| | Philippe Karl aussi parle de l'importance de la décontraction de la machoire. La technique est différente que Jean d'Orgeix mais pour moi ces deux hommes se retrouvent sur pas mal de point.
Et puis j'ai l'impression que le dialogue avec la bouche est également bénéfique pour l'attention du cheval, en plus de la décontraction. |
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Je suis d'accord avec ça mais j'en viens à me demander si au contraire jouer dans ses doigts ne viendrait pas parasiter la précision les demandes des mains et donc par conséquent le dialogue main/bouche?
Je pense que par curiosité j'aborderais (si j'y pense) la question de jouer dans ses doigts, avec l'écuyer (étant donné que j'ai un cours cet après-midi), je pense que cela pourrait être intéressant d'avoir l’avis de quelqu'un de compétent avec les arguments qu'il appuie.
Sinon je me pose aussi une question auquel vous pourrez peut-être me répondre sur la cession de nuque :
ll me semble que d'après JDO, la cession de nuque doit être l'une des première choses demandé au jeune cheval, d'abord à l'arret, puis en marchant et le cheval apprend à garder cette position au fil de son travail, et que l'on peut le lui demander au cours de celui-ci. Donc pour moi, au final ça se transforme en "placé" au cours du travail effectué (puisque le cheval apprends à garder cette posture quand il est "prêt").
( J'ai appris tout ça en visionnant les vidéos de "Soffad", que j'ai trouvé au passage très intéressante)
Mais dans ce cas, le cheval est conditionné à répondre à la demande de cession, et le placé n'est plus l'aboutissement de l'engagement des postérieurs et d'un travail juste mais d'une demande du cavalier.. non?
Désolé pour ce "hors sujet", mais cette question est venu me tourmenter hier soir, et je serais très curieuse d'avoir votre avis!