| nad57 a écrit le 01/09/2009 à 22h40: |
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je suis bien d'accord mais auprés de qui peut on être formé ? c'est un vrai casse-tête, une traversée du désert à la nage
on en revient donc à ce point crucial qui est la formation des enseignants et la notre derrière. Car les livres sont nombreux et intéressants mais trouver quelqu'un qui te fais regarder un cheval bouger et t'explique pourquoi lui voit que le cheval engage monte son dos etc...là tu ne trouves personne et tu galères dans ton coin à refaire ce que d'autres ont déjà fait. |
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Peut être qu'il y a de la doc et c'est même sur.
Mais je crois que ça fait parie de l'expérience que l'on se fait sur les chevaux et du bagage que l'on accumule tout au long de sa vie.
Et même comprendre de travers c'est déjà comprendre un peu, car cela prouve au moins qu'on se creuse un peu les méninges.
Parce que même avec de la doc un peu vulgarisée, et il n'est pas facile de visualiser ce qu'expliquent les auteurs.
J'ai une devise que je m'applique tout le temps, je m'enrichis d'avantage de mes échecs et de mes incompréhensions( et il y e a eu surement beaucoup) plus que de mes réussites (il n'y en a pas eu tant que ça)
En matière équestre, je crois que, une fois de bonnes bases établies, la bonne formule c'est de se construire en allant le plus possible voir ce que font les autres (m^me si c'est à l'opposé de l'équitation que l'on pratique) et ainsi prendre ce qui nous plait et correspond à notre sensibilité et laissé ce qui nous heurte et n'est pas logique ou expliqué. Se tenir loin de pseudo gourou, et petit à petit, on commencera à mettre des choses en places qui ne sera pas loin d'être la vérité. Le tort serait à l'inverse, de se focaliser sur une seule source et de se laisser convaincre avec confort que c'est la seule voie. Même si j'avais eu la chance de croiser Oliveira ou d'autres, je n'aurai pas agi autrement.