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lol ça ce ne sont que les conséquences de l‘évolution m‘sieur. Je ne vois pas ce que vs essayez de prouver sans avoir de recherches scientifiques en plus. c bien beau |
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Si vous le dites
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|  | Qu' avez vous à dire sur les australopitheques qui sont soit-disant nos ancêtres? |
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Place dans l'évolution de la lignée humaine
Les restes fossiles semblent indiquer qu'Australopithecus est l'ancêtre commun du groupe distinct d'hominidés appelé aujourd'hui Paranthropus (« australopithécinés robustes ») et fort probablement du genre Homo qui comprend les hommes modernes. Bien que l'intelligence de ces homininés précoces n'ait sans doute pas dépassé celle des anthropoïdes modernes, la stature bipède est l'évidence clé qui distingue ce groupe des primates qui l'ont précédé et qui sont quadrupèdes. La morphologie d'Australopithecus contredit ce que les scientifiques avaient cru auparavant, à savoir, qu'un cerveau plus volumineux et plus complexe a précédé la bipédie. Dans la mesure où Australopithecus était un hominidé incontestable d'après les empreintes de pas qu'il a laissées à Laetoli, il faut convenir que son petit cerveau ne l'empêchait pas d'être bipède. On discute toujours pour savoir comment la bipédie a évolué il y a plusieurs millions d'années (plusieurs théories sont toujours en cours d'étude). Pourtant, l'avantage de la bipédie était qu'elle permettait aux mains d'être libres pour attraper des objets tandis que les yeux pouvaient mieux examiner au-dessus des grandes herbes pour trouver des sources d'aliments possibles ou repérer des prédateurs.
Selon certains chercheurs, Australopithecus afarensis pourrait être l'ancêtre commun des australopithèques et du genre Homo ; cette hypothèse est contestée par d'autres, qui estiment que la séparation entre les deux genres pourrait avoir eu lieu à une époque bien antérieure.
|  | Bref, le pire dans tout ça c‘est que je ne vois pas le rapport homme / cheval sous forme de prédateur contre proie... |
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C'est une autre idée reçu ! Hélas !
Bill Dorrance fut questionné à ce sujet lors d'interviews pour le livre "True Horsemanship Through Feel" paru en 1999, qu'il avait écrit avec Leslie Desmond. Il escompta gentiment le modèle comme "quelque chose dont les gens aiment parler"
Le modèle « prédateur/proie »de la relation humain/cheval a largement été accepté comme une pierre angulaire scientifique du mouvement des « Natural Horsemanship », initialement fondé par Tom Dorrance, son frère Bill, et Ray Hunt. Mais la notion “prédateur/proie” ne faisait pas partie de cette renaissance de la relation cheval/humain que ces hommes ont établi. Sans doute est-ce le plus important à retenir pour vous et votre cheval,
le modèle “prédateur-proie” n'a aucune base scientifique !
Tom Dorrance et Ray Hunt ont préparé le terrain (ce que Miller et Lamb ont appelé “La révolution du horsemanship” ) sans jamais mentionner le moindre terme à propos du modèle “prédateur/proie” dans aucun de leurs livres : "True Unity: quand l'homme et le cheval ne font qu'un" (T. Dorrance,1987) ou : "Penser en harmonie avec les chevaux" (Hunt, 1991). Mais
en 1993, cette notion est apparue dans d'importantes publications de programmes d'entraînement (comme dans le livre de Pat Parelli : " Natural Horse-man-ship").