J'apporte ma pierre à l'édifice
Pendant longtemps, j'ai accordé une grande importance au chanfrein, de peur, justement, de l'encapuchonnement.
Et puis j'ai monté ma jument PRE et j'ai été confrontée à un petit dos mou... très difficile à faire monter.
Bien sur, j'ai tenté les extensions. Mais la jument étant très souple, elle pouvait très bien avoir le nez par terre, engager les postérieurs, et tout ça sans tendre son dos.
Et j'ai rencontré un très bon coach grâce auquel j'ai enfin pu faire monter ce satané dos ! Mais dans un premier temps, elle était bien incapable de le faire sans adopter une position d'encapuchonnement. Ca me gênait pas mal mais mon coach me disait de ne pas m'occuper de la tête, tant que je sentais le garrot monter. Avec le temps, elle a du moins en moins besoin de prendre cette attitude pour travailler avec son dos.
En réalité, cette attitude, si ce n'est pas la main qui vient la chercher, n'est pas dramatique en soit.
Elle n'a jamais eu de problème aux cervicales, elle a juste enfin musclé ses abdos et renforcé son dos.
Donc aujourd'hui, je me fie plus à ce que je sens sous mes fesses qu'à ce que je vois devant.