Ecole de philippe karl

chope a écrit le 11/10/2013 à 15h27: les Oliveiriste, Bauchéristes, l'Hottiste, La Guerinièristes...sont évidemment invités à partager leur point de vue. L'avantage qu'a Mr Karl sur tous ceux-là, c'est qu'il est encore vivant!! Et qu'il bénéficie de leur enseignement pour en faire une synthèse ,que je trouve très abordable pour qui veut bien prendre la peine de s'y intéresser.

tu peux ajouter les d'orgeixiens, il est juste plus tourné obstacle, mais la base est la même : la logique de la grande équitation française.
malheureusement, en france, on oublie les anciens, résultat l'équitation régresse...

lingot a écrit le 11/10/2013 à 17h26: tu peux ajouter les d'orgeixiens, il est juste plus tourné obstacle, mais la base est la même : la logique de la grande équitation française. malheureusement, en france, on oublie les anciens, résultat l'équitation régresse...

Oui c'est vrai, pardon j'avais oublié. D'autant que le regretté Jean D'Orgeix n'est pas si "ancien" que ça!
Y'a pas qu'en France qu'on oublie les anciens: PK est quand même parti en croisade contre la fédé allemande!!

Dans l'écurie que je fréquente, les quelques Olivieristes sont appelés les branquignoles. Si c'est pas affectueux

Mais entre les "grands dresseurs bosch" le genre à raccourcir leur rêne intérieure pour garder le cheval incurvé et les cavaliers qui sortent de club... Je ne comprends pas comment on peut ne pas se rendre compte que le cheval est mal, travaille à l'envers et j'en passe? Je ne relève presque plus mais souvent, qu'est-ce que j'ai envie de secouer les gens pour qu'ils ouvrent les yeux!!!

C'est carrément vrai. Y'a une cavalière de mon écurie qui a mis son lusitanien de 11 ans à la retraite car il avait "des problèmes de dos et d'engagement". Elle a "tout essayé", y compris l'ostéo, les infiltrations, la longe avec le nez par terre. Bizarrement, elle n'a jamais essayé l'extension d'encolure: quel gâchis! Moi je lui aurait bien repris son cheval. Mais j'étais pas là quand il est parti et en plus je me voyais pas très bien lui dire: laisse-le moi un mois que j'essaie quelquechose. J'aurais peut-être dû.