|  | Plutot d'accord avec Florestan,
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mdrrrr !!!
sois pas vexé...je pense que nous, les filles, enfin, certaines, Elo, Clow, etc... on cherche une relation plus complexe dans le sens où on recherche énormément l'affectif, quitte à délaisser certains objectifs...
Je me rappelle quand je sortais en concours, je rêvais du parcours de cross idéal, façon hunter, tout en délicatesse et fluidité, en symbiose avec ma jument, alors que mes coachs et mes coéquipiers masculins ne pensaient qu'au classement et à la niaque, moi je sortais de mon tour euphorique alors que j'avais pris du temps...
Pour le travail à pied, c'est pareil, c'est l'harmonie, la complicité qui prime, et non ce fameux "cahier des charges", programme, échelle de progression...
En résumé ce n'est pas ce qu'on réalise mais la façon dont on le réalise qui compte.
Le réflexe d'opposition, on installe quelques codes au débourrage mais après les choses se construisent d'elles-même. Je n'ai pas besoin d'attraper un pied pour le curer, il suffit que je me penche vers le sabot. je n'ai pas besoin de lui pousser les fesses, rien que de changer de côté, il le fait de lui-même pour se tourner vers moi. Le pansage est un jeu, un échange, où il renifle mon cou, me mordille la veste, pas un moment où il est figé, prêt à s'exécuter au moindre signal.
Fleurdebo, je te rejoins sur l'importance des sentiments, du feeling, je crois que c'est l'explication.