La position, article d'une enseignante

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Eija29

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La position, article d'une enseignante
Posté le 30/05/2015 à 21h53

Bonjour, comme le sujet revient ici de façon récurrente, je me permet de vous poster ici un petit article récent écrit par mes soins.

"La position "parfaite" du cavalier a été maintes fois décrite dans les manuels, de façon plus ou moins heureuse.
En dehors du côté purement esthétique que dégage une position juste, celle-ci permet au cavalier d'être en équilibre, et donc en sécurité, quelles que soient les réactions parfois imprévisibles de sa facétieuse monture.
Elle permet d'être efficace, c'est à dire de pouvoir utiliser chaque partie de son corps de façon indépendante, la fameuse indépendance des aides, et de façon cohérente, de manière à rendre ses demandes les plus claires possibles pour le cheval.
C'est encore la seule qui permet au cavalier de ressentir finement sa monture, et ainsi de s'accorder à son mouvement sans le gêner dans sa locomotion.
La difficulté majeure dans la recherche de cette posture dynamique idéale, réside dans le fait que le cavalier doit être tonique, pour maintenir son squelette vertical, tout en restant souple et décontracté pour rester liant avec sa monture.
Les consignes données par les enseignants peuvent être contre-productives car elles vont mettre le cavalier en situation d'agir, "rentres tes pointes de pieds", "serres tes omoplates", et donc de mobiliser ses muscles gymnastiques, qui vont engendrer des tensions qui se répercuteront sur le reste du corps.
Pourtant, quand on se tient debout au sol, nous parvenons à nous tenir droits sans effort. Ce ne sont pas nos muscles gymnastiques qui soutiennent notre squelette, mais nos muscles profonds, ou muscles posturaux.
Prendre conscience de ces muscles posturaux et apprendre à les mobiliser permet de garder une orientation verticale et un dos tonique tout en restant décontracté et relâché, pour accompagner souplement le cheval dans ses moindres mouvements."

Florie Dardenne, enseignante indépendante.

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Vous pouvez retrouver d'autres articles sur ma page Facebook, Florie Dardenne, recherche d'harmonie équestre.


Edité par eija29 le 22-06-2015 à 14h12

J.92

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La position, article d'une enseignante
Posté le 08/06/2015 à 02h36

eija29 ce serait intéressant de temps en temps que vous faisiez un tour sur les posts "on juge votre position" pour conseiller et expliquer ! (Ce n'est qu'une suggestion hein )

Sinon je suis un boulet, vos explication ne me suffisent pas à comprendre comment "soutenir/impulser avec l'assiette/"pousser" sans basculer le bassin en rétroversion... ce serait possible avec un vocabulaire plus imagé ? et cela vaut-il à l'obstacle aussi, par exemple passez le bassin LÉGÈREMENT en rétroversion à l'abord ne permet-il pas d'être un chouilla plus entreprenant, de ne pas passer devant son cheval et d'être mieux ancré dans sa selle en cas de refus/file/dérobade ? Encore pardon si c'est absurde

Merci à vous et bonne nuit :)

Lillieblue

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Posté le 08/06/2015 à 08h58

Perso, je trouve ce post super intéressant . Pour ma part, j'ai une position assez degueu (voûté , regard vers le bas) mais j'ai aussi un bon équilibre et je tombe peu (une dizaine de chute en 20 ans d'équitation ). J'arrive à avoir des chevaux bien décontractés avec cette position bidon et je suis assez efficace (dixit mes monos) . Par contre quand j'essaie d'améliorer l'ensemble en me tenant plus droite, le regard haut, je perds mon efficacité et la décontraction du cheval car bcp plus crispée (cela me demande un effort, ce n'est naturel pour moi)
Je suis assez longiligne et me tiens pas vraiment droite quand je suis à pied.
En ce moment j'essaie de travailler ma position histoire de m'améliorer mais franchement, j'ai bien du mal à trouver un compromis entre ce qui n'est pas correcte mais qui fonctionne et ce qui est plus correcte mais ne fonctionne pas (ou pas encore)

Ramboderetz

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Posté le 08/06/2015 à 09h42

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Eija29

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Posté le 08/06/2015 à 11h46


j.92 a écrit le 08/06/2015 à 02h36:
@eija29 ce serait intéressant de temps en temps que vous faisiez un tour sur les posts "on juge votre position" pour conseiller et expliquer ! (Ce n'est qu'une suggestion hein )

Sinon je suis un boulet, vos explication ne me suffisent pas à comprendre comment "soutenir/impulser avec l'assiette/"pousser" sans basculer le bassin en rétroversion... ce serait possible avec un vocabulaire plus imagé ? et cela vaut-il à l'obstacle aussi, par exemple passez le bassin LÉGÈREMENT en rétroversion à l'abord ne permet-il pas d'être un chouilla plus entreprenant, de ne pas passer devant son cheval et d'être mieux ancré dans sa selle en cas de refus/file/dérobade ? Encore pardon si c'est absurde

Merci à vous et bonne nuit :)


Pour mieux comprendre il faut sentir, et là se posent le limites du forum...
Je rebondis sur le terme pousser, auquel tu as pris soin de mettre des guillemets. Un cavalier qui pousse va s'agiter, se contracter, et donc gêner la locomotion de son cheval: imagines toi marcher avec un enfant qui gigote sur ton dos, la comparaison a ses limites mais résume bien la gêne occasionnée sur on propre équilibre.
L'assiette du cavalier doit accompagner le mouvement du cheval, ni plus, ni moins. Dans le travail ou on va commencer à chercher la montée du garrot par abaissement des hanches, et non l'inverse, le cavalier doit être lui même dans cette position rassemblée. Le dos du cavalier, comme celui du cheval, doit être tendu.

"Les muscles du mouvement, les biceps, les quadriceps, les adducteurs… sont
ceux qui nous servent à marcher, courir, lever un bras, une jambe, soulever des
charges, utiliser nos éperons… Ces grands muscles situés superficiellement juste
sous notre peau sont puissants, mais ne sont pas très endurants puisqu’ils sont
censés n’être utilisés que ponctuellement.
Les muscles de soutien sont à l’inverse, peu puissants mais extrêmement endurants.
Ils sont situés plus profondément dans notre corps, principalement autour de
nos articulations et le long de notre colonne vertébrale. On les appelle aussi les
muscles de la posture car ils soutiennent la charpente de notre corps. Comme
nous l’avons évoqué précédemment, ces muscles sont utiles pour maintenir notre
verticalité et lutter contre la pesanteur."

"A cheval, et plus particulièrement à l'abord des obstacles, nous fonctionnons souvent
de la même façon. Le manque de soutien de notre dos et nos mauvaises habitudes
nous incitent à utiliser en priorité nos muscles superficiels. Nous accrocher
aux rênes, mettre trop de pression avec nos jambes, visser les genoux dans la
selle, contracter nos épaules… C’est-à-dire agir en force là où nous devrions au
contraire mettre de la décontraction et du relâchement. Cette sollicitation excessive
des muscles du mouvement se fait forcément au détriment des muscles de soutien.
Le cavalier lâche son dos et devient incapable de rester stable pour faire un usage
correct de ses aides et maintenir son cheval dans les conditions favorables à un
bon abord. C’est toute la différence avec le cavalier expérimenté qui lui, est capable de
rester dans la juste tonicité pour contrôler son cheval presque exclusivement par
l’action des muscles de son dos.
Il est certain que contrairement aux muscles du mouvement, la plupart du temps
mis en tension instinctivement, activer nos muscles profonds suppose une démarche
volontaire et consciente. Pour se tenir droit, il faut déjà le vouloir. C’est là
qu’intervient l’aspect mental de l’équilibre (...)"

extrait du livre, les secrets de l'abord parfait, chapitre la Methode Alexander, Veronique bARTIN

Est-ce plus clair?

Eija29

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Posté le 08/06/2015 à 11h56


lillieblue a écrit le 08/06/2015 à 08h58:
Perso, je trouve ce post super intéressant . Pour ma part, j'ai une position assez degueu (voûté , regard vers le bas) mais j'ai aussi un bon équilibre et je tombe peu (une dizaine de chute en 20 ans d'équitation ). J'arrive à avoir des chevaux bien décontractés avec cette position bidon et je suis assez efficace (dixit mes monos) . Par contre quand j'essaie d'améliorer l'ensemble en me tenant plus droite, le regard haut, je perds mon efficacité et la décontraction du cheval car bcp plus crispée (cela me demande un effort, ce n'est naturel pour moi)
Je suis assez longiligne et me tiens pas vraiment droite quand je suis à pied.
En ce moment j'essaie de travailler ma position histoire de m'améliorer mais franchement, j'ai bien du mal à trouver un compromis entre ce qui n'est pas correcte mais qui fonctionne et ce qui est plus correcte mais ne fonctionne pas (ou pas encore)


Comme tu le dis, tout commence... A pied!! En tant qu'enseignante, j'ai appris à regarder marcher mes élèves, la façon dont ils marchent en dit long sur les points qui seront à travailler une fois en selle.

Il est normal que chercher à modifier ta position te rende mal à l'aise: c'est ce qui se passe dés lors que l'on cherche à changer ses habitudes. L'idéal est d'avoir un enseignant qui souligne les moments ou ton attitude est correcte afin que tu puisse enregistrer tes sensations pour pouvoir les retrouver seule ensuite.

Bloops29

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Posté le 08/06/2015 à 12h04


ramboderetz a écrit le 08/06/2015 à 09h42:
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Je fais de même.

Ticheval74

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Posté le 08/06/2015 à 13h48


eija29 a écrit le 06/06/2015 à 22h26:


@ticheval74, du coup il faut composer avec ta particularité morphologique. Le plus important c'est l'orientation de tes fémurs, même si du coup tes pointes de pied vont vers l'extérieur du coup. Par contre tu peux d'office oublier le port des éperons...


C'est sûr, mais ma jument est sensible au simple efleurement donc ça ne me pose pas de souci. Et puis je ne fais pas de concours donc pas de port d'éperons obligatoire.

Sinon, comme Ptit_pimousse, je suis aussi très cambrée naturellement (ça commence à faire beaucoup!).
J'ai également eu les mêmes soucis avec les enseignants qui me disant de m'asseoir sur le gras des fesses, c'est absolument impossible.

Alors imaginez une séance où je dois me forcer à rentrer les pointes de pieds (donc vriller mes fémurs) et être sur le gras des fesses, et tout ça sans contractions!

J'ai toujours eu beaucoup de difficultés à trouver "ma" position au trot assis. ça va bcp mieux depuis que je ne m'embête plus avec mes pieds.
Par ailleurs, et ça pourra peut-être aider Ptit-pimousse, le fait de pousser ton nombril contre ta colonne aide énormément. Un peu comme si je créais un espace dans le bas de mon dos, qui me permet d'être tonique sans contraction. J'encaisse alors bien mieux le trot assis. Finalement, j'ai l'impression qe ça met mon dos en position neutre

Eija29

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Posté le 08/06/2015 à 19h36

Oui, le biais d'images mentales est très intéressant pour aider les cavaliers à cibler les bons groupes musculaires ;)

Bloops29

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Posté le 08/06/2015 à 19h50


eija29 a écrit le 08/06/2015 à 19h36:
Oui, le biais d'images mentales est très intéressant pour aider les cavaliers à cibler les bons groupes musculaires ;)


C'est ce que j'ai beaucoup aimé dans le livre de Sally Swift. Les images mentales m'ont beaucoup aidé, reste à mémoriser les sensations.

PS : j'ai bien reçu la réponse à mon MP.

J.92

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Posté le 08/06/2015 à 21h46


eija29 a écrit le 08/06/2015 à 11h46:


Pour mieux comprendre il faut sentir, et là se posent le limites du forum...
Je rebondis sur le terme pousser, auquel tu as pris soin de mettre des guillemets. Un cavalier qui pousse va s'agiter, se contracter, et donc gêner la locomotion de son cheval: imagines toi marcher avec un enfant qui gigote sur ton dos, la comparaison a ses limites mais résume bien la gêne occasionnée sur on propre équilibre.
L'assiette du cavalier doit accompagner le mouvement du cheval, ni plus, ni moins. Dans le travail ou on va commencer à chercher la montée du garrot par abaissement des hanches, et non l'inverse, le cavalier doit être lui même dans cette position rassemblée. Le dos du cavalier, comme celui du cheval, doit être tendu.

"Les muscles du mouvement, les biceps, les quadriceps, les adducteurs… sont
ceux qui nous servent à marcher, courir, lever un bras, une jambe, soulever des
charges, utiliser nos éperons… Ces grands muscles situés superficiellement juste
sous notre peau sont puissants, mais ne sont pas très endurants puisqu’ils sont
censés n’être utilisés que ponctuellement.
Les muscles de soutien sont à l’inverse, peu puissants mais extrêmement endurants.
Ils sont situés plus profondément dans notre corps, principalement autour de
nos articulations et le long de notre colonne vertébrale. On les appelle aussi les
muscles de la posture car ils soutiennent la charpente de notre corps. Comme
nous l’avons évoqué précédemment, ces muscles sont utiles pour maintenir notre
verticalité et lutter contre la pesanteur."

"A cheval, et plus particulièrement à l'abord des obstacles, nous fonctionnons souvent
de la même façon. Le manque de soutien de notre dos et nos mauvaises habitudes
nous incitent à utiliser en priorité nos muscles superficiels. Nous accrocher
aux rênes, mettre trop de pression avec nos jambes, visser les genoux dans la
selle, contracter nos épaules… C’est-à-dire agir en force là où nous devrions au
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Est-ce plus clair?


Oui c'est pour ça que j'ai mis "pousser" entre guillemets
Hum, plus clair... disons que je comprends bien le raisonnement mais que je n'arrive pas à me l'imager clairement (mes muscles sauf si je les fatigue j'arrive pas à les sentir ni à sentir comment je les utilise du coup j'ai dû mal à imaginer leur fonctionnement comme décrit) ni à comprendre comment l'appliquer concrètement, mais comme vous dites le forum a ses limites ^^

Mundial

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Posté le 08/06/2015 à 21h52

C'est un post très intéressant! Et sympa pour les chevaux qui sont plus heureux avec des cavaliers fins et réceptifs qu'avec des cavaliers qui les coincent!

Leouh

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Posté le 09/06/2015 à 15h13

Je laisse un message pour suivre le post, moi aussi, car il est vraiment super intéressant.

Ce n'est pas la première fois que j'entends parler de la méthode de Sally Swift, et ça me paraît vraiment intéressant, je crois que je suis à deux doigts d'acheter le bouquin :P

Pour ma part, après 10 ans d'équitation et des défauts handicapants (haut du corps en avant, jambes qui ne fonctionnent pas, étriers trop chaussés, pieds en canard, etc.), j'ai réussi à voir le bout du tunnel grâce à un instructeur. Après deux ans d'arrêt, je me suis remise en arrêt avec cet instructeur qui m'a appris à me mettre droite. Pas de bâtons, pas d'images, juste redresser mes épaules. Et c'est miraculeux, car j'arrive maintenant à sentir le moment où je ne suis plus assez bien à cheval.

Malheureusement, je n'ai pas pu continuer à monter avec lui, alors que je commençais à aborder un autre sujet problématique : ma descente de jambes, et mes étriers trop chaussés. Il m'a donné de bons conseils, et j'ai pu sentir une fois la bonne attitude dans la descente de jambes. Depuis, je n'ai de cesse de la retrouver. Il y a des jours où ça fonctionne (et ça je le sais parce que je ne perds plus mes étriers au galop :P) et des jours où ça ne fonctionne pas (et ça, c'est quand je me retrouve avec des étriers qui ballottent !).

Mais malgré ma bonne volonté, je me trouve encore peu efficace à cheval. Je rêverai d'avoir la position d'une Charlotte Dujardin ou d'une Pénélope Leprévost, mais j'aimerais surtout trouver une position efficace pour monter correctement.

Bref, je ne devais laisser qu'un petit message, et me voilà à pondre un pavé. En tout cas, c'est un post très intéressant, merci à vous :)

Bloops29

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Posté le 09/06/2015 à 16h22

Leouh : je me retrouve dans ce que tu dis. J'ai également pu ressentir la position "juste", mais qu'est-ce que c'est difficile de l'avoir tout le temps, en toutes circonstances !

Eija29

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Posté le 09/06/2015 à 20h39

Merci à vous d'y participer L'échange est toujours très intéressant! Pour ceux qui sont sur Facebook n'hésitez pas à poursuivre la discussion sur ma page ou se trouvent d'autres articles: https://www.facebook.com/harmonieequestre, toute question, commentaire, critique ou discussion sont les bienvenus, lorsqu'on enseigne, ce sont aussi les élèves qui nous font avancer

@Leouh c'est super d'avoir pu avancer avec cet instructeur. Pour le livre de Sally Swift tu peux y aller c'est un investissement qui sera rentabilisé, c'est une bible ce bouquin

Edité par eija29 le 09-06-2015 à 20h39



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Posté le 10/06/2015 à 13h45

C'est clair que le bouquin de Sally swift est top, il donne beaucoup de pistes de travail. Après, c'est compliqué à mettre en pratique seule au début. J'ai fait un stage avec Jacques Charandak qui m'a bcp plu. Et depuis 1 an et demi, j'ai repris tout le travail de ma jument avec un éthologue, adepte de sally swift, ce qui nous a énormément aidé. Et il ne me demande pas des choses impossibles avec ma position!
Je trouve que le plus difficile quand on veut "apprendre à se centrer", c'est de chercher ses sensations quand on doit aussi gérer son cheval.

J'ai été confronté au problème car quand j'ai eu ma jument, c'était une grosse traumatisée (débourrée en espagne et ratée, très peur de l'homme. Ajoutez à cela une hyper sensibilité et émotivité, et ça fait un cocktail détonnant). Du coup, c'était très difficile de chercher mes sensations, tout en essayant de gérer la bête.
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