, ca nous revient le même prix dans le public dans le sens où la garderie est inclue là où on paierait dans le public.

Effectivement comme netif ce qui m'a convaincu aussi c'est le côté grève. J'ai aucun soucis avec les grèves et tout, je me doute bien que c'est pas fait pour le plaisir mais c'est vrai que d'un point de vue égoïste, n'ayant pas de famille près de chez moi ni de mode de garde alternatif, la gestion des grèves dans le privé c'est plus simple pour moi

Je n'avais pas pensé aux grèves ! C'est parce que je les ferai en même temps

Les enfants sont dans une école privée également. Les effectifs n'ont absolument rien à voir avec l'école publique dont on dépend ! On a la chance d'avoir une toute petite école privée de village avec des classes multi-niveaux (c'est quelque chose qu'on apprécie beaucoup, les petits apprennent avec les plus grands, les plus grands sont autonomisés ++, ils apprennent eux même en transmettant aux + petits, ...) en restant sur des effectifs de 15 à 20 élèves par classe grand max, des ATSEM à temps plein pour les maternelles, des professeurs et directeurs hyper disponibles tant pour les enfants que pour les parents, qui nous demandent systématiquement si on a des attentes, si les enfants nous font des retours, pour s'améliorer et s'adapter à chacun-e.
Le seul point négatif pour moi c'est que je déteste tout ce qui est réunions, kermesses & co. Et tout le monde remarque si on ne vient pas ou si on essaie de partir tôt discretos

Louise était dans le privé quand on était sur Nantes, surtout par rapport au grève en fait, c'était vraiment le point qui nous a fait choisir cette école et 0as les 2 publiques du quartier.

Maintenant qu'on est "campagnards" elle est dans le public et l'an dernier, aucun souci niveau grève. On croise les doigts pour que ce soit la même cette année !

Pour les menus, qu'à d je regarde, ça va, c'est assez varié globalement.

justsmad c'est sur que de tels effectifs ça fait rêver ! Chez nous en RP, ça ne diffère pas vraiment entre le public et le privé. Du moins dans mon secteur, plutôt urbain. Encore que dans l'école où j'étais stagiaire je n'avais que 21 élèves en double niveau ! Mais à côté de ça une autre partie de mon stage s'était faite en MS à 33 élèves?

beabcr Je sais bien! C'est en grande partie pour cette raison qu'on avait fait le choix de l'IEF pour Lucie. Les écoles à côté de chez nous (Sartrouville) c'était 30-35 élèves par classe
On a tout à fait conscience qu'on a beaucoup de chance d'avoir cette petite école... Qui est cependant menacée de fermeture de classe tous les ans en raison de ses petits effectifs... Il y a d'ailleurs eu une fermeture de classe cette année...

Coucou tout le monde,

Ca fait longtemps que je n'ai pas posté mais je sous marine beaucoup.
Chloé grandit vite et tout se passe très bien. Petit galère cette semaine car nounou a le covid mais ça devrait se régler rapidement.

Je souhaitais prendre le temps d'intervenir sur le sujet des laitages. En faite c'est super intéressant pour moi car je viens de me rendre compte que je ne donnais toujours pas de fromage à Chloé ... Elle prend 270 ml de lait le matin puis je fais après attention à chaque repas qu'elle ai un yaourt fait maison ou un petit suisse. Les desserts lactés elle ne connait pas pour le moment car on préfère faire très attention au sucre. Mais le frommage ? Je suis restée sur les recommandations de la pédiatre de limiter le fromage quand elle était toute petit mais je pense qu'on peut s'y mettre maintenant

J'ai la multidelice et je m'en sers énormément. C'est hyper simple et rapide. 5 min le soir pour faire les yaourts puis je la laisse tourner la nuit et le matin j'ai plus que mes yaourts à mettre au frigo. Lait de vache, brebis, chèvre il y a de quoi varier ...
Je n'aime pas les yaourt nature achetés et pourtant je mange ceux que je fais sans sucre sans aucun soucis. Le goût est bien différent et meilleur !

Enora et arwen sont 25 par classe cette année et en classe multi niveau chacune.
Enora en PS/ms
Arwen GS/CP

je trouve ça assez correct. Les filles vont au camping cee week-end avec François et sa famille, on verra si ca évolue

beabcr , lololabiscotte
Je pense aussi que cet investissement permanent auprès des enfants me freine totalement.
J’ai passé mes deux grossesses à la maison pour divers soucis (non graves) ce qui m’a rendu à moitié barjo ! Lol.
J’ai besoin d’avoir du temps à moi et un travail (que j’adore au demeurant) avec « une place dans la société ». J’insiste sur les guillemets car il s’agit de mon ressenti propre, pas d’une vérité absolue (et ma mère était femme au foyer).
J’adore mes enfants et oui je leur apprend des choses : la grande lit les lettres et compte jusqu’à 10, elle a du vocabulaire. Mais j’ai trop besoin d’avoir un autre rôle que celui de maman.

beabcr alors comme tu le sais j'ai 5 enfants les 3 aînés sont allés dans le public.
Mon fils aîné a fait ses deux premières années dans une super école bienveillante puis la dernière année de maternelle dans le village où nous sommes actuellement. Ça c'est plutôt bien passé pour la maternelle sauf que je regrette que sa maitresse ne l'ai jamais reconnu ni même dit bonjour après le passage en primaire, mais bon c'est anecdotique par rapport au reste pour mes deux filles.

Lena, la maîtresse de petite section ne savait toujours pas comment elle s'appelait en fin d'année et elle avait perdu tous ce qu'elle avait acquis en fin d'année... Et cerise sur le gâteau, elle était régulièrement oublié au coin qui se trouvait dans le dortoir... Sympa quand tu viens récupérer ton enfant le soir et qu'on te dit "Léna, Léna, ah oui la petite blonde à bouclette, Odile elle est où, euh elle s'appelle comment déjà votre fille? Ah oui Léna?" "Ah ba elle est au dortoir elle a fait la folle avec la copine"

Clara, la maîtresse de ps et de MS j'avais demandé à avoir une autre enseignante que sa soeur, c'était pire, au oui elle avait l'air sympa, faisait plein de câlins au enfants, super nature, les sabots, les poussins, le petit lapin dans la classe... Puis un jour une maman me dit que je devrais être plus ferme avec sa fille, qu'une claque de temps en temps ça faisait pas de mal, la maîtresse le faisait bien... J'ai pas prêté foie au propos de la maman, je ne pouvais pas y croire, ça me paraissait surealiste et puis un midi je ramène Clara à l'école et j'entends la maîtresse qui crie après un enfant, elle le pend avec un porte manteau et l'accroche à son porte manteau. Le petit se met en colère, elle se retourne et lui donne un tape au cul. Je suis restée bête et j'ai rien fait, elle prenait sa retraite à la fin de l'année.

Quand Gianni a été en âge d'aller à l'école j'ai croisé une ATSEM dans le supermarché, je lui ai demandé son avis pour savoir où le scolarisé, je la connaissais bien, elle avait toujours demandé des nouvelles des grands. Elle m'a dit surtout pas l'école publique c'était pire qu'avant, des classes qui ferment, à plus de 30 et plus suffisamment d'atsem par classe. J'ai pas chercher plus loin, l'école privée est à côté de la maison, je peux m'y rendre à pied, la publique en voiture obligatoirement. Malgré les couacs du départ avec Gianni, la maîtresse des PS franchement pas terrible mais les autres enseignantes sont super et celle de Gianni ces deux dernières années étaient vraiment au top, à se renseigner sur le TSA lors de ses moments de repos le soir, à l'écoute de l'équipe pluridisciplinaire qui suit Gianni...