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je crois frédérique que tu n'as pas tout cerné, je mange naturel ça veut dire que au moins la grosse part de mon alimentation soit naturelle, enfin c'est un minimum je pense, je vais pas bouffer que de l'industriel
t'as pas lu plus haut quand j'ai dit que l'industriel on peut difficilement s'en passer complètement
Naturel ça veut dire pas de trucs préparés industriellement, pas de plat préparé, pas de sauce en conserve, etc.......
un bon steak une bonne salade c'est parfait |
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si si j'ai tout bien lu au contraire et outre un gros pb de précision dans le vocabulaire , c'est toutes les contradictions et incohérences qui posent pb dans votre discours, malgré quelques pirouettes pour rattraper les affirmations catégoriques qui s'écroulent au fil des pages .
Quelques précisions pour les personnes qui ont participé à ce post (se situer pour mieux se comprendre

) :
En bref, la base chez moi c'est l'herbe et le foin même pour les chevaux qui sortent en concours (niveau Amateur et avec résultats).
A ce propos Bravo au couple de ce post
La distribution d'une ration vient compléter si besoin (activité, saison et climat , âge, état, repousse dans les prés etc )
J'ai longtemps utilisé des céréales brutes (3 à 4 variétés) pour faire mon propre mélange, que j'équilibrais de mon mieux avec un complémentaire .
C'est pas de moi, il est notoire qu'une ration de céréales DOIT être équilibrée par d'autres apports, ça suppose donc des calculs de ration .
A ce jour je ne suis pas du tout convaincue que c'était plus économique (puisque c'est bien ça le sujet de départ) .
Je ne peux pas le mesurer exactement car il y a eu de grosses variations des prix des différentes céréales certaines années, et je n'ai pas une ration contante sur 365 jours et encore moins d'une année à l'autre. (hiver 2013/2014 par exemple, pas de froid et de l'herbe jusqu'au début de pousse de printemps , consommation de foin faible en conséquence et complémentation faible )
On ne le compte pas en €, mais gain certain sur toutes les contraintes d'approvisionnement, stockage, préparation , distribution adaptée à chaque cheval ...
Pour toutes ces raisons et celles que j'ai données il y a quelques pages (et en partie reprises aussi par l'auteure de ce post) , j'utilise aujourd'hui un floconné adapté à l'activité des chevaux qui sont chez moi et qui de part sa composition est aussi plutôt pas mal adapté à mes vieux .
Je table sur le foin à volonté (le mien) et les herbages pour compenser ce qui pourrait leur manquer, et sauf prescription spécifique je ne distribue pas de cmv .
Je sais bien que mes rations ne sont pas parfaites, il faudrait peser chaque cheval, analyser le foin, faire un inventaire des espèces végétales de chaque pré et adapter selon la rotation , quantifier exactement le travail de chaque cheval et maintenir leur activité régulière etc etc . Mission impossible à mon niveau , seules des écuries de trés haut niveau avec alimentation strictement contrôlée peuvent faire ça !
Cette façon de faire est à ce jour ce qui à la fois me donne des chevaux en forme et visuellement en état et me permet de gérer l'alimentation avec le plus de confort au quotidien pour moi et par incidence pour les chevaux (plus de temps pour le reste des soins, entretient des prés, nettoyage des rateliers et bacs à eau, sécurité des clôtures, maintient des installation propres et en état, présence auprés des chevaux, etc etc )
Je ne peux pas le prouver scientifiquement mais tout ça contribue à l'état sanitaire des chevaux (contrôle du parasitisme interne et externe, immunité, organisme en état de produire poil, crin et corne en quantité et qualité , état mental également ) .
Plus subjectif, mais j'en suis convaincue, la satisfaction de leur apporter une alimentation correcte, de les voir en pleine forme, "crée" une ambiance sereine bénéfique aux humains comme aux équins